La victoire avait été au rendez-vous. La jeune femme avait battu, dans une circonscription où s'affrontaient des stars de la politique, Abderrahim Lahjouji ou encore Saïd Saâdi.
Mme Baddou est loin de ressembler à une femme-alibi et n'est sûrement pas de celles que les formations politiques brandissent pour ne pas se voir accusées de machisme. Cette avocate dans le civil, vice-présidente de l'association proche de l'Istiqlal, « Alliance Pro » a un parcours militant sans faute. Depuis un an et demi, elle préside aux destinées de la section casablancaise Anfa de l'Istiqlal.
Ses proches parlent d'une istiqlalienne pure souche : les fées istiqlaliennes se sont, dès sa naissance, penchées sur son berceau. Yasmina Baddou est en effet bien née.. en politique. Son père, A. Baddou est une figure de proue du Mouvement National et a été l'un des tout premiers députés de l'Istiqlal élu au Parlement de 1963. « Yasmina Baddou, est pour ainsi, dire tombée dans la potion istiqlalienne dès sa naissance », témoigne un militant en vue. Sereine et toute à son engagement, cette jeune mère de famille au look bon chic bon genre est convaincue que les femmes sont porteuses de changement.
« Je fais beaucoup de terrain et j'ai le sentiment que les gens ont perdu confiance dans ceux qui les représentent au niveau national. Le changement pourrait bien venir des femmes », nous déclarait-elle en septembre dernier, en pleine campagne électorale. «L'autocritique », le livre écrit par le père fondateur, Allal Al Fassi, est fort probablement son livre de chevet. Cette quadra, qui siègera, en conseil de gouvernement, aux côtés de deux membres de sa famille par alliance, Abbès Al Fassi et Taïeb El Fassi, est prompte à citer l'ouvrage comme pour mieux en prendre de la graine. «L'Istiqlal est un défenseur de la cause féminine et Allal Al Fassi a été un précurseur en la matière ».
Mme Baddou est loin de ressembler à une femme-alibi et n'est sûrement pas de celles que les formations politiques brandissent pour ne pas se voir accusées de machisme. Cette avocate dans le civil, vice-présidente de l'association proche de l'Istiqlal, « Alliance Pro » a un parcours militant sans faute. Depuis un an et demi, elle préside aux destinées de la section casablancaise Anfa de l'Istiqlal.
Ses proches parlent d'une istiqlalienne pure souche : les fées istiqlaliennes se sont, dès sa naissance, penchées sur son berceau. Yasmina Baddou est en effet bien née.. en politique. Son père, A. Baddou est une figure de proue du Mouvement National et a été l'un des tout premiers députés de l'Istiqlal élu au Parlement de 1963. « Yasmina Baddou, est pour ainsi, dire tombée dans la potion istiqlalienne dès sa naissance », témoigne un militant en vue. Sereine et toute à son engagement, cette jeune mère de famille au look bon chic bon genre est convaincue que les femmes sont porteuses de changement.
« Je fais beaucoup de terrain et j'ai le sentiment que les gens ont perdu confiance dans ceux qui les représentent au niveau national. Le changement pourrait bien venir des femmes », nous déclarait-elle en septembre dernier, en pleine campagne électorale. «L'autocritique », le livre écrit par le père fondateur, Allal Al Fassi, est fort probablement son livre de chevet. Cette quadra, qui siègera, en conseil de gouvernement, aux côtés de deux membres de sa famille par alliance, Abbès Al Fassi et Taïeb El Fassi, est prompte à citer l'ouvrage comme pour mieux en prendre de la graine. «L'Istiqlal est un défenseur de la cause féminine et Allal Al Fassi a été un précurseur en la matière ».
