Dans la deuxième partie de cette épreuve d'endurance, Meoni, tenant du titre en motos, s'est surtout distingué par sa vitesse, l'Italien ayant dévoré vendredi le sable de la 8ème étape à une moyenne de 130 km/h, avec des pointes à 186 km/h.
La piste, large, plate et sablonneuse, a fait le bonheur de sa KTM bicylindre et lui permet de prendre la tête du classement général devant l'Espagnol Joan Nani Roma.
Seul en tête, Meoni s'est aussi démarqué en prenant fermement position pour cette forme de course malgré les nombreuses critiques dont elle a fait l'objet.
«Je pense que ces étapes marathon sont une bonne idée, a déclaré le motard italien. Pour que le Dakar soit beau, il faut qu'il soit dur. C'est une bonne idée d'avoir compliqué les choses. C'est bien pour l'esprit du Dakar».
Pas d'accord, le motard français Richard Sainct, 7e au général, a clairement affirmé sa position: «Je n'ai aimé ni cette spéciale, ni le principe de cette étape marathon». Un avis partagé par la tenante du titre autos, l'Allemande Jutta Kleinschmidt, qui a estimé elle aussi que les étapes marathons «n'étaient pas vraiment utiles».
«Je ne comprends pas très bien à quoi elles servent, s'est interrogée la pilote Mitsubishi. Je préfère avoir plusieurs spéciales courtes où l'on doit faire preuve d'une bonne technique».
Son coéquipier Hiroshi Masuoka, 2e de l'étape marathon, se maintient de justesse en tête du général avec 27 petites secondes d'avance sur le marathonien du jour, son compatriote Shinozuka.
La piste, large, plate et sablonneuse, a fait le bonheur de sa KTM bicylindre et lui permet de prendre la tête du classement général devant l'Espagnol Joan Nani Roma.
Seul en tête, Meoni s'est aussi démarqué en prenant fermement position pour cette forme de course malgré les nombreuses critiques dont elle a fait l'objet.
«Je pense que ces étapes marathon sont une bonne idée, a déclaré le motard italien. Pour que le Dakar soit beau, il faut qu'il soit dur. C'est une bonne idée d'avoir compliqué les choses. C'est bien pour l'esprit du Dakar».
Pas d'accord, le motard français Richard Sainct, 7e au général, a clairement affirmé sa position: «Je n'ai aimé ni cette spéciale, ni le principe de cette étape marathon». Un avis partagé par la tenante du titre autos, l'Allemande Jutta Kleinschmidt, qui a estimé elle aussi que les étapes marathons «n'étaient pas vraiment utiles».
«Je ne comprends pas très bien à quoi elles servent, s'est interrogée la pilote Mitsubishi. Je préfère avoir plusieurs spéciales courtes où l'on doit faire preuve d'une bonne technique».
Son coéquipier Hiroshi Masuoka, 2e de l'étape marathon, se maintient de justesse en tête du général avec 27 petites secondes d'avance sur le marathonien du jour, son compatriote Shinozuka.
