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Mouna Ayoub, la célèbre milliardaire libanaise, a fait le déplacement tout spécialement pour leur donner le départ, équipage par équipage. Les épreuves qui attendent les Gazelles ces huit jours à venir ne sont pas sans lui rappeler le combat quotidien qu'elle a dû mener pour gagner sa liberté et affirmer son autonomie. Courage, détermination, patience et persévérance sont les valeurs qu'elles partagent.
Même si cette première étape ne présentait pas énormément de difficultés techniques, les problèmes d'orientation se sont très rapidement fait sentir pour atteindre la deuxième balise, un de ces petits drapeaux rouges que les Gazelles doivent atteindre avec pour seuls outils, une carte, une boussole et un compas.
Le GPS est formellement interdit. Le but est d'arriver à atteindre les cinq balises en parcourant un minimum de kilomètres. Le vent très violent qui a soufflé sans discontinu a brouillé tous les repères : les tempêtes de sable n'offraient qu'une visibilité très réduite. L'équipage MacDonald's/Ousra Magazine, premier équipage marocain à atteindre la deuxième balise, a mis plus de quatre heures pour parcourir les dix kilomètres qui séparaient la première de la deuxième balise. De quoi mettre à rude épreuve les plus patientes… Red Bull s'est chargé, dès le départ, de distribuer des canettes de sa boisson énergisante. Les Gazelles les ont accueillies avec enthousiasme : le lever à 4h du matin n'a pas été facile. Les concurrentes n'ont que peu dormi. Les préparatifs de la veille ne leur en ont pas laissé le loisir.
L'équipage Sidi Harazem, boisson officielle du Trophée Aïcha des Gazelles, composé de Charlotte Cantarel et de Leïla Benjelloun, est rentré le premier au bivouac vers 19h30 avec un passage de balise validé. Un bon début pour une première participation. L'équipage McDonald's/Ousra Magazine a été le deuxième à arriver vers 22h avec deux balises.
« On nous avait dit que cette première étape serait très facile. Je peux vous assurer que ce n'était pas vrai.. On en a vraiment bavé.
Le relief que l'on voyait ne correspondait pas du tout à ce qu'il y avait sur la carte. On a tourné en rond un bon moment.
Et pour couronner le tout, à la deuxième balise, la causse de la batterie a fondu. Nous avons attendu deux heures pour réparer » explique Nahid Rached de l'équipe McDonald's/Ousra Magazine.
Les trois autres équipages marocains (Suzuki, MFB/Ada/
Pépé jeans/Motul) ont pris l'option de passer la nuit dans le désert et d'attendre que le jour se lève pour reprendre le départ.
Même si cette première étape ne présentait pas énormément de difficultés techniques, les problèmes d'orientation se sont très rapidement fait sentir pour atteindre la deuxième balise, un de ces petits drapeaux rouges que les Gazelles doivent atteindre avec pour seuls outils, une carte, une boussole et un compas.
Le GPS est formellement interdit. Le but est d'arriver à atteindre les cinq balises en parcourant un minimum de kilomètres. Le vent très violent qui a soufflé sans discontinu a brouillé tous les repères : les tempêtes de sable n'offraient qu'une visibilité très réduite. L'équipage MacDonald's/Ousra Magazine, premier équipage marocain à atteindre la deuxième balise, a mis plus de quatre heures pour parcourir les dix kilomètres qui séparaient la première de la deuxième balise. De quoi mettre à rude épreuve les plus patientes… Red Bull s'est chargé, dès le départ, de distribuer des canettes de sa boisson énergisante. Les Gazelles les ont accueillies avec enthousiasme : le lever à 4h du matin n'a pas été facile. Les concurrentes n'ont que peu dormi. Les préparatifs de la veille ne leur en ont pas laissé le loisir.
L'équipage Sidi Harazem, boisson officielle du Trophée Aïcha des Gazelles, composé de Charlotte Cantarel et de Leïla Benjelloun, est rentré le premier au bivouac vers 19h30 avec un passage de balise validé. Un bon début pour une première participation. L'équipage McDonald's/Ousra Magazine a été le deuxième à arriver vers 22h avec deux balises.
« On nous avait dit que cette première étape serait très facile. Je peux vous assurer que ce n'était pas vrai.. On en a vraiment bavé.
Le relief que l'on voyait ne correspondait pas du tout à ce qu'il y avait sur la carte. On a tourné en rond un bon moment.
Et pour couronner le tout, à la deuxième balise, la causse de la batterie a fondu. Nous avons attendu deux heures pour réparer » explique Nahid Rached de l'équipe McDonald's/Ousra Magazine.
Les trois autres équipages marocains (Suzuki, MFB/Ada/
Pépé jeans/Motul) ont pris l'option de passer la nuit dans le désert et d'attendre que le jour se lève pour reprendre le départ.
