Réaffirmant son soutien au prix Nobel de la paix dans son combat pour l'édification d'un Etat palestinien viable et homogène, M. Berdugo a réitéré la position, maintes fois exprimée par le Conseil des communautés, pour l'instauration d'une paix juste dans la sécurité et la dignité pour tous et condamne l'insoutenable spirale des violences qui, jour après jour, endeuille la région.
Le Conseil des communautés a salué l'intense activité diplomatique déployée par S.M. le Roi Mohammed VI qui, dans la pure tradition des Souverains Alaouites, s'efforce avec courage, lucidité et modération de maintenir ouvertes
les voies du dialogue et éviter
l'irréparable, a affirmé M. Berdugo.
La communauté juive marocaine élève des prières pour que la raison finisse par l'emporter et que le plan, prometteur de paix adopté par le Sommet de Beyrouth, puisse servir de base à une solution urgente et globale dans le conflit fratricide qui déchire les fils d'Abraham, a-t-il ajouté.
L'ambassadeur de Palestine a remercié la délégation pour son témoignage de sympathie et pour son soutien constant en faveur d'une solution politique au conflit.
Outre M. Berdugo, la délégation comprenait MM. Boris Tolédano, président de la communauté israélite de Casablanca, Armand Guigui, président de la communauté israélite de Fès, David
Tolédano, secrétaire général de la communauté israélite de Rabat et Elie Lévy, membre de la communauté israélite de Casablanca.
A signaler également que plusieurs manifestations spontanées se sont déroulées hier sur l'ensemble du territoire national. Notamment à Casablanca et Rabat où de nombreuses ONG et organisations politiques et syndicales ont défilé en signe de soutien à la résistance héroïque du peuple palestinien contre la barbarie d'Ariel Sharon et de ses affidés. Dans ce même objectif, des journalistes de
l'hebdomadaire de langue arabe,
Casablanca, sont entrés en grève de la faim de trois jours.
S'exprimant au nom de la rédaction de l'hebdomadaire, M. Abderrahim Tafenout a appelé tous les professionnels de la place à «agir sans attente, retenue ni calcul pour faire cesser les exactions de Sharon qui touchent la liberté et la démocratie, terreau de l'existence des hommes de la presse, défenseurs du droit et de la vérité». Des exactions qui ont également touché à la liberté d'expression puisque les journalistes présents sur le terrain sont devenus la cible des tirs de l'armée israélienne. Une action préméditée que l'ensemble des organisations professionnelles ont dénoncées. Notamment Reporters sans frontières qui a lancé une campagne de communication dont le leitmotiv est ont ne peut plus explicite. Les placards que cette organisation a publiées dans le presse française : «Monsieur Sharon, les journalistes, ça sert à faire des papiers et non à faire des cartons», témoigne des dangers que les argousins de Tsahal font encourir aux représentants des médias.
Le Conseil des communautés a salué l'intense activité diplomatique déployée par S.M. le Roi Mohammed VI qui, dans la pure tradition des Souverains Alaouites, s'efforce avec courage, lucidité et modération de maintenir ouvertes
les voies du dialogue et éviter
l'irréparable, a affirmé M. Berdugo.
La communauté juive marocaine élève des prières pour que la raison finisse par l'emporter et que le plan, prometteur de paix adopté par le Sommet de Beyrouth, puisse servir de base à une solution urgente et globale dans le conflit fratricide qui déchire les fils d'Abraham, a-t-il ajouté.
L'ambassadeur de Palestine a remercié la délégation pour son témoignage de sympathie et pour son soutien constant en faveur d'une solution politique au conflit.
Outre M. Berdugo, la délégation comprenait MM. Boris Tolédano, président de la communauté israélite de Casablanca, Armand Guigui, président de la communauté israélite de Fès, David
Tolédano, secrétaire général de la communauté israélite de Rabat et Elie Lévy, membre de la communauté israélite de Casablanca.
A signaler également que plusieurs manifestations spontanées se sont déroulées hier sur l'ensemble du territoire national. Notamment à Casablanca et Rabat où de nombreuses ONG et organisations politiques et syndicales ont défilé en signe de soutien à la résistance héroïque du peuple palestinien contre la barbarie d'Ariel Sharon et de ses affidés. Dans ce même objectif, des journalistes de
l'hebdomadaire de langue arabe,
Casablanca, sont entrés en grève de la faim de trois jours.
S'exprimant au nom de la rédaction de l'hebdomadaire, M. Abderrahim Tafenout a appelé tous les professionnels de la place à «agir sans attente, retenue ni calcul pour faire cesser les exactions de Sharon qui touchent la liberté et la démocratie, terreau de l'existence des hommes de la presse, défenseurs du droit et de la vérité». Des exactions qui ont également touché à la liberté d'expression puisque les journalistes présents sur le terrain sont devenus la cible des tirs de l'armée israélienne. Une action préméditée que l'ensemble des organisations professionnelles ont dénoncées. Notamment Reporters sans frontières qui a lancé une campagne de communication dont le leitmotiv est ont ne peut plus explicite. Les placards que cette organisation a publiées dans le presse française : «Monsieur Sharon, les journalistes, ça sert à faire des papiers et non à faire des cartons», témoigne des dangers que les argousins de Tsahal font encourir aux représentants des médias.
