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Avec la mise en orbite du satellite marocain Zarkaa Al Yamama et dans le cadre d'une coopération étroite avec le Centre Royal d'Etudes et de Recherches Spatial (C.R.E.R.S.) une première station météorologique a été installée au sommet de l'Oukaimeden et depuis le 2 mai 2002, les informations sont recueillies par cette station météorologique, transmises au satellite marocain qui les transmet au Centre météorologique de Casablanca. Ces données sont confirmées par les mesures effectuées par les stations météorologiques de la région. Encouragée par ces premiers résultats avec Zarkaa Al Yamama, la météorologie nationale compte étendre dans un proche avenir cette coopération avec le Centre Royal d'Etudes
et de Recherches Spatiales à d'autres régions du Maroc non couvertes par le réseau actuel en raison de l'éloignement ou d'accès difficiles comme les sites de Bouiblane, Lalla Takerkouste, Michlifen ou d'autres sommets du Rif ou de la chaîne de l'Atlas, de même que dans les zones sahariennes.
Ces informations recueillies par la station automatique seront utilisées dans l'élaboration des bulletins d'alerte, archivées pour des études du climat ou d'autres travaux de recherches à l'échelle nationale et pourront également être diffusées vers les autres Centres météorologiques mondiaux.
Il convient de rappeler que les premières images satellitaires reçues à la direction de la Météorologie nationale datent des années 70. Une station SDUS (Secondary Data User Station) permettait de recevoir les images sur papier dont l'utilisation était limitée à l'étude des masses nuageuses par la technique de «néphanalyse».
En 1987, il y a eu l'acquisition de la première station PFUS (Primary Data User Station) de la direction de la Météorologie nationale. Une station MDD (météorological Data Distribution) a été mise en service en 1994 et en 1996 , une station HRPT (High Resolution Picture Transmission) a été installée avant qu'il ne soit décidé de procéder en 1997, à la mise à jour de la station PDUS afin d'en améliorer les performances techniques.
A noter aussi que les images METEOSAT ont été et demeurent utilisées pour les besoins de la prévision météorologique. Ainsi, combinées avec les images radar, les sorties des modèles numériques et les observations au sol, elles permettent la localisation des fonds atmosphériques ainsi que l'évaluation de la stabilité de l'atmosphère et le suivi de la formation des foyers convectifs et de la répartition. En outre, l'animation des images METEOSAT permet le suivi spatio-temporel de l'évolution et du déplacement des systèmes perturbés.
et de Recherches Spatiales à d'autres régions du Maroc non couvertes par le réseau actuel en raison de l'éloignement ou d'accès difficiles comme les sites de Bouiblane, Lalla Takerkouste, Michlifen ou d'autres sommets du Rif ou de la chaîne de l'Atlas, de même que dans les zones sahariennes.
Ces informations recueillies par la station automatique seront utilisées dans l'élaboration des bulletins d'alerte, archivées pour des études du climat ou d'autres travaux de recherches à l'échelle nationale et pourront également être diffusées vers les autres Centres météorologiques mondiaux.
Il convient de rappeler que les premières images satellitaires reçues à la direction de la Météorologie nationale datent des années 70. Une station SDUS (Secondary Data User Station) permettait de recevoir les images sur papier dont l'utilisation était limitée à l'étude des masses nuageuses par la technique de «néphanalyse».
En 1987, il y a eu l'acquisition de la première station PFUS (Primary Data User Station) de la direction de la Météorologie nationale. Une station MDD (météorological Data Distribution) a été mise en service en 1994 et en 1996 , une station HRPT (High Resolution Picture Transmission) a été installée avant qu'il ne soit décidé de procéder en 1997, à la mise à jour de la station PDUS afin d'en améliorer les performances techniques.
A noter aussi que les images METEOSAT ont été et demeurent utilisées pour les besoins de la prévision météorologique. Ainsi, combinées avec les images radar, les sorties des modèles numériques et les observations au sol, elles permettent la localisation des fonds atmosphériques ainsi que l'évaluation de la stabilité de l'atmosphère et le suivi de la formation des foyers convectifs et de la répartition. En outre, l'animation des images METEOSAT permet le suivi spatio-temporel de l'évolution et du déplacement des systèmes perturbés.
