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Les professionnels du secteur meunier, ayant pressenti - souligne le président de la fédération nationale de la minoterie M. Ahmed Bouaïda dans son allocution de bienvenue -les prémices d'une libéralisation progressive du secteur depuis le début des années 90, ont décidé de mettre en place, en partenariat avec l'US Wheat associates, un Institut de formation de l'industrie meunière devenu opérationnel depuis 1994.
De nouveau et dans un souci de dynamiser cet institut, le bureau de la fédération nationale de la minoterie, a conclu une deuxième convention en 1999 avec l'U.S. W. même partenaire appelée M.O.P (Miller Our Reach Program), visant à promouvoir un certain nombre d'opérations génératrices de ressources à savoir la formation continue, l'analyse de laboratoire et l'assistance technique aux moulins.
Programme pour l'an 2002
M. Bouaïda note, par ailleurs que la Fédération de la minoterie avait -fait appel aux experts des programmes MEDA afin de l'aider à cerner et identifier les besoins de formation continue du secteur meunier. Ce qui a permis d'établir un programme pour l'année 2002. Pour sa part, le signataire de la convention du 29 avril 2002, le directeur général de l'O.F.P.P.T M. Larbi Bencheikh tranche d'emblée disant : «dans un contexte où la mondialisation se fait de plus en plus pressante, où qualité et productivité deviennent les maîtres mots de la compétitivité et où tous les efforts doivent être déployés pour drainer l'investissement étranger, seul un capital humain compétent, motivé et évoluant dans un environnement propice et rassurant, est capable de faire la différence. En effet, l'entreprise marocaine est de plus en plus appelée à se mettre aux normes internationales et améliorer sa compétitivité en vue de faire face à la concurrence mondiale qui devient dure jour après jour». Ainsi, il convient de mettre en évidence la portée de la convention qui lie désormais l'Office de la formation professionnelle et de la promotion du travail (O.F.P.P.T) et la Fédération nationale de la minoterie (F.N.M) mettant en œuvre la formation continue des salariés des minoteries.
S'agissant d'un programme sectoriel de formation ambitieux, M. Bencheikh précise que : «Cet accord sera, profitable à trois-cent participants provenant de 60 entreprises du secteur dans différents domaines des techniques meunières»..
C'est dans une perspective heureuse que l'O.F.P.P.T a opté pour l'application d'un système de financement souple et efficace (système du tiers payant), permettant à la fédération de supporte r uniquement 20% des frais de formation, le reste étant pris en charge dans le cadre du système des contrats spéciaux de formation.
Ce cadre, selon M. Bencheikh, a connu cette année, une nouvelle réforme dont les objectifs devraient aboutir à améliorer la qualité des plans de formation en insistant sur la pertinence des études d'ingénierie, en ciblant les secteurs et populations prioritaires à travers le financement de programmes de formation sectoriels portés par les branches professionnelles. «L'Histoire retiendra plus particulièrement le fait que la fédération et l'O.F.P.P.T étaient les instigateurs de la formation sectorielle par la création de cet institut spécialisé,» rappelle en substance le directeur général de l'O.F.P.P.T, tout heureux d'avoir visité pour la première fois, peut-être les locaux de l'Institut de formation de l'industrie meunière dont la direction est assurée actuellement par M. Abdellatif Izem.
De nouveau et dans un souci de dynamiser cet institut, le bureau de la fédération nationale de la minoterie, a conclu une deuxième convention en 1999 avec l'U.S. W. même partenaire appelée M.O.P (Miller Our Reach Program), visant à promouvoir un certain nombre d'opérations génératrices de ressources à savoir la formation continue, l'analyse de laboratoire et l'assistance technique aux moulins.
Programme pour l'an 2002
M. Bouaïda note, par ailleurs que la Fédération de la minoterie avait -fait appel aux experts des programmes MEDA afin de l'aider à cerner et identifier les besoins de formation continue du secteur meunier. Ce qui a permis d'établir un programme pour l'année 2002. Pour sa part, le signataire de la convention du 29 avril 2002, le directeur général de l'O.F.P.P.T M. Larbi Bencheikh tranche d'emblée disant : «dans un contexte où la mondialisation se fait de plus en plus pressante, où qualité et productivité deviennent les maîtres mots de la compétitivité et où tous les efforts doivent être déployés pour drainer l'investissement étranger, seul un capital humain compétent, motivé et évoluant dans un environnement propice et rassurant, est capable de faire la différence. En effet, l'entreprise marocaine est de plus en plus appelée à se mettre aux normes internationales et améliorer sa compétitivité en vue de faire face à la concurrence mondiale qui devient dure jour après jour». Ainsi, il convient de mettre en évidence la portée de la convention qui lie désormais l'Office de la formation professionnelle et de la promotion du travail (O.F.P.P.T) et la Fédération nationale de la minoterie (F.N.M) mettant en œuvre la formation continue des salariés des minoteries.
S'agissant d'un programme sectoriel de formation ambitieux, M. Bencheikh précise que : «Cet accord sera, profitable à trois-cent participants provenant de 60 entreprises du secteur dans différents domaines des techniques meunières»..
C'est dans une perspective heureuse que l'O.F.P.P.T a opté pour l'application d'un système de financement souple et efficace (système du tiers payant), permettant à la fédération de supporte r uniquement 20% des frais de formation, le reste étant pris en charge dans le cadre du système des contrats spéciaux de formation.
Ce cadre, selon M. Bencheikh, a connu cette année, une nouvelle réforme dont les objectifs devraient aboutir à améliorer la qualité des plans de formation en insistant sur la pertinence des études d'ingénierie, en ciblant les secteurs et populations prioritaires à travers le financement de programmes de formation sectoriels portés par les branches professionnelles. «L'Histoire retiendra plus particulièrement le fait que la fédération et l'O.F.P.P.T étaient les instigateurs de la formation sectorielle par la création de cet institut spécialisé,» rappelle en substance le directeur général de l'O.F.P.P.T, tout heureux d'avoir visité pour la première fois, peut-être les locaux de l'Institut de formation de l'industrie meunière dont la direction est assurée actuellement par M. Abdellatif Izem.
