Ainsi, Marcel Khalifé sera en tournée dans les Instituts français du Maroc. Un concert duo pour Oud et contrebasse sera animé par Marcel Khalifé et Paul Herbert qui joueront et chanteront «Takassim» : «… une fleur de précipice vers laquelle je tends la main depuis longtemps, mais vers laquelle je n’osais pas encore m’aventurer. J’ose enfin le faire dans Takassim». Une formation inédite et exceptionnelle née des rencontres pendant les Nuits du Ramadan dans les Instituts Français. Les différents concerts auront lieu le mercredi 5 novembre à 20:30 à la Salle polyvalente de l'IF Agadir, le samedi 8 novembre 21:00 au cinéma Colisée de Marrakech, le mercredi 12 novembre 20h à la salle de la préfecture de Fès médina et le jeudi 13 novembre 20h au théâtre de la délégation du ministère de la culture de Meknès.
Un autre duo percussions et Oud est également de la fête. Pour le premier concert de ces «belles nuits du Ramadan», l’IF présente ce jeudi 30 octobre à 21:00 au Théâtre 121 de Casablanca Driss El Maloumi, Oud, en duo avec Lahoucine Baqir, percussions. Un autre Concert sera animé le samedi 1 novembre à 21.00 à la salle de spectacle de Marrakech, par Didier Malherbe, jazz rocker, Loy Ehrlich pionnier de la «World fusionnelle», Steve Shehan accompagnateur de Paul Mc Cartney et Bob Dylan qui enchanteront l'espace d'une soirée. «Un souffle, un frotteur et un frappeur, un trio magique aux vertus thérapeutiques». Dans la même salle de théâtre, Hadouk Trio présente le mardi 4 novembre à 21:00 Didier Malherbe : doudouk (hautbois d’Arménie), saxophones soprano, sopranino, flûtes, … Loy Ehrlich : hajouj (basse des Gnawas du Maroc), kora, synthés, piano.
Un énième concert appelé «Fuera» sera animé à Agadir et à Casablanca par le duo Renaud Garcia Fons et Jean Louis. Ainsi, le contrebassiste Renaud Garcia Fons et l'accordéoniste Jean Louis Martinier, présentent en duo un recueil de poèmes musicaux aux sources d'inspiration multiples, méditerranéennes bien sûr mais aussi sans limitation de styles ou de références. Ils ont imaginé leur duo comme un orchestre symphonique, mille instruments nichés au cœur de l'archet et au sein du soufflet de l'accordéon. De formation classique, Renaud Garcia Fons possède une maîtrise de son instrument hors du commun. Son si unique vient, d'une part, du fait qu’il joue aussi bien «arco» (c'est-à-dire avec un archet) que «pizzicato» (avec les doigts, ce qui est plus classique en jazz) et, d'autre part, qu’il possède sur son instrument une cinquième corde plus aiguë que les autres. Dans l’album «Fuera» , le duo nous propose treize titres. Libérée de la contrainte orchestrale, les deux musiciens prennent les choses en mains, sans faille, complicité oblige. Ce concert aura lieu dans la salle polyvalente de l'IFA le mardi 4 novembre à 20:30 et le mercredi 5 novembre à 21:00 au théâtre 121 de Casablanca. Le samedi 8 novembre 21:00, toujours à Casablanca, l’IF présente Istanpitta avec Pierre Hamon et Carlo Rizz. «Istanpitta»: L’Italie médiévale et traditionnelle Alla francesca DUO : Pierre Hamon, flûtes à bec et traversière, simple et double, à trois trous, cornemuse Carlo Rizzo, tambourins italiens, tambours sur cadre, chant Flûtiste à bec au parcours atypique, Pierre Hamon se passionne tout jeune pour les répertoires les plus anciens, baroques et antérieurs, tout en poursuivant des études de mathématiques et physiques avant de décider de s’orienter exclusivement vers la musique. Aujourd’hui professeur au CNSM de Lyon, son instrumentarium ne ressemble à aucun autre.
Aladin à Casa est une production de l'Institut Français de Casablanca. Il s’agit d’un voyage fantasmatique, à la rencontre de différents personnages tout aussi extravagants les uns que les autres. Un chorégraphe et danseur capverdien de hip hop né à Lisbonne et vivant en Suisse, huit danseurs de hip hop et une danseuse orientale issus des différents quartiers de Casa, une rencontre à l’Institut Français de Casablanca ont donné naissance à une création unique et originale réunissant des talents riches de leurs horizons différents. La présentation aura lieu vendredi 31 octobre à 21:00 au théâtre national Mohammed V de Rabat.
Les Roudaniyates seront aussi de la fête. A l’inverse des cheikhates et des ensembles musicaux mixtes, des groupes exclusivement féminins, qu’on appelle laâbates (de laâb, jouer), chantent et danse lors de fêtes organisées l’après-midi pour les femmes. Appartenant à la grande tribu des Houariyates, les Roudaniyates devenues professionnelles, célèbrent, avec finesse et dérision, lors de ces véritables rites de réjouissance, l’existence et l’amour, mais leurs chants peuvent aussi dans un autre registre réconforter les familles endeuillées ou commémorer les saints de la région de Taroudant. Elles se produiront le mardi 4 novembre 20:00 à Fès - Dar Batha et le mercredi 5 novembre au théâtre de l'Institut de Meknès. A Tanger, Tétouan, Larache, Chefchaouen et Ksar Lakbir, le luthiste Saïd Chraïbi, accompagné par Rachid Hijaoui (percussions), devra donner divers concerts.
Ces soirées seront marquées par la prestation de l’ensemble Ibn Al Arif qui développe une recherche approfondie dans le domaine de la musique soufie. Le spectacle est également assuré par African Gnaoua Blues. Ainsi, l’ensemble Gnaoua Jazz Experience présentera un mélange de la musique originale africaine et du Jazz américain. Il se produira aussi à Meknès le 20 novembre et à Fès le 21 novembre.
Un autre duo percussions et Oud est également de la fête. Pour le premier concert de ces «belles nuits du Ramadan», l’IF présente ce jeudi 30 octobre à 21:00 au Théâtre 121 de Casablanca Driss El Maloumi, Oud, en duo avec Lahoucine Baqir, percussions. Un autre Concert sera animé le samedi 1 novembre à 21.00 à la salle de spectacle de Marrakech, par Didier Malherbe, jazz rocker, Loy Ehrlich pionnier de la «World fusionnelle», Steve Shehan accompagnateur de Paul Mc Cartney et Bob Dylan qui enchanteront l'espace d'une soirée. «Un souffle, un frotteur et un frappeur, un trio magique aux vertus thérapeutiques». Dans la même salle de théâtre, Hadouk Trio présente le mardi 4 novembre à 21:00 Didier Malherbe : doudouk (hautbois d’Arménie), saxophones soprano, sopranino, flûtes, … Loy Ehrlich : hajouj (basse des Gnawas du Maroc), kora, synthés, piano.
Un énième concert appelé «Fuera» sera animé à Agadir et à Casablanca par le duo Renaud Garcia Fons et Jean Louis. Ainsi, le contrebassiste Renaud Garcia Fons et l'accordéoniste Jean Louis Martinier, présentent en duo un recueil de poèmes musicaux aux sources d'inspiration multiples, méditerranéennes bien sûr mais aussi sans limitation de styles ou de références. Ils ont imaginé leur duo comme un orchestre symphonique, mille instruments nichés au cœur de l'archet et au sein du soufflet de l'accordéon. De formation classique, Renaud Garcia Fons possède une maîtrise de son instrument hors du commun. Son si unique vient, d'une part, du fait qu’il joue aussi bien «arco» (c'est-à-dire avec un archet) que «pizzicato» (avec les doigts, ce qui est plus classique en jazz) et, d'autre part, qu’il possède sur son instrument une cinquième corde plus aiguë que les autres. Dans l’album «Fuera» , le duo nous propose treize titres. Libérée de la contrainte orchestrale, les deux musiciens prennent les choses en mains, sans faille, complicité oblige. Ce concert aura lieu dans la salle polyvalente de l'IFA le mardi 4 novembre à 20:30 et le mercredi 5 novembre à 21:00 au théâtre 121 de Casablanca. Le samedi 8 novembre 21:00, toujours à Casablanca, l’IF présente Istanpitta avec Pierre Hamon et Carlo Rizz. «Istanpitta»: L’Italie médiévale et traditionnelle Alla francesca DUO : Pierre Hamon, flûtes à bec et traversière, simple et double, à trois trous, cornemuse Carlo Rizzo, tambourins italiens, tambours sur cadre, chant Flûtiste à bec au parcours atypique, Pierre Hamon se passionne tout jeune pour les répertoires les plus anciens, baroques et antérieurs, tout en poursuivant des études de mathématiques et physiques avant de décider de s’orienter exclusivement vers la musique. Aujourd’hui professeur au CNSM de Lyon, son instrumentarium ne ressemble à aucun autre.
Aladin à Casa est une production de l'Institut Français de Casablanca. Il s’agit d’un voyage fantasmatique, à la rencontre de différents personnages tout aussi extravagants les uns que les autres. Un chorégraphe et danseur capverdien de hip hop né à Lisbonne et vivant en Suisse, huit danseurs de hip hop et une danseuse orientale issus des différents quartiers de Casa, une rencontre à l’Institut Français de Casablanca ont donné naissance à une création unique et originale réunissant des talents riches de leurs horizons différents. La présentation aura lieu vendredi 31 octobre à 21:00 au théâtre national Mohammed V de Rabat.
Les Roudaniyates seront aussi de la fête. A l’inverse des cheikhates et des ensembles musicaux mixtes, des groupes exclusivement féminins, qu’on appelle laâbates (de laâb, jouer), chantent et danse lors de fêtes organisées l’après-midi pour les femmes. Appartenant à la grande tribu des Houariyates, les Roudaniyates devenues professionnelles, célèbrent, avec finesse et dérision, lors de ces véritables rites de réjouissance, l’existence et l’amour, mais leurs chants peuvent aussi dans un autre registre réconforter les familles endeuillées ou commémorer les saints de la région de Taroudant. Elles se produiront le mardi 4 novembre 20:00 à Fès - Dar Batha et le mercredi 5 novembre au théâtre de l'Institut de Meknès. A Tanger, Tétouan, Larache, Chefchaouen et Ksar Lakbir, le luthiste Saïd Chraïbi, accompagné par Rachid Hijaoui (percussions), devra donner divers concerts.
Ces soirées seront marquées par la prestation de l’ensemble Ibn Al Arif qui développe une recherche approfondie dans le domaine de la musique soufie. Le spectacle est également assuré par African Gnaoua Blues. Ainsi, l’ensemble Gnaoua Jazz Experience présentera un mélange de la musique originale africaine et du Jazz américain. Il se produira aussi à Meknès le 20 novembre et à Fès le 21 novembre.
