Les lauréats de l'IRFC sont en colère après leur ministre de tutelle à savoir le ministre de la Jeunesse et des sports. Ils lui reprochent notamment de prendre à la légère le dossier de leur insertion dans le marché du travail et de ne pas le traiter avec la célérité requise.
En effet, quatre vingt lauréats de la promotion 96 qui en compte 160, sont toujours en chômage. Mais, ce qui les indique par dessus tout, c'est la façon dont les 61 postes de l'année écoulée ont été attribués. Selon les lauréats de la promotion 96.
Cette opération a été entachée de plusieurs irrégularités à deux niveaux : d'une part, ce ne sont pas les éléments les plus méritants, qui ont été affectés à ces postes et d'autres part, quelques lauréats des récentes promotions (99-2000 et 2001) ont été engagés au détriment de ceux de la promotion 96 qui ont connu des années durant les affres du chômage. Selon eux toujours, le clientélisme est monnaie courante et le népotisme règne en maître quant au traitement des dossiers d'emploi des diplômés. «Le ministre de la Jeunesse et des Sports qui s'était-engagé dans le parlement à résoudre ce problème s'est désengagé, il n'a fait aucune action concrète dans ce sens, excepté pour les cas de ses proches et de ses connaissances, c'est révoltant, on croyait que ces pratiques faisait partie du passé ».
Soulignent les diplômés. Les tergiversations du ministre sont devenues intenables, à en croire certains éléments s'estimant privés de leur droit constitutionnel au travail, il traite les dossiers d'emploi en fonction de l'appartenance politique et les affinités partisanes passent avant le mérite et la compétence. De surcroît, le ministre de tutelle « allègue comme prétexte qu'il n'a pas de postes budgétaires à fournir » et qu'il faut voir avec le ministère des Finances, lequel assure que chaque département ministériel à des postes qu'il gère à sa faon et selon sa politique.
Il convient de signaler par ailleurs qu'un sit-in d'un mois et demi a été organisé pendant l'année 99 devant le si ège du ministère de tutelle par les diplômés de l'Institut. Peine perdue, puisque le dialogue n'a pas avancé d'un iota. En attendant une issue à leur situation, les lauréats ne savent plus à quel saint se vouer.
En effet, quatre vingt lauréats de la promotion 96 qui en compte 160, sont toujours en chômage. Mais, ce qui les indique par dessus tout, c'est la façon dont les 61 postes de l'année écoulée ont été attribués. Selon les lauréats de la promotion 96.
Cette opération a été entachée de plusieurs irrégularités à deux niveaux : d'une part, ce ne sont pas les éléments les plus méritants, qui ont été affectés à ces postes et d'autres part, quelques lauréats des récentes promotions (99-2000 et 2001) ont été engagés au détriment de ceux de la promotion 96 qui ont connu des années durant les affres du chômage. Selon eux toujours, le clientélisme est monnaie courante et le népotisme règne en maître quant au traitement des dossiers d'emploi des diplômés. «Le ministre de la Jeunesse et des Sports qui s'était-engagé dans le parlement à résoudre ce problème s'est désengagé, il n'a fait aucune action concrète dans ce sens, excepté pour les cas de ses proches et de ses connaissances, c'est révoltant, on croyait que ces pratiques faisait partie du passé ».
Soulignent les diplômés. Les tergiversations du ministre sont devenues intenables, à en croire certains éléments s'estimant privés de leur droit constitutionnel au travail, il traite les dossiers d'emploi en fonction de l'appartenance politique et les affinités partisanes passent avant le mérite et la compétence. De surcroît, le ministre de tutelle « allègue comme prétexte qu'il n'a pas de postes budgétaires à fournir » et qu'il faut voir avec le ministère des Finances, lequel assure que chaque département ministériel à des postes qu'il gère à sa faon et selon sa politique.
Il convient de signaler par ailleurs qu'un sit-in d'un mois et demi a été organisé pendant l'année 99 devant le si ège du ministère de tutelle par les diplômés de l'Institut. Peine perdue, puisque le dialogue n'a pas avancé d'un iota. En attendant une issue à leur situation, les lauréats ne savent plus à quel saint se vouer.
