Aujourd'hui, peut-on véritablement blâmer le président Nasseredine Doublali et toutes les composantes des rouges et blancs lorsqu'ils sont partis en guerre contre «ceux qui fomentent un complot contre eux»... ? Assurément non à la lumière de l'injustice qui les a frappés par le biais d'un arbitre, complètement dépassé par les événements et qui a été bien ridicule par son comportement, un arbitre encore jeune et qui nourrissait beaucoup d'espoir pour le corps arbitral avait-il besoin de jeter de l'huile sur le feu, à un moment où les ardeurs des uns et des autres commençaient à s'estomper ? A-t-il subi des pressions ou tout simplement n'a-t-il pu maîtriser la situation ? Cette rencontre avait été vraiment victime d'un arbitre sans expérience et visiblement trop faible pour diriger de tels débats ? Autant de questions que ce sont posé les spectateurs de ce match retard.
L'expulsion de Kaddouri, trop sévère puisque le wydadi s'est plutôt fait agresser, a suscité quelques doutes sur les véritables intentions de l'arbitre. Peut-être trop emporté par la colère, l'entraîneur Lozano, n'a guère été tendre envers le referee. Le second carton rouge sera pour lui. C'est la goutte qui a fait déborder un vase trop plein.
A 10, le WAC avait la difficile tâche de prendre de l'ascendant sur un adversaire qui opta pour un schéma défensif, à l'extrême puisqu'à chaque contre wydadi, les attaquants étaient face à une dizaine de Settatis dans la surface de réparation.
Arbitrage scandaleux
Et pourtant, les failles n'ont pas manqué et le plus heureux fut sans aucun doute l'international Benzekri qui sauva plus d'une fois sa cage. Mais ni leur bonne circulation du ballon, ni leur pression n'auront suffi aux locaux qui persistaient à percer par le centre de la surface de réparation. Les Settatis n'ont laissé que Belfoul en pointe soutenu de temps à autre par Bouhmame et Lazar. Juste avant la pause, Benzekri à deux reprises va sauver de chaudes balles de Lafoui et Boujemaâ. A la reprise, Boujemaâ encore lui va s'infiltrer et tirer sur le gardien settati. Au fil des minutes, on senti une certaine lassitude des Bidaouis, livrés à eux mêmes malgré un tir sur le poteau de Lafoui (65e) et un penalty refusé par l'arbitre après une main d'un Settati (75e). Les 2 équipes vont épuiser tous les remplacements mais hormis Aït Laârif, qui remplaça Saâd en milieu de terrain, les autres n'apportèrent guère la fraîcheur physique dont avait besoin l'équipe. De part et d'autre, il y avait un flagrant excès de précipitations qui fit le bonheur des
2 gardiens de buts. Dans les derniers instants de la partie, on vit des Wydadis résignés après tant d'efforts sans résultats. C'est alors que surgit Lafoui qui hérita d'un ballon, dribbla son vis-à-vis et se fait bousculer dans la surface de réparation. Une obstruction que tout le monde a vu sauf... l'arbitre. Le bêtisier. Un scandale de plus qui ne fera qu'envenimer un climat lourd de suspicion. Les observateurs les plus neutres ont vu là une manœuvre ubuesque pour assombrir le ciel wydadi.
Cet arbitre là, traîne déjà des casseroles derrière lui en toute impunité. Peu ambitieux et n'ayant aucune personnalité, il ne risque certainement pas de faire long feu.
A moins qu'il ne se sente vraiment protégé par des mains occultes. Il restera à la CCA et sa commission de discipline de réagir au plus vite pour mettre fin aux fresques de M. Chahrabile. Pour atténuer la tension et pour l'exemple. Notre football déjà bien mal en point n'a nullement besoin d'hommes qui faussent le jeu.
Quant à Lozano, bien connu pour ses sautes d'humeur, il a dangereusement dépassé certaines lignes. On comprendra qu'il fut ulcéré par l'arbitrage mais son statut d'éducateur l'obligeait à plus de retenue.
L'expulsion de Kaddouri, trop sévère puisque le wydadi s'est plutôt fait agresser, a suscité quelques doutes sur les véritables intentions de l'arbitre. Peut-être trop emporté par la colère, l'entraîneur Lozano, n'a guère été tendre envers le referee. Le second carton rouge sera pour lui. C'est la goutte qui a fait déborder un vase trop plein.
A 10, le WAC avait la difficile tâche de prendre de l'ascendant sur un adversaire qui opta pour un schéma défensif, à l'extrême puisqu'à chaque contre wydadi, les attaquants étaient face à une dizaine de Settatis dans la surface de réparation.
Arbitrage scandaleux
Et pourtant, les failles n'ont pas manqué et le plus heureux fut sans aucun doute l'international Benzekri qui sauva plus d'une fois sa cage. Mais ni leur bonne circulation du ballon, ni leur pression n'auront suffi aux locaux qui persistaient à percer par le centre de la surface de réparation. Les Settatis n'ont laissé que Belfoul en pointe soutenu de temps à autre par Bouhmame et Lazar. Juste avant la pause, Benzekri à deux reprises va sauver de chaudes balles de Lafoui et Boujemaâ. A la reprise, Boujemaâ encore lui va s'infiltrer et tirer sur le gardien settati. Au fil des minutes, on senti une certaine lassitude des Bidaouis, livrés à eux mêmes malgré un tir sur le poteau de Lafoui (65e) et un penalty refusé par l'arbitre après une main d'un Settati (75e). Les 2 équipes vont épuiser tous les remplacements mais hormis Aït Laârif, qui remplaça Saâd en milieu de terrain, les autres n'apportèrent guère la fraîcheur physique dont avait besoin l'équipe. De part et d'autre, il y avait un flagrant excès de précipitations qui fit le bonheur des
2 gardiens de buts. Dans les derniers instants de la partie, on vit des Wydadis résignés après tant d'efforts sans résultats. C'est alors que surgit Lafoui qui hérita d'un ballon, dribbla son vis-à-vis et se fait bousculer dans la surface de réparation. Une obstruction que tout le monde a vu sauf... l'arbitre. Le bêtisier. Un scandale de plus qui ne fera qu'envenimer un climat lourd de suspicion. Les observateurs les plus neutres ont vu là une manœuvre ubuesque pour assombrir le ciel wydadi.
Cet arbitre là, traîne déjà des casseroles derrière lui en toute impunité. Peu ambitieux et n'ayant aucune personnalité, il ne risque certainement pas de faire long feu.
A moins qu'il ne se sente vraiment protégé par des mains occultes. Il restera à la CCA et sa commission de discipline de réagir au plus vite pour mettre fin aux fresques de M. Chahrabile. Pour atténuer la tension et pour l'exemple. Notre football déjà bien mal en point n'a nullement besoin d'hommes qui faussent le jeu.
Quant à Lozano, bien connu pour ses sautes d'humeur, il a dangereusement dépassé certaines lignes. On comprendra qu'il fut ulcéré par l'arbitrage mais son statut d'éducateur l'obligeait à plus de retenue.
