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Depuis début 2002, Younès n'a jamais quitté le top 20 et pendant près de quatre mois il a fait partie des 10 premiers joueurs de l'ATP. Cette exceptionnelle «longévité» atteste de sa formidable progression constatée certes déjà depuis trois années mais qui ne cesse de s'affirmer au fil des tournois.
A 29 ans, le chef de file du tennis national a acquis un nouveau statut sur le circuit professionnel car ce ne sont plus des performances sporadiques qui le propulsent aux devants de l'actualité mais plutôt sa constance. Comme ses succès à trois tournois cette année et ses deux autres finales perdues. Comment expliquer alors cette soudaine arrivée au sommet de la galaxie de la petite balle jaune ? Le président de la FRMT, M. Mohamed M'jid qui a assisté à son émergence, son éclosion et son épanouissement a son idée : «Cela fait tout de même dix années que Younès a rejoint le circuit professionnel et après l'apprentissage nécessaire pour combler des lacunes propres à tout joueur venant d'une contrée où le tennis est encore amateur, il a acquis la maturité nécessaire. Younès s'est bonifié et il s'est assagi sur tous les plans pour enfin jouer, si l'on peut dire, avec toutes les potentialités de son talent qui est immense. Croyez-moi, El Aynaoui n'a pas fini de surprendre et il a encore de belles années devant lui. Quart finaliste à l'US Open cette fois, il est en mesure d'aller encore plus loin dans une épreuve du grand chelem».
Sorti par le n° 1 mondial, l'Australien Hewitt, le Marocain, atomisé au 1er set (6-1) n'a sans doute pas cru en ses chances en début de partie et on regrettera tout juste qu'il ait perdu au second set au tie-break (8-6) avant de remporter symboliquement le troisième (6-4) et s'incliner finalement.
Younès El Anaoui sera d'attaque les 20, 21 et 22 septembre à Casablanca pour le compte de la Coupe Davis face à la Suisse et l'enjeu sera de taille : le Groupe mondial.
A 29 ans, le chef de file du tennis national a acquis un nouveau statut sur le circuit professionnel car ce ne sont plus des performances sporadiques qui le propulsent aux devants de l'actualité mais plutôt sa constance. Comme ses succès à trois tournois cette année et ses deux autres finales perdues. Comment expliquer alors cette soudaine arrivée au sommet de la galaxie de la petite balle jaune ? Le président de la FRMT, M. Mohamed M'jid qui a assisté à son émergence, son éclosion et son épanouissement a son idée : «Cela fait tout de même dix années que Younès a rejoint le circuit professionnel et après l'apprentissage nécessaire pour combler des lacunes propres à tout joueur venant d'une contrée où le tennis est encore amateur, il a acquis la maturité nécessaire. Younès s'est bonifié et il s'est assagi sur tous les plans pour enfin jouer, si l'on peut dire, avec toutes les potentialités de son talent qui est immense. Croyez-moi, El Aynaoui n'a pas fini de surprendre et il a encore de belles années devant lui. Quart finaliste à l'US Open cette fois, il est en mesure d'aller encore plus loin dans une épreuve du grand chelem».
Sorti par le n° 1 mondial, l'Australien Hewitt, le Marocain, atomisé au 1er set (6-1) n'a sans doute pas cru en ses chances en début de partie et on regrettera tout juste qu'il ait perdu au second set au tie-break (8-6) avant de remporter symboliquement le troisième (6-4) et s'incliner finalement.
Younès El Anaoui sera d'attaque les 20, 21 et 22 septembre à Casablanca pour le compte de la Coupe Davis face à la Suisse et l'enjeu sera de taille : le Groupe mondial.
