Cette soirée, d'environ deux heures, s'est déroulée en présence de M. Hassan Abouyoub, ambassadeur du Maroc en France, de plusieurs diplomates marocains accrédités dans la région parisienne et d'un public de plusieurs centaines de personnes qui a réservé un accueil triomphal à la nouvelle version de la nouvelle de prosper merimée écrite en 1845 et consacrée à l'opéra par George Bizet.
«Une Carmen arabo-andalouse», œuvre de la compagnie nationale du théâtre musical «Opéra éclate», que dirige le metteur en scène Olivier Desbordes, est construite sur un mélange des musiques occidentale et orientale.
Elle est le résultat d'une histoire artistique entre le Maroc et la France, ou plutôt entre des artistes français et marocains.
Et c'est cette rencontre qui a généré l'envie de mêler les savoirs-faire et les cultures, et fait d'un hasard, autour d'une femme libre, souligne le metteur en scène qui a porté son choix sur un orchestre mêlant instruments arabes (le oud et le kanoune) et européens (flûte, clarinette, trompette).
«C'est l'expérience la plus humaine que j'ai réalisé depuis longtemps. C'est une aventure pour tous, que chaque jour une idée vienne compléter l'autre..., Dit-il.
La musique de l'opéra est le fruit de la collaboration entre Philippe Capdenat et Marie-Claude Arbaretaz, côté français, et Youssef Kassimi Jamal, coté marocain.
Pour ce dernier, «toute la musique orientale composée et rajoute, pour l'occasion, dans cette Carmen est issue et inspirée des musiques savantes arabes, tout comme les instruments arabes utilises qui sont des instruments classiques, nobles et ayant une place suprême dans l'orchestre arabe».
La voix chaude et profonde de Nathalie Espallier, qui incarne le personnage de Carmen avec une ampleur magistrale, la remarquable musicalité du ténor Alain Gabriel, qui incarne don Jose, et les rôles joués par les autres acteurs et chanteur marocains et français ont contribué à donner à ce savant mélange musical toute sa beauté et son originalité.
La troupe d'une Carmen arabo-andalouse», qui a déjà sillonné le sud-ouest français où elle a donné une quarantaine de représentations se trouve à Paris depuis le 22 novembre dernier.
«Une Carmen arabo-andalouse», œuvre de la compagnie nationale du théâtre musical «Opéra éclate», que dirige le metteur en scène Olivier Desbordes, est construite sur un mélange des musiques occidentale et orientale.
Elle est le résultat d'une histoire artistique entre le Maroc et la France, ou plutôt entre des artistes français et marocains.
Et c'est cette rencontre qui a généré l'envie de mêler les savoirs-faire et les cultures, et fait d'un hasard, autour d'une femme libre, souligne le metteur en scène qui a porté son choix sur un orchestre mêlant instruments arabes (le oud et le kanoune) et européens (flûte, clarinette, trompette).
«C'est l'expérience la plus humaine que j'ai réalisé depuis longtemps. C'est une aventure pour tous, que chaque jour une idée vienne compléter l'autre..., Dit-il.
La musique de l'opéra est le fruit de la collaboration entre Philippe Capdenat et Marie-Claude Arbaretaz, côté français, et Youssef Kassimi Jamal, coté marocain.
Pour ce dernier, «toute la musique orientale composée et rajoute, pour l'occasion, dans cette Carmen est issue et inspirée des musiques savantes arabes, tout comme les instruments arabes utilises qui sont des instruments classiques, nobles et ayant une place suprême dans l'orchestre arabe».
La voix chaude et profonde de Nathalie Espallier, qui incarne le personnage de Carmen avec une ampleur magistrale, la remarquable musicalité du ténor Alain Gabriel, qui incarne don Jose, et les rôles joués par les autres acteurs et chanteur marocains et français ont contribué à donner à ce savant mélange musical toute sa beauté et son originalité.
La troupe d'une Carmen arabo-andalouse», qui a déjà sillonné le sud-ouest français où elle a donné une quarantaine de représentations se trouve à Paris depuis le 22 novembre dernier.
