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En effet, dès 1923, une station piscicole a été créée à Azrou et c'est grâce à son action que ces dernières espèces ont été introduites dans les rivières, les lacs et les retenues de barrages.
Depuis, cette station est devenue le centre national de pisciculture et d'hydrobiologie avec deux missions principales : la production d'alevins et le contrôle hydrobiologique des cours et des plans d'eau.
Chaque année, le centre national de pisciculture et d'hydrobiologie produit, dans ses différentes stations d'élevages, 150.000 truites, 200.000 black-bass et un million de carpes argentées qui sont déversées dans divers endroits, soit pour la pêche sportive, soit pour la pêche commerciale.
Ces deux pêches sont soumises à autorisation puisque la législation fait une différence entre les eaux dites classées et qui sont peuplées de poissons nobles et de salmonidés et les autres eaux dont la faune n'est principalement constituée que de poissons communs comme le barbeau.
Parallèlement à l'action du centre national de pisciculture et d'hydrobiologie, plusieurs opérateurs privés se sont lancés dans la pisciculture et dans la diversification des produits. C'est ainsi, par exemple, que les domaines royaux qui ont une grande expérience dans l'élevage de la truite viennent de réussir l'acclimatation et la sédentarisation du saumon. Une belle réalisation.
Depuis, cette station est devenue le centre national de pisciculture et d'hydrobiologie avec deux missions principales : la production d'alevins et le contrôle hydrobiologique des cours et des plans d'eau.
Chaque année, le centre national de pisciculture et d'hydrobiologie produit, dans ses différentes stations d'élevages, 150.000 truites, 200.000 black-bass et un million de carpes argentées qui sont déversées dans divers endroits, soit pour la pêche sportive, soit pour la pêche commerciale.
Ces deux pêches sont soumises à autorisation puisque la législation fait une différence entre les eaux dites classées et qui sont peuplées de poissons nobles et de salmonidés et les autres eaux dont la faune n'est principalement constituée que de poissons communs comme le barbeau.
Parallèlement à l'action du centre national de pisciculture et d'hydrobiologie, plusieurs opérateurs privés se sont lancés dans la pisciculture et dans la diversification des produits. C'est ainsi, par exemple, que les domaines royaux qui ont une grande expérience dans l'élevage de la truite viennent de réussir l'acclimatation et la sédentarisation du saumon. Une belle réalisation.
