A ce stade de la compétition, les deux protagonistes se valent. Entre le quadruple vainqueur de cette Coupe (toutes dans l'ancienne version) et le triple champion, le fossé n'est pas si profond puisque face à l'aisance technique des Verts, le plus souvent diaboliques, les Egyptiens, aguerris et murs conduits par le vétéran-transfuge Hossam Hassan qui en a connu de toutes les couleurs avec Al-Ahly et sa sélection nationale, n'en seront pas démunis et feront montre de plus de rigueur et de leurs capacités à s'adapter à tous les types d'affrontement.
Les joueurs de Walter Meeuws doivent avant d'aborder la rencontre enfouir dans le plus profond d'eux-mêmes le résultat du match complet et exemplaire à tout point contre l'ASEC Abidjan.
Et ce sera d'une simplicité infantile que de penser que les Egyptiens faciliteront la vie aux Verts en les respectant un peu trop et en leur accordant des libertés et des marges de manœuvres.
De plus, le Raja, conscient qu'il ne pourra plus surprendre ni ressortir un clone du précédent match, est acculé à réaliser une belle performance et marquer le maximum de buts et faire la différence avant le retour.
Cette première partie ne sera pas aisée à négocier contre une équipe avertie et endurcie. Et c'est sûr que les deux protagonistes vont livrer un rude combat physique et une joute tactique serrée.
L'entraîneur du Raja ne fait pas de détours et compte sur les valeurs propres et forces de pénétration de ses joueurs qui seront dirigés par leur capitaine Jrindou.
La finale se jouant en deux temps, Meeuws, sans verser dans l'outrecuidance, lancera tout dans l'offensif avec la récupération de Nater pour inscrire le plus de buts possibles en vue de prendre une option sérieuse et rassurante mais tout en restant vigilant derrière.
Il ne redoute pas uniquement de prendre un but à Casablanca mais également l'inefficacité devant la cage. Le Zamalek ne sera pas facile à manier et ne permettra pas de créer de nombreuses occasions comme ce fut le cas contre les Ivoiriens. Et le seul remède est d'être efficace, de faire preuve de plus de précision tout en sachant accélérer, élever le niveau et apporter des variations dans le jeu et dans les attaques.
Et tout comme le Brésilien Cabral du Zamalek, Meeuws ne mise pas seulement sur ce premier échange car nous sommes capables de leur passer des buts au Caire.
En effet, le staff technique des visiteurs a disséqué, vu et revu à maintes reprises le dernier match du Raja et vont ainsi imposer une rigueur défensive en muselant les buteurs et à leur tête la flèche verte, Aboucharouane sur lequel les Égyptiens ont tenté de mettre de la pression par leurs déclarations mais aussi en cherchant à mettre leur emprise sur le milieu du terrain, pièce maîtresse dans le jeu des Casablancais. Le onze du Zamalek, arrive mardi soir, et qui devra, faute de terrain disposant d'éclairage autre que le complexe sportif Mohammed V, se contenter d'une séance d'entraînement par jour alors qu'il en avait prévu deux dont la seconde le soir, n'est ni un novice ni un farfelu. Il sait pertinemment qu'une telle finale se gagne sur l'ensemble des deux matches à commencer par un bon résultat à l'aller, une phase sur laquelle le coach Carlos Cabral jettera son dévolu en comptant sur le vieux renard et chasseur des buts Hossam Hassan (36 ans).
Et au delà des déclarations et des appréhensions des uns et des autres qui relèvent plus des campagnes de matraquage et d'intox, seule la réalité du terrain primera, samedi soir, et c'est pourquoi les deux coachs axeront plus leur travail dans cette dernière ligne droite sur le mental, la préparation psychique et les consignes tactiques.
Les joueurs de Walter Meeuws doivent avant d'aborder la rencontre enfouir dans le plus profond d'eux-mêmes le résultat du match complet et exemplaire à tout point contre l'ASEC Abidjan.
Et ce sera d'une simplicité infantile que de penser que les Egyptiens faciliteront la vie aux Verts en les respectant un peu trop et en leur accordant des libertés et des marges de manœuvres.
De plus, le Raja, conscient qu'il ne pourra plus surprendre ni ressortir un clone du précédent match, est acculé à réaliser une belle performance et marquer le maximum de buts et faire la différence avant le retour.
Cette première partie ne sera pas aisée à négocier contre une équipe avertie et endurcie. Et c'est sûr que les deux protagonistes vont livrer un rude combat physique et une joute tactique serrée.
L'entraîneur du Raja ne fait pas de détours et compte sur les valeurs propres et forces de pénétration de ses joueurs qui seront dirigés par leur capitaine Jrindou.
La finale se jouant en deux temps, Meeuws, sans verser dans l'outrecuidance, lancera tout dans l'offensif avec la récupération de Nater pour inscrire le plus de buts possibles en vue de prendre une option sérieuse et rassurante mais tout en restant vigilant derrière.
Il ne redoute pas uniquement de prendre un but à Casablanca mais également l'inefficacité devant la cage. Le Zamalek ne sera pas facile à manier et ne permettra pas de créer de nombreuses occasions comme ce fut le cas contre les Ivoiriens. Et le seul remède est d'être efficace, de faire preuve de plus de précision tout en sachant accélérer, élever le niveau et apporter des variations dans le jeu et dans les attaques.
Et tout comme le Brésilien Cabral du Zamalek, Meeuws ne mise pas seulement sur ce premier échange car nous sommes capables de leur passer des buts au Caire.
En effet, le staff technique des visiteurs a disséqué, vu et revu à maintes reprises le dernier match du Raja et vont ainsi imposer une rigueur défensive en muselant les buteurs et à leur tête la flèche verte, Aboucharouane sur lequel les Égyptiens ont tenté de mettre de la pression par leurs déclarations mais aussi en cherchant à mettre leur emprise sur le milieu du terrain, pièce maîtresse dans le jeu des Casablancais. Le onze du Zamalek, arrive mardi soir, et qui devra, faute de terrain disposant d'éclairage autre que le complexe sportif Mohammed V, se contenter d'une séance d'entraînement par jour alors qu'il en avait prévu deux dont la seconde le soir, n'est ni un novice ni un farfelu. Il sait pertinemment qu'une telle finale se gagne sur l'ensemble des deux matches à commencer par un bon résultat à l'aller, une phase sur laquelle le coach Carlos Cabral jettera son dévolu en comptant sur le vieux renard et chasseur des buts Hossam Hassan (36 ans).
Et au delà des déclarations et des appréhensions des uns et des autres qui relèvent plus des campagnes de matraquage et d'intox, seule la réalité du terrain primera, samedi soir, et c'est pourquoi les deux coachs axeront plus leur travail dans cette dernière ligne droite sur le mental, la préparation psychique et les consignes tactiques.
