La rencontre s'annonce déjà décisive pour les deux pays, qui ne peuvent plus se permettre un nouveau faux pas après leur défaite de la première journée, la France ayant été dominée par le Sénégal
(1-0).
«Nous pensions arriver contre la France avec les trois points de la victoire contre le Danemark, et donc avec l'esprit tranquille», a confessé Pua à l'issue de l'entraînement de dimanche, près de Cheonan.
Le technicien a reconnu qu'il avait encore des doutes sur la composition de l'équipe contre la France. «Nous jouerons peut-être de manière différente que contre le Danemark, en étoffant un peu le milieu de terrain. Plusieurs solutions tactiques et individuelles sont possibles», a-t-il dit.
Ainsi, Pua pourrait éventuellement faire appel au milieu de terrain Fabian O'Neill, si celui-ci est rétabli à temps de sa blessure au tendon d'Achille gauche contractée il y a deux semaines. Mais le futur joueur de la Juventus Turin (D1 italienne), qui était à Pérouse (D1 italienne) la saison passée, n'a pas encore repris l'entraînement avec ses partenaires, se contentant de courses à l'écart du groupe.
«J'ai encore un peu mal, mais je peux commencer à m'entraîner avec les autres. Il n'est donc pas impossible que je sois en mesure de jouer contre la France», a déclaré le joueur à l'AFP.
En outre, l'attaquant Dario Silva, victime d'un coup contre le Danemark, souffre du genou droit et ne s'est pas entraîné dimanche. Mais selon le docteur Carlos Voituret, il devrait être totalement rétabli d'ici jeudi.
Facteurs extra-sportifs
Par ailleurs l'attaquant uruguayen Alvaro Recoba craint que des facteurs extra-sportifs pourraient peser sur la rencontre France-Uruguay, jeudi, à Busan, en match comptant pour la deuxième journée du groupe A.
«Il est impensable que la France soit sortie dès le premier tour», a-t-il déclaré à l'AFP après un entraînement de la Celeste dimanche à Cheonan.
«Je crains que des intérêts qui ne soient pas sportifs ne viennent peser sur la rencontre, et j'espère que ce soit seul le football qui décide du résultat», a ajouté l'attaquant de l'Inter Milan.
Si Recoba reconnaît qu'un match nul «compliquerait les choses», il a cependant jugé «qu'un nul contre la France et une victoire devant le Sénégal peuvent être suffisants pour se qualifier en deuxième phase.»
«Les Français auront davantage de pression que nous, car ils sont champions du monde et devront attaquer. Cela pourra nous favoriser, notre jeu étant plus basé sur la contre-attaque», a-t-il conclu.
Concernant le probable forfait de Zinédine Zidane, le sélectionneur uruguayen, Victor Pua, a estimé dimanche que «la France ce n'est pas seulement Zidane, c'est une grande équipe qu'il faut respecter», et que malgré l'absence du meneur des Bleus, la France «ne sera pas un rival facile à battre.»
«C'est le match, c'est la chance à saisir pour se qualifier», a ajouté Victor Pua, pour qui Zidane «est un grand joueur, important pour le dispositif français de par sa technique individuelle.»
(1-0).
«Nous pensions arriver contre la France avec les trois points de la victoire contre le Danemark, et donc avec l'esprit tranquille», a confessé Pua à l'issue de l'entraînement de dimanche, près de Cheonan.
Le technicien a reconnu qu'il avait encore des doutes sur la composition de l'équipe contre la France. «Nous jouerons peut-être de manière différente que contre le Danemark, en étoffant un peu le milieu de terrain. Plusieurs solutions tactiques et individuelles sont possibles», a-t-il dit.
Ainsi, Pua pourrait éventuellement faire appel au milieu de terrain Fabian O'Neill, si celui-ci est rétabli à temps de sa blessure au tendon d'Achille gauche contractée il y a deux semaines. Mais le futur joueur de la Juventus Turin (D1 italienne), qui était à Pérouse (D1 italienne) la saison passée, n'a pas encore repris l'entraînement avec ses partenaires, se contentant de courses à l'écart du groupe.
«J'ai encore un peu mal, mais je peux commencer à m'entraîner avec les autres. Il n'est donc pas impossible que je sois en mesure de jouer contre la France», a déclaré le joueur à l'AFP.
En outre, l'attaquant Dario Silva, victime d'un coup contre le Danemark, souffre du genou droit et ne s'est pas entraîné dimanche. Mais selon le docteur Carlos Voituret, il devrait être totalement rétabli d'ici jeudi.
Facteurs extra-sportifs
Par ailleurs l'attaquant uruguayen Alvaro Recoba craint que des facteurs extra-sportifs pourraient peser sur la rencontre France-Uruguay, jeudi, à Busan, en match comptant pour la deuxième journée du groupe A.
«Il est impensable que la France soit sortie dès le premier tour», a-t-il déclaré à l'AFP après un entraînement de la Celeste dimanche à Cheonan.
«Je crains que des intérêts qui ne soient pas sportifs ne viennent peser sur la rencontre, et j'espère que ce soit seul le football qui décide du résultat», a ajouté l'attaquant de l'Inter Milan.
Si Recoba reconnaît qu'un match nul «compliquerait les choses», il a cependant jugé «qu'un nul contre la France et une victoire devant le Sénégal peuvent être suffisants pour se qualifier en deuxième phase.»
«Les Français auront davantage de pression que nous, car ils sont champions du monde et devront attaquer. Cela pourra nous favoriser, notre jeu étant plus basé sur la contre-attaque», a-t-il conclu.
Concernant le probable forfait de Zinédine Zidane, le sélectionneur uruguayen, Victor Pua, a estimé dimanche que «la France ce n'est pas seulement Zidane, c'est une grande équipe qu'il faut respecter», et que malgré l'absence du meneur des Bleus, la France «ne sera pas un rival facile à battre.»
«C'est le match, c'est la chance à saisir pour se qualifier», a ajouté Victor Pua, pour qui Zidane «est un grand joueur, important pour le dispositif français de par sa technique individuelle.»
