Le principe d'un accès sans abonnement est la principale innovation d'Apple, alors que les plates-formes musicales payantes déjà existantes sur le web, telles MusicNet ou Pressplay, proposent à leurs clients des abonnements mensuels, aux tarifs variant selon l'appétit en téléchargements.
Le magasin virtuel d'Apple - baptisé « iTunes Music Store» du nom du logiciel de musique numérique du fabricant - propose plus de 200.000 titres issus des catalogues des cinq grandes maisons d'édition musicale: BMG, EMI, Sony Music Entertainment, Universal et Warner, a précisé le communiqué.
Le groupe dirigé par Steve Jobs n'a donc pas limité ses accords à une seule des cinq « majors », comme l'avaient laisser supposer les informations récentes évoquant l'intérêt pour Universal Music, la branche édition musicale du groupe français de médias et de communication Vivendi Universal. « Apple n'a jamais fait d'offre pour investir ou acquérir une ‘‘major’’ de l'édition musicale », avait déclaré Steve Jobs le 16 avril pour mettre un terme aux spéculations.
Lundi, le PDG d'Apple a présenté son nouveau produit comme le compromis parfait entre le désir de liberté et de confort d'écoute des fans de musique et la nécessaire protection des droits des artistes.
« Les consommateurs ne veulent pas être traités comme des criminels et les artistes ne veulent pas que leur précieux travail soit spolié. Le ‘‘iTunes Music Store’’ offre une solution innovante pour les deux » catégories, a déclaré M. Jobs.
Avant l'achat, chaque titre pourra être écouté gratuitement pendant 30 secondes, ajoute le communiqué en précisant que l'enseigne proposera des « titres exclusifs » d'une vingtaine d'artistes parmi lesquels Bob Dylan, U2, Eminem, Sheryl Crow et Sting.
Les vidéo-clips de plusieurs de ces artistes pourront également être visionnés gratuitement, grâce aux logiciels adéquats équipant les Macintosh.
Apple compte également sur son magasin virtuel pour contribuer aux ventes de certains de ses appareils comme le baladeur numérique iPod lisant la musique sous format MP3.
Le magasin virtuel d'Apple - baptisé « iTunes Music Store» du nom du logiciel de musique numérique du fabricant - propose plus de 200.000 titres issus des catalogues des cinq grandes maisons d'édition musicale: BMG, EMI, Sony Music Entertainment, Universal et Warner, a précisé le communiqué.
Le groupe dirigé par Steve Jobs n'a donc pas limité ses accords à une seule des cinq « majors », comme l'avaient laisser supposer les informations récentes évoquant l'intérêt pour Universal Music, la branche édition musicale du groupe français de médias et de communication Vivendi Universal. « Apple n'a jamais fait d'offre pour investir ou acquérir une ‘‘major’’ de l'édition musicale », avait déclaré Steve Jobs le 16 avril pour mettre un terme aux spéculations.
Lundi, le PDG d'Apple a présenté son nouveau produit comme le compromis parfait entre le désir de liberté et de confort d'écoute des fans de musique et la nécessaire protection des droits des artistes.
« Les consommateurs ne veulent pas être traités comme des criminels et les artistes ne veulent pas que leur précieux travail soit spolié. Le ‘‘iTunes Music Store’’ offre une solution innovante pour les deux » catégories, a déclaré M. Jobs.
Avant l'achat, chaque titre pourra être écouté gratuitement pendant 30 secondes, ajoute le communiqué en précisant que l'enseigne proposera des « titres exclusifs » d'une vingtaine d'artistes parmi lesquels Bob Dylan, U2, Eminem, Sheryl Crow et Sting.
Les vidéo-clips de plusieurs de ces artistes pourront également être visionnés gratuitement, grâce aux logiciels adéquats équipant les Macintosh.
Apple compte également sur son magasin virtuel pour contribuer aux ventes de certains de ses appareils comme le baladeur numérique iPod lisant la musique sous format MP3.
