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Les six sacres consécutifs - un record dans les annales du football national ! ont été agrémentés par des consécrations continentales telles que la Ligue des champions, la super-coupe d'Afrique , et la coupe afro-asiatique. Bref le club «vert et blanc» multipliait les prouesses et vivait sur un nuage.
Mais, parallèlement à ces excellents résultats, les responsables avaient oublié de former et de préparer une relève capable de défendre ces acquis et de les préserver.
Déjà en début de saison les champions en titre avaient commencé par une série de contre-performances , dont la défaite contre le Wydad (0-2) au match aller. Du coup, Youri puis Fethi Jamal qui s'était appuyé sur les jeunes issus du centre de formation du club avait, sous la pression du public, rendu le tablier.
Les supporters réclamaient des résultats imminents, étaient impatients et ne voulaient guère patienter pour voir éclore des talents purement rajaouis.
Les dirigeants pressés également par l'exigent public des «Verts» ont procédé à un recrutement massif afin de sauver la saison et sauvegarder le titre de champion devenu presqu'une propriété exclusive des «Verts».
Le technicien belge Walter Meuuws est donc arrivé en même temps que le Camerounais François, le Kacemi Amekar, le Sahraoui Gasmi, le militaire Foulouh et le Mohammedien Ben Bella.
Ceci se traduisit par un net redressement du Raja qui se remit à glaner les points de la victoire et se mêla à la course au titre. Mais le coup de semonce asséné dimanche dernier par l'éternel rival a obligé le Raja de revenir sur terre et de constater qu'il n'était plus l'ogre de jadis et que son volume de jeu et la stature de ses joueurs avaient considérablement régressé. Le Raja souffre indéniablement de sa défense et de son milieu de terrain et manque terriblement d'un gardien de club à la dimension de ses aspirations tant au niveau national que continental.
Maintenant qu'il est définitivement écarté de la course pour le championnat, le Raja de Casablanca qui abordera les phases finales de la Ligue des champions début août est appelé à réviser ses cartes avant cette échéance.
Placé dans un groupe de gros bras, tels que Al Ahly d'Egypte ou Jeanne d'Arc du Sénégal, le Raja de Casablanca devra se renforcer davantage et combler ses lacunes avant d'aborder cette compétition où il aura la lourde tâche de représenter le football national.
Cette défaite est venue à point nommé tirer la sonnette d'alarme et remettre les points sur les i à deux mois du début de la Ligue des champions.
Mais, parallèlement à ces excellents résultats, les responsables avaient oublié de former et de préparer une relève capable de défendre ces acquis et de les préserver.
Déjà en début de saison les champions en titre avaient commencé par une série de contre-performances , dont la défaite contre le Wydad (0-2) au match aller. Du coup, Youri puis Fethi Jamal qui s'était appuyé sur les jeunes issus du centre de formation du club avait, sous la pression du public, rendu le tablier.
Les supporters réclamaient des résultats imminents, étaient impatients et ne voulaient guère patienter pour voir éclore des talents purement rajaouis.
Les dirigeants pressés également par l'exigent public des «Verts» ont procédé à un recrutement massif afin de sauver la saison et sauvegarder le titre de champion devenu presqu'une propriété exclusive des «Verts».
Le technicien belge Walter Meuuws est donc arrivé en même temps que le Camerounais François, le Kacemi Amekar, le Sahraoui Gasmi, le militaire Foulouh et le Mohammedien Ben Bella.
Ceci se traduisit par un net redressement du Raja qui se remit à glaner les points de la victoire et se mêla à la course au titre. Mais le coup de semonce asséné dimanche dernier par l'éternel rival a obligé le Raja de revenir sur terre et de constater qu'il n'était plus l'ogre de jadis et que son volume de jeu et la stature de ses joueurs avaient considérablement régressé. Le Raja souffre indéniablement de sa défense et de son milieu de terrain et manque terriblement d'un gardien de club à la dimension de ses aspirations tant au niveau national que continental.
Maintenant qu'il est définitivement écarté de la course pour le championnat, le Raja de Casablanca qui abordera les phases finales de la Ligue des champions début août est appelé à réviser ses cartes avant cette échéance.
Placé dans un groupe de gros bras, tels que Al Ahly d'Egypte ou Jeanne d'Arc du Sénégal, le Raja de Casablanca devra se renforcer davantage et combler ses lacunes avant d'aborder cette compétition où il aura la lourde tâche de représenter le football national.
Cette défaite est venue à point nommé tirer la sonnette d'alarme et remettre les points sur les i à deux mois du début de la Ligue des champions.
