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Du côté du Sud, quatre marins sont morts, un est porté disparu, dix-neuf ont été blessés et un patrouilleur a été coulé.
Un destroyer sud-coréen et d'autres bâtiments ont été dépêchés dimanche à la frontière maritime. La marine du Nord est restée dans ses eaux et aucun mouvement particulier de troupes n'était détecté, selon des responsables du Sud.
Le Président sud-coréen Kim Dae-Jung a assisté au Japon à la victoire du Brésil sur l'Allemagne au Mondial, laissant son armée mobilisée après la bataille qui a suscité l'inquiétude, des Etats-Unis à la Chine en passant par le Japon.
Séoul et Washington ont accusé Pyongyang de provocation. Le régime stalinien a rejeté sur le Sud la responsabilité des échanges de tirs qui ont rappelé que la péninsule restait un des points chauds du globe, près de cinquante ans après la fin de la guerre de Corée.
Un simple armistice a été signé en 1953 et aucun traité de paix n'a depuis scellé la fin des hostilités.
La situation est resté tendue dimanche de part et d'autre de la frontière, avec les deux armées en état d'alerte renforcée. Cela n'a pas empêché les Coréens du sud de fêter les exploits de leur équipe qui a fini quatrième de la coupe du monde après une défaite face à la Turquie samedi soir. Pyongyang a rejeté des discussions entre responsables militaires dans la zone démilitarisée séparant les deux Corées, proposées pour désamorcer la tension, a rapporté l'agence sud-coréenne Yonhap.La Corée du Nord a exigé comme condition préalable l'abolition de la frontière maritime entre le Nord et le Sud, qu'elle conteste, selon Yonhap. Le chef d'état-major général du Sud, le général Lee Nam-Shin, a déclaré que ses forces «ont fait preuve de retenue pour éviter que l'affrontement ne dégénère en guerre ouverte qui aurait pu dévaster la péninsule».
Un autre membre de l'état-major, le général Ahn Ki-Seok, a déclaré dimanche que des centaines de munitions avaient été tirées sur un patrouilleur nord-coréen.
«Nous pensons que les victimes du côté du Nord dépassent les trente hommes», a-t-il dit.
Un destroyer sud-coréen et d'autres bâtiments ont été dépêchés dimanche à la frontière maritime. La marine du Nord est restée dans ses eaux et aucun mouvement particulier de troupes n'était détecté, selon des responsables du Sud.
Le Président sud-coréen Kim Dae-Jung a assisté au Japon à la victoire du Brésil sur l'Allemagne au Mondial, laissant son armée mobilisée après la bataille qui a suscité l'inquiétude, des Etats-Unis à la Chine en passant par le Japon.
Séoul et Washington ont accusé Pyongyang de provocation. Le régime stalinien a rejeté sur le Sud la responsabilité des échanges de tirs qui ont rappelé que la péninsule restait un des points chauds du globe, près de cinquante ans après la fin de la guerre de Corée.
Un simple armistice a été signé en 1953 et aucun traité de paix n'a depuis scellé la fin des hostilités.
La situation est resté tendue dimanche de part et d'autre de la frontière, avec les deux armées en état d'alerte renforcée. Cela n'a pas empêché les Coréens du sud de fêter les exploits de leur équipe qui a fini quatrième de la coupe du monde après une défaite face à la Turquie samedi soir. Pyongyang a rejeté des discussions entre responsables militaires dans la zone démilitarisée séparant les deux Corées, proposées pour désamorcer la tension, a rapporté l'agence sud-coréenne Yonhap.La Corée du Nord a exigé comme condition préalable l'abolition de la frontière maritime entre le Nord et le Sud, qu'elle conteste, selon Yonhap. Le chef d'état-major général du Sud, le général Lee Nam-Shin, a déclaré que ses forces «ont fait preuve de retenue pour éviter que l'affrontement ne dégénère en guerre ouverte qui aurait pu dévaster la péninsule».
Un autre membre de l'état-major, le général Ahn Ki-Seok, a déclaré dimanche que des centaines de munitions avaient été tirées sur un patrouilleur nord-coréen.
«Nous pensons que les victimes du côté du Nord dépassent les trente hommes», a-t-il dit.
