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Dans ce livre, qui vient de paraître chez «Eddif-Paris-Méditerranée», Maâti Kabbal évoque, sur un mode tantôt grave, tantôt burlesque, sur fond de chergui, l'univers à la fois étrange et attachant de Khouribga, sa ville natale.
Maâti Kabbal, actuellement responsable des activités culturelles de l'Institut du monde arabe (IMA) à Paris, revient sans fioriture et sur le ton de l'autodérision, sur les lieux de son enfance, hantés par la figure imposante d'une tante-mère en mal de maternité.
Lors de cette cérémonie, l'ambassadeur du Maroc en France, M. Hassan Abouyoub, a souligné les efforts constants de Maâti Kabbal, à travers ses diverses occupations professionnelles et artistiques, pour consolider la place de la littérature et de la culture marocaine en France. Il a également insisté sur le travail d'équipe qu'il entreprend, en France, avec d'autres ressortissants marocains dans le cadre de leurs responsabilités au sein de l'IMA, contribuant à la même occasion au rayonnement de cette institution et assurant une présence culturelle marocaine continue.
Maâti Kabbal, qui collabore dans divers journaux français et arabes, avait dernièrement coordonné avec Nicole de Poncharra, poète, écrivain et critique d'art, le livre «Le Maroc en mouvement», sorti aux éditions «Maisonneuve et la Rose».
Décès du réalisateur américain John Frankenheimer
Le réalisateur américain John Frankenheimer est décédé samedi à Los Angeles d'une attaque cérébrale à l'âge de 72 ans.
Le cinéaste s'est éteint à l'hôpital Cedars-Sinai, où il avait subi une opération aux vertèbres, a annoncé samedi son agent financier, Patti Person
Frankenheimer a notamment réalisé des classiques comme «Le prisonnier d'Alcatraz» (1962), «un crime dans la tête» (1962), «Le train» (1965), «L'homme de Kiev» (1968), «French connection 2 (1975), et, plus récemment, «Ronin» (1998).
Né à New York en 1930, John Frankenheimer avait entamé sa carrière comme réalisateur à la télévision, dans les années 50.
Il mettra ainsi en scène 152 dramatiques avant de signer son premier film, «Le temps du châtiment» en 1961.
Maâti Kabbal, actuellement responsable des activités culturelles de l'Institut du monde arabe (IMA) à Paris, revient sans fioriture et sur le ton de l'autodérision, sur les lieux de son enfance, hantés par la figure imposante d'une tante-mère en mal de maternité.
Lors de cette cérémonie, l'ambassadeur du Maroc en France, M. Hassan Abouyoub, a souligné les efforts constants de Maâti Kabbal, à travers ses diverses occupations professionnelles et artistiques, pour consolider la place de la littérature et de la culture marocaine en France. Il a également insisté sur le travail d'équipe qu'il entreprend, en France, avec d'autres ressortissants marocains dans le cadre de leurs responsabilités au sein de l'IMA, contribuant à la même occasion au rayonnement de cette institution et assurant une présence culturelle marocaine continue.
Maâti Kabbal, qui collabore dans divers journaux français et arabes, avait dernièrement coordonné avec Nicole de Poncharra, poète, écrivain et critique d'art, le livre «Le Maroc en mouvement», sorti aux éditions «Maisonneuve et la Rose».
Décès du réalisateur américain John Frankenheimer
Le réalisateur américain John Frankenheimer est décédé samedi à Los Angeles d'une attaque cérébrale à l'âge de 72 ans.
Le cinéaste s'est éteint à l'hôpital Cedars-Sinai, où il avait subi une opération aux vertèbres, a annoncé samedi son agent financier, Patti Person
Frankenheimer a notamment réalisé des classiques comme «Le prisonnier d'Alcatraz» (1962), «un crime dans la tête» (1962), «Le train» (1965), «L'homme de Kiev» (1968), «French connection 2 (1975), et, plus récemment, «Ronin» (1998).
Né à New York en 1930, John Frankenheimer avait entamé sa carrière comme réalisateur à la télévision, dans les années 50.
Il mettra ainsi en scène 152 dramatiques avant de signer son premier film, «Le temps du châtiment» en 1961.
