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Il les a appelés à renfoncer leur collaboration avec les médecins de santé publique exerçant dans les provinces et les communes et à créer une symbiose qui permettra l'optimisation des énergies et des efforts pour affronter avec succès les nouveaux risques pour la santé publique.
Dans une allocution lue en son nom par Fouad Hammadi, secrétaire général du ministère, M. Biadillah a fait savoir que ces risques sont dus à la gestion des déchets dangereux et des substances chimiques et à la pollution engendrée par l'activité industrielle et les véhicules dans les agglomérations urbaines.
Il a, par ailleurs, souligné que la variété des thèmes abordés lors de cette rencontre, initiée en collaration avec l'Amicale des médecins d'hygiène et de la salubrité publique du Grand-Casablanca et l'Association des médecins des collectivités locales de la région de Tensift-Marrakech, dénote l'implication totale et responsable des médecins communaux à lever les défis auxquels ils font face.
Ces défis, a-t-il poursuivi, sont liés notamment à la promotion de la santé en tant que pilier important dans le développement durable et particulièrement dans le cadre de la lutte contre la pauvreté, ainsi qu'à la prise en considération de la transition épidémiologique que vit le Maroc, à travers la mise en place des stratégies appropriées pour lutter contre les maladies transmissibles.
Pour relever ces défis, le ministère a mis en place une stratégie basée sur des actions de prévention et de lutte contre les maladies, le renforcement des actions de promotion de la santé, le ciblage des populations à risque, ainsi que la mise en place d'un système de santé de qualité, intégré et équitable, a-t-il dit.
Pour sa part, le wali, directeur général des collectivités locales, Mohamed Saâd Hassar, a souligné que «l'hygiène communale moderne doit se fixer comme objectif la protection des citoyens et de la collectivité, des contraintes liées à l'activité humaine» afin de préserver l'environnement.
Dans une allocution lue en son nom par M. Mohamed Sqali, gouverneur détaché au service central, M. Hassar a souligné l'importance des activités socio-médicales des médecins communaux dans le développement du rôle des collectivités locales dans la promotion de l'hygiène du milieu et de la préservation de l'environnement.
L'organisation de ce congrès, a-t-il ajouté, témoigne de la volonté des médecins de bénéficier d'une formation complémentaire leur permettant de mettre à profit de façon permanente les acquis scientifiques.
Il a par ailleurs déploré l'insuffisance de médecins spécialistes dans la médecine légale qui «pourraient, a-t-il dit, répondre à une demande très élevée en expertises médico-légales».
De son côté, le secrétaire général du secteur des sports, Abderrahmane Zidouh, a souligné l'importance du sport dans le développement du pays, qui est devenu un moyen de prévention de certaines maladies chroniques essentiellement cardio-vasculaires et métaboliques.
Il a appelé à la mise en place des infrastructures nécessaires et à la valorisation des ressources humaines qualifiées pour que le sport puisse jouer pleinement son rôle, rappelant que son département a élaboré un programme de mise à niveau des centres nationaux de médecine du sport pour les doter des meilleurs équipements d'explorations fonctionnelles.
Le Président de l'AMHSM, Fesriry Benslimane, a indiqué, de son côté, que cette rencontre s'inscrit dans le cadre des efforts visant à doter les médecins d'une formation continue dans un certain nombre de spécialités, relatives à la médecine légale, à la médecine du sport et aux maladies professionnelles mettant l'accent sur le rôle des médecins des communes dans la protection de la santé des citoyens.
Les participants à cette rencontre de deux jours débattront de plusieurs thèmes, particulièrement les intoxications alimentaires, la police communale et la prévention primaire, les modifications climatiques, inondations et les maladies émergentes,les déchets solides, la lutte antirabique, ainsi que la médecine légale et les droits de l'Homme, la médecine du sport au Maroc et les maladies professionnelles en milieu de confection.
Dans une allocution lue en son nom par Fouad Hammadi, secrétaire général du ministère, M. Biadillah a fait savoir que ces risques sont dus à la gestion des déchets dangereux et des substances chimiques et à la pollution engendrée par l'activité industrielle et les véhicules dans les agglomérations urbaines.
Il a, par ailleurs, souligné que la variété des thèmes abordés lors de cette rencontre, initiée en collaration avec l'Amicale des médecins d'hygiène et de la salubrité publique du Grand-Casablanca et l'Association des médecins des collectivités locales de la région de Tensift-Marrakech, dénote l'implication totale et responsable des médecins communaux à lever les défis auxquels ils font face.
Ces défis, a-t-il poursuivi, sont liés notamment à la promotion de la santé en tant que pilier important dans le développement durable et particulièrement dans le cadre de la lutte contre la pauvreté, ainsi qu'à la prise en considération de la transition épidémiologique que vit le Maroc, à travers la mise en place des stratégies appropriées pour lutter contre les maladies transmissibles.
Pour relever ces défis, le ministère a mis en place une stratégie basée sur des actions de prévention et de lutte contre les maladies, le renforcement des actions de promotion de la santé, le ciblage des populations à risque, ainsi que la mise en place d'un système de santé de qualité, intégré et équitable, a-t-il dit.
Pour sa part, le wali, directeur général des collectivités locales, Mohamed Saâd Hassar, a souligné que «l'hygiène communale moderne doit se fixer comme objectif la protection des citoyens et de la collectivité, des contraintes liées à l'activité humaine» afin de préserver l'environnement.
Dans une allocution lue en son nom par M. Mohamed Sqali, gouverneur détaché au service central, M. Hassar a souligné l'importance des activités socio-médicales des médecins communaux dans le développement du rôle des collectivités locales dans la promotion de l'hygiène du milieu et de la préservation de l'environnement.
L'organisation de ce congrès, a-t-il ajouté, témoigne de la volonté des médecins de bénéficier d'une formation complémentaire leur permettant de mettre à profit de façon permanente les acquis scientifiques.
Il a par ailleurs déploré l'insuffisance de médecins spécialistes dans la médecine légale qui «pourraient, a-t-il dit, répondre à une demande très élevée en expertises médico-légales».
De son côté, le secrétaire général du secteur des sports, Abderrahmane Zidouh, a souligné l'importance du sport dans le développement du pays, qui est devenu un moyen de prévention de certaines maladies chroniques essentiellement cardio-vasculaires et métaboliques.
Il a appelé à la mise en place des infrastructures nécessaires et à la valorisation des ressources humaines qualifiées pour que le sport puisse jouer pleinement son rôle, rappelant que son département a élaboré un programme de mise à niveau des centres nationaux de médecine du sport pour les doter des meilleurs équipements d'explorations fonctionnelles.
Le Président de l'AMHSM, Fesriry Benslimane, a indiqué, de son côté, que cette rencontre s'inscrit dans le cadre des efforts visant à doter les médecins d'une formation continue dans un certain nombre de spécialités, relatives à la médecine légale, à la médecine du sport et aux maladies professionnelles mettant l'accent sur le rôle des médecins des communes dans la protection de la santé des citoyens.
Les participants à cette rencontre de deux jours débattront de plusieurs thèmes, particulièrement les intoxications alimentaires, la police communale et la prévention primaire, les modifications climatiques, inondations et les maladies émergentes,les déchets solides, la lutte antirabique, ainsi que la médecine légale et les droits de l'Homme, la médecine du sport au Maroc et les maladies professionnelles en milieu de confection.
