Des dizaines, voire des centaines, de milliers de personnes étaient attendues à Paris et dans les principales villes de France pour manifester contre M. Le Pen et son parti d'extrême droite, le Front national (FN).
Pour éviter d'éventuels affrontements entre adversaires et partisans de M. Le Pen, les autorités ont déployé 3.500 policiers et gendarmes mobiles soutenus par deux hélicoptères et 330 caméras pour surveiller les divers cortèges.
A Paris, les adversaires de l'extrême droite devaient recevoir le renfort de 450 syndicalistes belges.
Avant les rassemblements anti-Le Pen dans l'après-midi, le chef de l'extrême droite française a conduit en plein coeur de Paris, aux côtés de son épouse Jany, une manifestation d'environ 10.000 personnes, selon la police, et de 100.000 selon le FN.
La présence de M. Le Pen au second tour de la présidentielle, le 5 mai, contre le président de droite sortant Jacques Chirac, a provoqué un choc en France où la quasi-totalité de la classe politique considère le dirigeant extrémiste comme un danger pour la démocratie.
A Madrid quelque 200 Français ont manifesté derrière une banderole «Tous contre le fascisme, tous contre Le Pen» imités devant l'hôtel de ville de Vienne par 150 compatriotes.
Des manifestations du même genre devaient avoir lieu en Allemagne, Suède, Norvège, Danemark, Maroc, Italie et Etats-Unis.
A Berlin, une femme a été grièvement blessée et 62 policiers blessés lors de violents affrontements qui ont opposé, dans la nuit de mardi à mercredi, des manifestants «autonomes» et des fêtards aux forces de l'ordre. 25 personnes ont été interpellées lors de ces incidents, les plus violents depuis 1999. Des affrontements ont eu lieu en Australie où quatorze personnes ont été arrêtées à Sydney après que des manifestants eurent lancé des billes et des pétards contre la police.
La manifestation était destinée à protester contre la politique anti-immigration du gouvernement. La Chine a innové en honorant pour la première fois des entrepreneurs capitalistes au même titre que des travailleurs modèles et quatre hommes d'affaires ont ainsi reçu la médaille du travail.
A Londres plus d'une centaine de cyclistes, manifestant bruyamment avec klaxons et sifflets, ont défilé en faveur de la défense de l'environnement en ouverture des manifestations du 1er mai alors que la capitale était quadrillée par quelque 6.000 policiers.
En Russie, plusieurs dizaines de milliers de personnes ont réclamé, à l'appel des syndicats, des hausses de salaire et la démission des ministres chargés de l'Economie tandis qu'à Kiev, en Ukraine, 2.000 personnes ont dénoncé la politique du président Léonide Koutchma.
A Bucarest, le président roumain Ion Iliescu a appelé ses compatriotes à faire preuve de solidarité sociale et à oeuvrer pour l'intégration de la Roumanie dans l'Union européenne (UE) et l'OTAN.
Au Maroc, le gouvernement a appelé la «classe ouvrière» à faire du 1er mai une «journée de solidarité avec le peuple palestinien» et de dénonciation d'Israël.
Tandis qu'à Singapour le chef de l'opposition, Chee Soon Juan, a été arrêté pour manifestation illégale, à Manille des milliers de personnes ont défié la police en réclamant la restauration de l'ex président Joseph Estrada, chassé par une révolte populaire en janvier 2001.
Alors qu'à Jakarta des milliers de personnes ont réclamé que le 1er mai devienne un jour férié, à Calcutta (est de l'Inde ) plus de 2.000 prostituées ont manifesté pour exiger la légalisation du «plus vieux métier du monde».
Pour éviter d'éventuels affrontements entre adversaires et partisans de M. Le Pen, les autorités ont déployé 3.500 policiers et gendarmes mobiles soutenus par deux hélicoptères et 330 caméras pour surveiller les divers cortèges.
A Paris, les adversaires de l'extrême droite devaient recevoir le renfort de 450 syndicalistes belges.
Avant les rassemblements anti-Le Pen dans l'après-midi, le chef de l'extrême droite française a conduit en plein coeur de Paris, aux côtés de son épouse Jany, une manifestation d'environ 10.000 personnes, selon la police, et de 100.000 selon le FN.
La présence de M. Le Pen au second tour de la présidentielle, le 5 mai, contre le président de droite sortant Jacques Chirac, a provoqué un choc en France où la quasi-totalité de la classe politique considère le dirigeant extrémiste comme un danger pour la démocratie.
A Madrid quelque 200 Français ont manifesté derrière une banderole «Tous contre le fascisme, tous contre Le Pen» imités devant l'hôtel de ville de Vienne par 150 compatriotes.
Des manifestations du même genre devaient avoir lieu en Allemagne, Suède, Norvège, Danemark, Maroc, Italie et Etats-Unis.
A Berlin, une femme a été grièvement blessée et 62 policiers blessés lors de violents affrontements qui ont opposé, dans la nuit de mardi à mercredi, des manifestants «autonomes» et des fêtards aux forces de l'ordre. 25 personnes ont été interpellées lors de ces incidents, les plus violents depuis 1999. Des affrontements ont eu lieu en Australie où quatorze personnes ont été arrêtées à Sydney après que des manifestants eurent lancé des billes et des pétards contre la police.
La manifestation était destinée à protester contre la politique anti-immigration du gouvernement. La Chine a innové en honorant pour la première fois des entrepreneurs capitalistes au même titre que des travailleurs modèles et quatre hommes d'affaires ont ainsi reçu la médaille du travail.
A Londres plus d'une centaine de cyclistes, manifestant bruyamment avec klaxons et sifflets, ont défilé en faveur de la défense de l'environnement en ouverture des manifestations du 1er mai alors que la capitale était quadrillée par quelque 6.000 policiers.
En Russie, plusieurs dizaines de milliers de personnes ont réclamé, à l'appel des syndicats, des hausses de salaire et la démission des ministres chargés de l'Economie tandis qu'à Kiev, en Ukraine, 2.000 personnes ont dénoncé la politique du président Léonide Koutchma.
A Bucarest, le président roumain Ion Iliescu a appelé ses compatriotes à faire preuve de solidarité sociale et à oeuvrer pour l'intégration de la Roumanie dans l'Union européenne (UE) et l'OTAN.
Au Maroc, le gouvernement a appelé la «classe ouvrière» à faire du 1er mai une «journée de solidarité avec le peuple palestinien» et de dénonciation d'Israël.
Tandis qu'à Singapour le chef de l'opposition, Chee Soon Juan, a été arrêté pour manifestation illégale, à Manille des milliers de personnes ont défié la police en réclamant la restauration de l'ex président Joseph Estrada, chassé par une révolte populaire en janvier 2001.
Alors qu'à Jakarta des milliers de personnes ont réclamé que le 1er mai devienne un jour férié, à Calcutta (est de l'Inde ) plus de 2.000 prostituées ont manifesté pour exiger la légalisation du «plus vieux métier du monde».
