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«Arrête-moi si tu peux » est la seule nouveauté de cette semaine sur les écrans nationaux. Cette comédie-dramatique américaine nous dévoile une nouvelle facette du héros Titanic, « Leonardo Di Caprio». Dans l’ambiance envoûtante des années sixties, Di Caprio a laissé dans le placard son visage angélique, praticable que pour les rôles chevaleresques, et enfile un nouveau masque. Celui-ci ne se révèle pas n’importe lequel puisqu’il va passer d’un personnage à l’autre, un grand manipulateur des arts de l’escroquerie. Son regard innocent, son visage d’ange, et ses attitudes de gentleman ne sont que des éléments trompeurs pour mener en bateau ses interlocuteurs. Malgré son jeune âge et son appartenance à une famille respectable, Frank Abagnale jr (Di Caprio) n’a pas eu froid aux yeux et il a détourné froidement 2,5 millions de dollars.
Tantôt pilote de ligne, tantôt médecin, ou professeur universitaire, tous les métiers lui vont comme un gant et il parvient de surcroît de persuader même les plus avisés.
Cet acte lui a valu la poursuite acharnée du FBI qui a placé son nom sur la liste des criminels les plus recherchés des Etats-Unis. L’autre pointure que l’on visionne avec délectation est la présence du talentueux Tom Hanks qui joue le rôle de l’agent du FBI, le fameux Carl Hanratty. Une relation étrange s’installe toutefois entre les deux personnes. Alors que Frank est indéniablement l’escroc surdoué recherché par le FBI, Carl Hanratty ( Hanks) ressent un sentiment bizarre pour ce gamin hors du commun. Tiraillé entre le fait que Frank doit être sous les verrous le plus tôt possible et la réalité qu’il n’est devenu un criminel que sous la contrainte des pressions sociales (divorce de ses parents et l’urgence de devenir quelqu’un pour pénétrer le monde des adultes à travers la grande porte).
En tout cas, le long-métrage « Arrête-moi si tu peux» est le genre du film qui plait sans aucun doute au grand public. Il met en œuvre plusieurs composantes qu’elles soient sociétales, économiques, ou encore professionnelles, enveloppées dans des décors qui déroutent au premier abord. Est-ce que c’est un thriller, un drame familial, une comédie ou tout cela à la fois ? C’est le spectateur qui en décidera, tout en vivant les péripéties d’une adolescence difficile comme c’est le cas de nombreux adolescents.
Tantôt pilote de ligne, tantôt médecin, ou professeur universitaire, tous les métiers lui vont comme un gant et il parvient de surcroît de persuader même les plus avisés.
Cet acte lui a valu la poursuite acharnée du FBI qui a placé son nom sur la liste des criminels les plus recherchés des Etats-Unis. L’autre pointure que l’on visionne avec délectation est la présence du talentueux Tom Hanks qui joue le rôle de l’agent du FBI, le fameux Carl Hanratty. Une relation étrange s’installe toutefois entre les deux personnes. Alors que Frank est indéniablement l’escroc surdoué recherché par le FBI, Carl Hanratty ( Hanks) ressent un sentiment bizarre pour ce gamin hors du commun. Tiraillé entre le fait que Frank doit être sous les verrous le plus tôt possible et la réalité qu’il n’est devenu un criminel que sous la contrainte des pressions sociales (divorce de ses parents et l’urgence de devenir quelqu’un pour pénétrer le monde des adultes à travers la grande porte).
En tout cas, le long-métrage « Arrête-moi si tu peux» est le genre du film qui plait sans aucun doute au grand public. Il met en œuvre plusieurs composantes qu’elles soient sociétales, économiques, ou encore professionnelles, enveloppées dans des décors qui déroutent au premier abord. Est-ce que c’est un thriller, un drame familial, une comédie ou tout cela à la fois ? C’est le spectateur qui en décidera, tout en vivant les péripéties d’une adolescence difficile comme c’est le cas de nombreux adolescents.
