Nous devons élaborer une politique économique, sociale et sécuritaire globale et intégrée à travers la mise en œuvre des principes du droit international dans la gestion des grandes crises, la protection de l'intégrité territoriale des Etats et leur souveraineté sur leurs territoires, a indiqué M. Radi à l'ouverture de la 107e session de l'Union interparlementaire (UIP), dimanche à Marrakech.
L'instabilité et les conflits qui éclatent partout dans le monde, en particulier au Proche-Orient, sont dus au non respect de la légalité internationale, a-t-il dit, soulignant que ces conflits menacent l'avenir de l'humanité entière si la communauté internationale continue à adopter une attitude négative.
Selon M. Radi, qui préside l'actuelle session de l'UIP, la solution des problèmes de notre monde exige l'abandon des approches simplistes au caractère sécuritaire étroit.
Stabilité et développement étant indissociables, M. Radi plaide pour un progrès social à travers une distribution équitable des richesses aux niveaux national et international et la participation de tous les citoyens dans la gestion de leurs affaires dans un cadre de tolérance et de solidarité.
Sur le rôle des parlementaires et de tous les autres décideurs dans la création d'un monde plus équitable et plus humain, le président de la Chambre des Représentants considère qu'il leur incombe d'eliminer les facteurs politiques, sociaux et économiques qui mènent à la violence et au terrorisme, en éradiquant la pauvreté et en réglant le problème de la dette qui entrave le développement des pays du Sud.
Les épidémies, la famine, l'analphabétisme et la dégradation de l'environnement créent davantage de frustration qui mène à l'extrémisme et à la violence, a-t-il expliqué, estimant que toutes ces crises trouvent leur origine dans l'échec des politiques internationales dans la gestion des problèmes.
M. Radi a enfin indiqué que le choix de Marrakech pour abriter cette conférence témoigne de la confiance placée en notre pays et une reconnaissance des efforts que nous ne cessons de déployer pour renforcer la culture de la démocratie et des droits de l'homme.
Rappelons que, M. Abdelouahed Radi, a eu dimanche à Marrakech, des entretiens avec le chef de la délégation australienne, M. Grant Chapman.
Au cours de cette entrevue, les deux parties ont réaffirmé leur volonté d'œuvrer pour le renforcement des relations entre les Parlements marocain et australien et la création d'un groupe d'amitié entre les deux institutions.
A cette occasion, M. Radi a exposé les opportunités d'investissement qu'offre le Royaume, appelant à encourager les établissements et les entreprises australiens à venir opérer au Maroc.
Pour sa part, M. Chapman a noté que le Maroc recèle effectivement d'importantes opportunités d'investissement peu connues par les opérateurs australiens.
A rappeler aussi que M. Radi avait eu samedi des entretiens avec le président de la délégation nationale coréenne participant à la conférence de Marrakech de l'UIP.
Les entretiens entre les deux parties avaient porté sur les relations entre les parlements des deux pays et la contribution des deux institutions au renforcement des liens et des échanges entre le Maroc et la Corée.
L'instabilité et les conflits qui éclatent partout dans le monde, en particulier au Proche-Orient, sont dus au non respect de la légalité internationale, a-t-il dit, soulignant que ces conflits menacent l'avenir de l'humanité entière si la communauté internationale continue à adopter une attitude négative.
Selon M. Radi, qui préside l'actuelle session de l'UIP, la solution des problèmes de notre monde exige l'abandon des approches simplistes au caractère sécuritaire étroit.
Stabilité et développement étant indissociables, M. Radi plaide pour un progrès social à travers une distribution équitable des richesses aux niveaux national et international et la participation de tous les citoyens dans la gestion de leurs affaires dans un cadre de tolérance et de solidarité.
Sur le rôle des parlementaires et de tous les autres décideurs dans la création d'un monde plus équitable et plus humain, le président de la Chambre des Représentants considère qu'il leur incombe d'eliminer les facteurs politiques, sociaux et économiques qui mènent à la violence et au terrorisme, en éradiquant la pauvreté et en réglant le problème de la dette qui entrave le développement des pays du Sud.
Les épidémies, la famine, l'analphabétisme et la dégradation de l'environnement créent davantage de frustration qui mène à l'extrémisme et à la violence, a-t-il expliqué, estimant que toutes ces crises trouvent leur origine dans l'échec des politiques internationales dans la gestion des problèmes.
M. Radi a enfin indiqué que le choix de Marrakech pour abriter cette conférence témoigne de la confiance placée en notre pays et une reconnaissance des efforts que nous ne cessons de déployer pour renforcer la culture de la démocratie et des droits de l'homme.
Rappelons que, M. Abdelouahed Radi, a eu dimanche à Marrakech, des entretiens avec le chef de la délégation australienne, M. Grant Chapman.
Au cours de cette entrevue, les deux parties ont réaffirmé leur volonté d'œuvrer pour le renforcement des relations entre les Parlements marocain et australien et la création d'un groupe d'amitié entre les deux institutions.
A cette occasion, M. Radi a exposé les opportunités d'investissement qu'offre le Royaume, appelant à encourager les établissements et les entreprises australiens à venir opérer au Maroc.
Pour sa part, M. Chapman a noté que le Maroc recèle effectivement d'importantes opportunités d'investissement peu connues par les opérateurs australiens.
A rappeler aussi que M. Radi avait eu samedi des entretiens avec le président de la délégation nationale coréenne participant à la conférence de Marrakech de l'UIP.
Les entretiens entre les deux parties avaient porté sur les relations entre les parlements des deux pays et la contribution des deux institutions au renforcement des liens et des échanges entre le Maroc et la Corée.
