Ces bruits sont non seulement désagréables pour les oreilles, mais le mal qu'ils engendrent a des répercussions non négligeables sur la santé. Où commence vraiment la gêne ? Les spécialistes affirment que les nuisances sonores sont de plusieurs sortes et de différents degrés.
La mesure dans laquelle un bruit est considéré comme gênant dépend d'un individu à l'autre. Il s'agit d'une appréciation essentiellement personnelle. Une personne nerveuse ou de mauvaise humeur sera perturbée par le moindre bruit et le moindre chuchotement l'empêchera de se concentrer. Le bruit comporte néanmoins des aspects subjectifs. Un entretien ou une conférence peuvent êtres rendues impossibles à cause du bruit.
D'autre part, l'exposition à certains sons très élevés comme par exemple les sons aigus et purs qui dépassent le seuil fatidique des 95 décibels (dB) sont particulièrement dangereux. Lorsque l'oreille est confrontée à un niveau sonore très élevé, une rupture du tympan et une luxation des osselets risquent de se produire avec pour conséquence une surdité progressive et irréversible de l'acuité auditive. Cette conséquence du bruit concerne en premier lieu les personnes qui sont régulièrement exposées à des sons de fréquences élevées comme les aiguilleurs du ciel qui subissent les bruits assourdissants (120 dB) du décollage d'avion, les ouvriers qui travaillent face à des machines bruyantes( 100 à 110db), mais aussi les enfants et adolescents qui passent la plupart de leur temps de loisir des écouteurs de baladeurs vissés sur les oreilles ou encore les personnes qui fréquentent régulièrement les discothèques. En effet, L'oreille souffre énormément dans une discothèque qui a un fond sonore de 100 dB. La preuve en est que, en sortant, la personne ressent, durant un long moment, le besoin de parler fort et l'impression d'entendre moins bien. C'est après un temps de récupération dans un environnement calme que la personne retrouve une audition normale. Les spécialistes affirment que si l'exposition à un bruit de cette fréquence est régulière, une partie des cellules de l'oreille interne vont être détruites. La personne atteinte percevra dans un premier temps moins bien les sons aigus, et dans un second temps progressivement, toutes les fréquences de la vie quotidienne. Les spécialistes sont catégoriques, l'usage des baladeurs portés en permanence à la fréquence de 95 dB représentent un danger pour les jeunes. Plusieurs enquêtes ont d'ailleurs, montré que les problèmes de surdité chez les jeunes sont liés à l'usage prolongé des baladeurs. Pendant très longtemps, on a considéré que le bruit n'agissait que sur le système auditif. Aujourd'hui, les donnes ont changé et les spécialistes affirment que les méfaits des nuisances sonores ne se limitent pas à l'audition.
Le bruit peut également engendrer une accélération du rythme cardiaque, une élévation de la tension artérielle, des modifications du rythme respiratoire, des troubles digestifs et visuels, et une perturbation de l'équilibre hormonal.
Il peut aussi provoquer des troubles d'ordre psychique, comme l'angoisse ou la peur à un degré supérieur, ou encore une diminution de l'attention ou de la concentration et des troubles de la mémoire.
Le bruit altère la qualité du sommeil sans que le dormeur en ait conscience. Même s'il a l'impression de s'habituer, le cerveau en réalité ne s'adapte jamais. Il encaisse et à la longue, de véritables syndromes obsessionnels s'installent. Il faut tenter de se protéger au maximum, éventuellement grâce à des boules anti-bruits en vente en pharmacie, à l'utilisation de casques dans les professions exposées, en insonorisant au mieux son logement mais aussi en ménageant ses voisins. La pollution sonore n'est pas à prendre à la légère. Cela nous amène à nous interroger sur les dispositions à prendre pour éviter que le bruit ne devienne un véritable poison. Aujourd'hui, seul le civisme peut nous préserver contre les maux entraînés par les nuisances sonores.
La mesure dans laquelle un bruit est considéré comme gênant dépend d'un individu à l'autre. Il s'agit d'une appréciation essentiellement personnelle. Une personne nerveuse ou de mauvaise humeur sera perturbée par le moindre bruit et le moindre chuchotement l'empêchera de se concentrer. Le bruit comporte néanmoins des aspects subjectifs. Un entretien ou une conférence peuvent êtres rendues impossibles à cause du bruit.
D'autre part, l'exposition à certains sons très élevés comme par exemple les sons aigus et purs qui dépassent le seuil fatidique des 95 décibels (dB) sont particulièrement dangereux. Lorsque l'oreille est confrontée à un niveau sonore très élevé, une rupture du tympan et une luxation des osselets risquent de se produire avec pour conséquence une surdité progressive et irréversible de l'acuité auditive. Cette conséquence du bruit concerne en premier lieu les personnes qui sont régulièrement exposées à des sons de fréquences élevées comme les aiguilleurs du ciel qui subissent les bruits assourdissants (120 dB) du décollage d'avion, les ouvriers qui travaillent face à des machines bruyantes( 100 à 110db), mais aussi les enfants et adolescents qui passent la plupart de leur temps de loisir des écouteurs de baladeurs vissés sur les oreilles ou encore les personnes qui fréquentent régulièrement les discothèques. En effet, L'oreille souffre énormément dans une discothèque qui a un fond sonore de 100 dB. La preuve en est que, en sortant, la personne ressent, durant un long moment, le besoin de parler fort et l'impression d'entendre moins bien. C'est après un temps de récupération dans un environnement calme que la personne retrouve une audition normale. Les spécialistes affirment que si l'exposition à un bruit de cette fréquence est régulière, une partie des cellules de l'oreille interne vont être détruites. La personne atteinte percevra dans un premier temps moins bien les sons aigus, et dans un second temps progressivement, toutes les fréquences de la vie quotidienne. Les spécialistes sont catégoriques, l'usage des baladeurs portés en permanence à la fréquence de 95 dB représentent un danger pour les jeunes. Plusieurs enquêtes ont d'ailleurs, montré que les problèmes de surdité chez les jeunes sont liés à l'usage prolongé des baladeurs. Pendant très longtemps, on a considéré que le bruit n'agissait que sur le système auditif. Aujourd'hui, les donnes ont changé et les spécialistes affirment que les méfaits des nuisances sonores ne se limitent pas à l'audition.
Le bruit peut également engendrer une accélération du rythme cardiaque, une élévation de la tension artérielle, des modifications du rythme respiratoire, des troubles digestifs et visuels, et une perturbation de l'équilibre hormonal.
Il peut aussi provoquer des troubles d'ordre psychique, comme l'angoisse ou la peur à un degré supérieur, ou encore une diminution de l'attention ou de la concentration et des troubles de la mémoire.
Le bruit altère la qualité du sommeil sans que le dormeur en ait conscience. Même s'il a l'impression de s'habituer, le cerveau en réalité ne s'adapte jamais. Il encaisse et à la longue, de véritables syndromes obsessionnels s'installent. Il faut tenter de se protéger au maximum, éventuellement grâce à des boules anti-bruits en vente en pharmacie, à l'utilisation de casques dans les professions exposées, en insonorisant au mieux son logement mais aussi en ménageant ses voisins. La pollution sonore n'est pas à prendre à la légère. Cela nous amène à nous interroger sur les dispositions à prendre pour éviter que le bruit ne devienne un véritable poison. Aujourd'hui, seul le civisme peut nous préserver contre les maux entraînés par les nuisances sonores.
