Connexion
Dans un communiqué final adopté à l'issue de cette réunion, les participants ont formulé l'espoir que les initiatives portant sur le Proche-Orient «débouchent sur la concrétisation de la vision de deux Etats - israélien et palestinien - vivant côte-à-côte dans des frontières sûres et reconnues». Il ont également appelé le Conseil de sécurité à «faire usage de tous les moyens à sa disposition pour assurer la mise en œuvre de toutes ses résolutions pertinentes», réaffirmant qu'un règlement global, juste et durable de la question de Palestine ne pouvait être atteint que sur la base des résolutions 242 (1967), 338 (1937) et 1397 (2002) du Conseil de sécurité et du principe la «terre pour la paix».
Les participants ont estimé que l'initiative de paix arabe adoptée à Beyrouth «représente une contribution très positive et constructive aux efforts d'ensemble tendant à instaurer la paix au Moyen-Orient». Ils ont, en outre, «souscrit à l'idée du déploiement, sous une forme ou une autre, d'une présence internationale chargée de surveiller le respect d'un cessez-le-feu et de rétablir la confiance en termes de sécurité et sur le plan politique», affirmant à nouveau leur reconnaissance du «droit souverain du peuple palestinien à élire démocratiquement ses dirigeants sans aucune interférence».
Les participants se sont, en outre, félicités du rôle joué par les Etats africains à différents échelons -OUA, mouvement des Non-alignés «pour promouvoir un règlement global, juste et durable de la question de Palestine».
La réunion africaine des Nations unies pour l'appui aux droits inaliénables du peuple palestinien s'est tenue à Rabat, les 24 et 25 juin 2002, sous les auspices du comité pour l'exercice des droits inaliénables du peuple palestinien.
La réunion a rassemblé des personnalités politiques et experts éminents d'Afrique ainsi que d'autres experts internationaux et des représentants de gouvernement, de la Palestine, d'organisations intergouvernementales, d'organismes du système des Nations unies, de Parlements, d'organisations de la société civile, d'établissements universitaires et de médias.
Les participants ont estimé que l'initiative de paix arabe adoptée à Beyrouth «représente une contribution très positive et constructive aux efforts d'ensemble tendant à instaurer la paix au Moyen-Orient». Ils ont, en outre, «souscrit à l'idée du déploiement, sous une forme ou une autre, d'une présence internationale chargée de surveiller le respect d'un cessez-le-feu et de rétablir la confiance en termes de sécurité et sur le plan politique», affirmant à nouveau leur reconnaissance du «droit souverain du peuple palestinien à élire démocratiquement ses dirigeants sans aucune interférence».
Les participants se sont, en outre, félicités du rôle joué par les Etats africains à différents échelons -OUA, mouvement des Non-alignés «pour promouvoir un règlement global, juste et durable de la question de Palestine».
La réunion africaine des Nations unies pour l'appui aux droits inaliénables du peuple palestinien s'est tenue à Rabat, les 24 et 25 juin 2002, sous les auspices du comité pour l'exercice des droits inaliénables du peuple palestinien.
La réunion a rassemblé des personnalités politiques et experts éminents d'Afrique ainsi que d'autres experts internationaux et des représentants de gouvernement, de la Palestine, d'organisations intergouvernementales, d'organismes du système des Nations unies, de Parlements, d'organisations de la société civile, d'établissements universitaires et de médias.
