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Ce Changement est intervenu alors que Washington demande à l'ONU d'adopter une résolution qui renforce le régime des inspections de désarmement de Baghdad tout en faisant planer la menace d'une intervention armée contre Baghdad.
Bush avait déjà obtenu gain de cause le mois dernier lorsque le congrès lui a concédé à une écrasante majorité toute autorité pour faire usage de la force contre Baghdad s'il le juge nécessaire.
La lutte antiterroriste et l'Irak ont été des thèmes majeurs de la campagne électorale. La victoire du camp républicain donne davantage de légitimité au message présidentiel, d'autant plus que désormais plus aucun secteur du pouvoir ,en l'occurrence le législatif, ne devrait se poser en entrave pour les plans du Président Bush. La Maison Blanche a maintenant toute latitude pour négocier à l'ONU afin d'imposer à l'Irak un retour des inspecteurs en désarmement, et il a toute liberté pour agir sans les Nations unies s'il le juge nécessaire. Selon des analystes, le choix entre une solution militaire ou diplomatique n'est pas encore tranché et le regain de force du Président Bush après cette victoire peut jouer dans l'une ou l'autre possibilité.
La victoire républicaine aura aussi des répercussions sur la politique américaine concernant le conflit du Proche-Orient, les Républicains préfèrent n'agir que pour protéger les alliés de Washington et leurs intérêts, ce qui se traduira par un plus grand soutien à Israël. Il est à craindre que le plan du quartette prévoyant la création d'un Etat palestinien d'ici à 2005, conformément à la vision de M. Bush, ne reste lettre morte. L'Administration américaine semble négliger le dossier du conflit israélo-palestinien surtout après les attentats du 11 septembre 2001 et le déclenchement de la campagne antiterroriste qui a eu pour conséquence une confusion entre la résistance menée par les Palestiniens et le terrorisme.
Bush avait déjà obtenu gain de cause le mois dernier lorsque le congrès lui a concédé à une écrasante majorité toute autorité pour faire usage de la force contre Baghdad s'il le juge nécessaire.
La lutte antiterroriste et l'Irak ont été des thèmes majeurs de la campagne électorale. La victoire du camp républicain donne davantage de légitimité au message présidentiel, d'autant plus que désormais plus aucun secteur du pouvoir ,en l'occurrence le législatif, ne devrait se poser en entrave pour les plans du Président Bush. La Maison Blanche a maintenant toute latitude pour négocier à l'ONU afin d'imposer à l'Irak un retour des inspecteurs en désarmement, et il a toute liberté pour agir sans les Nations unies s'il le juge nécessaire. Selon des analystes, le choix entre une solution militaire ou diplomatique n'est pas encore tranché et le regain de force du Président Bush après cette victoire peut jouer dans l'une ou l'autre possibilité.
La victoire républicaine aura aussi des répercussions sur la politique américaine concernant le conflit du Proche-Orient, les Républicains préfèrent n'agir que pour protéger les alliés de Washington et leurs intérêts, ce qui se traduira par un plus grand soutien à Israël. Il est à craindre que le plan du quartette prévoyant la création d'un Etat palestinien d'ici à 2005, conformément à la vision de M. Bush, ne reste lettre morte. L'Administration américaine semble négliger le dossier du conflit israélo-palestinien surtout après les attentats du 11 septembre 2001 et le déclenchement de la campagne antiterroriste qui a eu pour conséquence une confusion entre la résistance menée par les Palestiniens et le terrorisme.
