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Cette élection a eu lieu aux termes d’un vote des plus transparents dans la mesure où seuls 107 adhérents ont pu résister jusqu’à 3h30 du matin pour élire leur président après la démission collégiale de l’ancien bureau, présidé également par Hadj Abdeslam Hanat, qui a trop souffert des tiraillements et des coups bas et, dont les dissensions étaient étalées dans la presse.
Prévu à 19 h00 au Hyatt Regency, l’assemblée générale, d’abord ordinaire selon l’ordre du jour avant de se transformer en extraordinaire après la démission collégiale du bureau, ne démarra que vers 19h30 pour se terminer vers 3h30 du matin, soit prés de huit heures de débats passionnants, voire houleux par moment, mais qui se sont déroulés dans la transparence la plus totale malgré quelques excès de certains, somme toute, prévisibles après plusieurs années d’excellents résultats.
Après la lecture de la fatiha suite à la disparition de plusieurs joueurs et personnalités proches du Raja, le président de la section football, Hadj Abdeslam Hanat a ouvert les débats en faisant lire le rapport moral par le secrétaire M. Dahbi qui a donné la situation du club durant les douze derniers mois se terminant le 30 juin 2003.
C’est ainsi que l’équipe compte désormais 153 membres dont seulement 98 se sont présentés au départ de la réunion (au moment des débats, ils étaient 117). De ce fait, le quorum légal étant atteint, l’assemblée a pu délibérer valablement conformément à la loi.
Le rapport moral a, également, mis en exergue les diverses performances de l’équipe qui a joué une finale de la ligue des champions, qui est finaliste de la Coupe du Trône 2001/2002 contre le MAS et quart de finaliste de la coupe 2002/2003 et qui a terminé en seconde position du championnat. Ce qui la qualifie pour la ligue des champions africains après une absence d’une seule année.
De même, l’équipe pourrait bien participer à la prochaine coupe arabe dans sa nouvelle formule. Mais, si le Raja a raté la coupe arabe dernièrement au Caire, c’est que les joueurs étaient saturés en ayant joué prés de 55 matches en 2002/2003 contre à peine 35 matches en 2001/2002, outre les nombreux matches que certains internationaux ont dans les jambes en plus de ce chiffre, notamment pour l’équipe A : Chadili, Jrindou, Bekkari, Kacemi, Masloub, Bidoudane et Abouchrouane sollicité également en équipe olympique avec Tajeddine, El Had, Erbati, Zemmama, Adessamad ainsi que les joueurs sélectionnés en équipes nationales « junior et cadet »
Le centre de formation en cours de construction pour un coût de prés de 7 millions DH a également été abordé dans la mesure où il est unique en son genre de l’avis même des responsables de la FRMF, tout comme l’école qui compte aujourd’hui 1.315 jeunes répartis entre l’Oasis (878) et Tessema (437).
Des débats riches, voire houleux par moment
Mais, ce sont les parties relatant tant la démission de deux membres du bureau et le gel de l’activité de deux adhérents que la perte de deux précieux points contre la JSM qui allaient soulever le plus de tollé lors des débats qui suivirent la lecture du rapport moral.
En effet, plus de quinze adhérents ont pris la parole pour dénoncer autant les mauvais résultats de l’équipe en 2002/2003 que les nombreuses erreurs qui ont été commises individuellement ou collectivement, comme la publicité de Coca Cola sur les maillots des joueurs le jour de la finale aller devant Zamalek qui a coûté au club 170 millions centimes, ou l’absence des montants des transferts des joueurs, la mauvaise préparation du début de saison à Ifrane, les dissensions au sein du comité, l’affaire du café du club et des rumeurs de corruption touchant l’un des membres du comité qui a, depuis, gelé sa participation en attendant la tenue de l’AG etc..
Si le président Hadj Hanat a réfuté la plupart des griefs contre son comité, il a eu la sagesse de reconnaître devant la base que les dissensions au sein du comité ont beaucoup fragilisé son comité durant la saison et que dans l’affaire de la publicité, tout le comité endossait la responsabilité avec des degrés différents.
L’affaire de la JSM a également été traitée de long en large pour tenter de déterminer le principal responsable de la perte des deux points que l’équipe aurait dû gagner sur le terrain compte tenu, on le sait, de la non qualification de deux joueurs de Massira (qui avait réussi à arracher le nul à Casa). Ces deux points se sont avérés décisifs pour l’attribution du titre 2002/2003. De leur côté, M Lasky puis M.Abied, qui avaient gelé leur activité au comité, devaient prendre la parole pour défendre leur position, eux qui étaient visés comme responsables principaux dans deux affaires qui ont secoué le club. L’affaire Kharrazi a aussi soulevé la polémique entre M. El Boussairi et le président du club au sujet du montant du transfert de 500.000 dollars.
D’ailleurs, Haj Abdeslam Hanat allait clore les débats sur ce rapport moral en indiquant que ce sont les problèmes de décembre 2002 (après la défaite contre Zamalek) qui ont envenimé l’atmosphère et les relations entre toutes les composantes de l’équipe.
« Le Raja, dit-il, a besoin de calme et de sérénité. Quelle que soit la personne qui prendrait la responsabilité de notre équipe, elle ne peut faire bien son travail si on change de mentalité. Les adhérents doivent appuyer le comité en place et non l’attaquer constamment. Cela étant, je suis prêt à partir». Le président des «Verts» ne tarda pas à aller droit au but. « On n’est pas aveugle. Bien que je suis de nature optimiste, compte tenu des dissensions au sein du comité, il fallait faire un choix : soit aller une assemblée générale extraordinaire, soit vers le renouvellement du tiers sortant et la répétition des mêmes problèmes.. » Malgré tout, le rapport moral a été approuvé sans problèmes par la base par acclamation quand les opposants se sont rendus compte qu’ils étaient minoritaires.
Blocages
Après une pause de trente minutes de 11h15 à 11h45, l’AGO reprit son cours normal avec le passage direct aux débats sur la lecture du rapport financier que tout le monde a épluché séance tenante.
D’ailleurs, comme pour le rapport moral, l’opposition au rapport financier fut très forte à tel point que les spécialistes en la matière se sont battus des deux côtés, notamment en ce qui concerne le coût réel du centre de formation, la trésorerie positive et négative du club, le blocage de prés de 10, 611millions DH (soit un peu plus d’un milliard de centimes) à la banque alors que l’équipe a emprunté 3 millions DH et a un encours bancaire négatif de 13 millions DH, l’utilité de mettre la créance sur l’ODEP dans les comptes, l’augmentation excessive des charges du personnel de +32% en 2002/2003 par rapport à 2001/2002 et l’absence de toute référence des montants des transferts des joueurs ou des prêts.
Mais, si M. Hachamy a pu donner les explications claires sur le coût réel du centre et les motifs du retard de l’achèvement des travaux, le président Hadj Hanat a eu toutes les peines du monde à convaincre non seulement l’assistance mais, surtout, l’ex-président Rhallam, expert comptable de formation, qui lui posait avec insistance la question sur le pourquoi du blocage de sommes avoisinant le milliard centimes à un taux dérisoire de 2,50% environ, alors que l’équipe a, parallèlement, emprunté à au moins 8,50% les 3 millions DH pour terminer le centre en plus du solde des banques créditrices qui sont soumis à un taux d’intérêt proche.
Mais, en vérité, ce sont les responsables financiers de l’équipe qui auraient dû donner les explications nécessaires aux adhérents. De toute façon, on passa au vote à main levée qui donna un score très serré compte tenu justement de cette faille dans la trésorerie : 35 pour et 25 contre. Le rapport financier fut donc le tout logiquement du monde approuvé par l’AGO. Avant de passer aux élections du tiers sortant, certains adhérents demandèrent au comité de démissionner pour transformer l’AGO en assemblée générale extraordinaire (AGE) séance tenante. Le président en exercice Hadj Abeslam Hanat saisit l’occasion pour donner l’exemple et descendre du podium suivi immédiatement par l’ensemble des membres. Et, c’est M. M’Hamed Aouzal, président du comité directeur du Raja qui prit les commandes de l’AGE aidé par les deux représentants tant du GNF, M. Naciri, que de la ligue du grand Casablanca, M. Islah. M. Aouzal allait faire un long discours pour indiquer que les hautes instances du pays attendent beaucoup du domaine sportif, notamment le football qui est appelé à jouer un rôle prépondérant avec plus de 15 millions de jeunes. Rappelons que l’AGO s’est déroulée dans la transparence la plus totale et que la forte opposition qui s’est dégagée ne peut être que salutaire, le président Aouzal n’a pas caché que des erreurs ont été commises par l’ancien bureau. Mais, ajouta-t-il, il faut voir l’avenir différemment. Le Raja, dit-il, est une véritable entreprise qui a besoin d’un comité fort et homogène.
Après tant de palabres, on se décida alors à élire le nouveau président du Raja pour 4 ans entre deux candidats : Hadj Abdeslam Hanat qui s’est représenté et M Zakaria Semlali. Et, c’est finalement Hadj Hanat qui l’a emporté devant son jeune adversaire qui a reconnu sa défaite. « Le Raja, dit-il, méritait qu’il soit dirigé autrement. Mais, c’est la démocratie. Je ne vais pas participer au comité qui sera élu. Je reste à l’écart. J’étais au banc de touche du Raja depuis l’âge de 3 ans à ce jour, soit 33 ans… »
Finalement, le président Aouzal puis le président Hanat donnèrent rendez vous aux adhérents pour vendredi prochain à 19h au siège du club pour l’acte II de l’AGE réservé à l’élection des autres membres du comité sur proposition d’une commission de cinq personnes comprenant MM Aouzal, Hanat, Amor, Rhallam et Souiri qui passeront en revue au préalable tous leurs C.V.
En plus des candidatures déjà déposées, la porte reste ouverte à d’autres candidatures jusqu’à mercredi prochain à 12h00 au siège du club à l’Oasis.
Prévu à 19 h00 au Hyatt Regency, l’assemblée générale, d’abord ordinaire selon l’ordre du jour avant de se transformer en extraordinaire après la démission collégiale du bureau, ne démarra que vers 19h30 pour se terminer vers 3h30 du matin, soit prés de huit heures de débats passionnants, voire houleux par moment, mais qui se sont déroulés dans la transparence la plus totale malgré quelques excès de certains, somme toute, prévisibles après plusieurs années d’excellents résultats.
Après la lecture de la fatiha suite à la disparition de plusieurs joueurs et personnalités proches du Raja, le président de la section football, Hadj Abdeslam Hanat a ouvert les débats en faisant lire le rapport moral par le secrétaire M. Dahbi qui a donné la situation du club durant les douze derniers mois se terminant le 30 juin 2003.
C’est ainsi que l’équipe compte désormais 153 membres dont seulement 98 se sont présentés au départ de la réunion (au moment des débats, ils étaient 117). De ce fait, le quorum légal étant atteint, l’assemblée a pu délibérer valablement conformément à la loi.
Le rapport moral a, également, mis en exergue les diverses performances de l’équipe qui a joué une finale de la ligue des champions, qui est finaliste de la Coupe du Trône 2001/2002 contre le MAS et quart de finaliste de la coupe 2002/2003 et qui a terminé en seconde position du championnat. Ce qui la qualifie pour la ligue des champions africains après une absence d’une seule année.
De même, l’équipe pourrait bien participer à la prochaine coupe arabe dans sa nouvelle formule. Mais, si le Raja a raté la coupe arabe dernièrement au Caire, c’est que les joueurs étaient saturés en ayant joué prés de 55 matches en 2002/2003 contre à peine 35 matches en 2001/2002, outre les nombreux matches que certains internationaux ont dans les jambes en plus de ce chiffre, notamment pour l’équipe A : Chadili, Jrindou, Bekkari, Kacemi, Masloub, Bidoudane et Abouchrouane sollicité également en équipe olympique avec Tajeddine, El Had, Erbati, Zemmama, Adessamad ainsi que les joueurs sélectionnés en équipes nationales « junior et cadet »
Le centre de formation en cours de construction pour un coût de prés de 7 millions DH a également été abordé dans la mesure où il est unique en son genre de l’avis même des responsables de la FRMF, tout comme l’école qui compte aujourd’hui 1.315 jeunes répartis entre l’Oasis (878) et Tessema (437).
Des débats riches, voire houleux par moment
Mais, ce sont les parties relatant tant la démission de deux membres du bureau et le gel de l’activité de deux adhérents que la perte de deux précieux points contre la JSM qui allaient soulever le plus de tollé lors des débats qui suivirent la lecture du rapport moral.
En effet, plus de quinze adhérents ont pris la parole pour dénoncer autant les mauvais résultats de l’équipe en 2002/2003 que les nombreuses erreurs qui ont été commises individuellement ou collectivement, comme la publicité de Coca Cola sur les maillots des joueurs le jour de la finale aller devant Zamalek qui a coûté au club 170 millions centimes, ou l’absence des montants des transferts des joueurs, la mauvaise préparation du début de saison à Ifrane, les dissensions au sein du comité, l’affaire du café du club et des rumeurs de corruption touchant l’un des membres du comité qui a, depuis, gelé sa participation en attendant la tenue de l’AG etc..
Si le président Hadj Hanat a réfuté la plupart des griefs contre son comité, il a eu la sagesse de reconnaître devant la base que les dissensions au sein du comité ont beaucoup fragilisé son comité durant la saison et que dans l’affaire de la publicité, tout le comité endossait la responsabilité avec des degrés différents.
L’affaire de la JSM a également été traitée de long en large pour tenter de déterminer le principal responsable de la perte des deux points que l’équipe aurait dû gagner sur le terrain compte tenu, on le sait, de la non qualification de deux joueurs de Massira (qui avait réussi à arracher le nul à Casa). Ces deux points se sont avérés décisifs pour l’attribution du titre 2002/2003. De leur côté, M Lasky puis M.Abied, qui avaient gelé leur activité au comité, devaient prendre la parole pour défendre leur position, eux qui étaient visés comme responsables principaux dans deux affaires qui ont secoué le club. L’affaire Kharrazi a aussi soulevé la polémique entre M. El Boussairi et le président du club au sujet du montant du transfert de 500.000 dollars.
D’ailleurs, Haj Abdeslam Hanat allait clore les débats sur ce rapport moral en indiquant que ce sont les problèmes de décembre 2002 (après la défaite contre Zamalek) qui ont envenimé l’atmosphère et les relations entre toutes les composantes de l’équipe.
« Le Raja, dit-il, a besoin de calme et de sérénité. Quelle que soit la personne qui prendrait la responsabilité de notre équipe, elle ne peut faire bien son travail si on change de mentalité. Les adhérents doivent appuyer le comité en place et non l’attaquer constamment. Cela étant, je suis prêt à partir». Le président des «Verts» ne tarda pas à aller droit au but. « On n’est pas aveugle. Bien que je suis de nature optimiste, compte tenu des dissensions au sein du comité, il fallait faire un choix : soit aller une assemblée générale extraordinaire, soit vers le renouvellement du tiers sortant et la répétition des mêmes problèmes.. » Malgré tout, le rapport moral a été approuvé sans problèmes par la base par acclamation quand les opposants se sont rendus compte qu’ils étaient minoritaires.
Blocages
Après une pause de trente minutes de 11h15 à 11h45, l’AGO reprit son cours normal avec le passage direct aux débats sur la lecture du rapport financier que tout le monde a épluché séance tenante.
D’ailleurs, comme pour le rapport moral, l’opposition au rapport financier fut très forte à tel point que les spécialistes en la matière se sont battus des deux côtés, notamment en ce qui concerne le coût réel du centre de formation, la trésorerie positive et négative du club, le blocage de prés de 10, 611millions DH (soit un peu plus d’un milliard de centimes) à la banque alors que l’équipe a emprunté 3 millions DH et a un encours bancaire négatif de 13 millions DH, l’utilité de mettre la créance sur l’ODEP dans les comptes, l’augmentation excessive des charges du personnel de +32% en 2002/2003 par rapport à 2001/2002 et l’absence de toute référence des montants des transferts des joueurs ou des prêts.
Mais, si M. Hachamy a pu donner les explications claires sur le coût réel du centre et les motifs du retard de l’achèvement des travaux, le président Hadj Hanat a eu toutes les peines du monde à convaincre non seulement l’assistance mais, surtout, l’ex-président Rhallam, expert comptable de formation, qui lui posait avec insistance la question sur le pourquoi du blocage de sommes avoisinant le milliard centimes à un taux dérisoire de 2,50% environ, alors que l’équipe a, parallèlement, emprunté à au moins 8,50% les 3 millions DH pour terminer le centre en plus du solde des banques créditrices qui sont soumis à un taux d’intérêt proche.
Mais, en vérité, ce sont les responsables financiers de l’équipe qui auraient dû donner les explications nécessaires aux adhérents. De toute façon, on passa au vote à main levée qui donna un score très serré compte tenu justement de cette faille dans la trésorerie : 35 pour et 25 contre. Le rapport financier fut donc le tout logiquement du monde approuvé par l’AGO. Avant de passer aux élections du tiers sortant, certains adhérents demandèrent au comité de démissionner pour transformer l’AGO en assemblée générale extraordinaire (AGE) séance tenante. Le président en exercice Hadj Abeslam Hanat saisit l’occasion pour donner l’exemple et descendre du podium suivi immédiatement par l’ensemble des membres. Et, c’est M. M’Hamed Aouzal, président du comité directeur du Raja qui prit les commandes de l’AGE aidé par les deux représentants tant du GNF, M. Naciri, que de la ligue du grand Casablanca, M. Islah. M. Aouzal allait faire un long discours pour indiquer que les hautes instances du pays attendent beaucoup du domaine sportif, notamment le football qui est appelé à jouer un rôle prépondérant avec plus de 15 millions de jeunes. Rappelons que l’AGO s’est déroulée dans la transparence la plus totale et que la forte opposition qui s’est dégagée ne peut être que salutaire, le président Aouzal n’a pas caché que des erreurs ont été commises par l’ancien bureau. Mais, ajouta-t-il, il faut voir l’avenir différemment. Le Raja, dit-il, est une véritable entreprise qui a besoin d’un comité fort et homogène.
Après tant de palabres, on se décida alors à élire le nouveau président du Raja pour 4 ans entre deux candidats : Hadj Abdeslam Hanat qui s’est représenté et M Zakaria Semlali. Et, c’est finalement Hadj Hanat qui l’a emporté devant son jeune adversaire qui a reconnu sa défaite. « Le Raja, dit-il, méritait qu’il soit dirigé autrement. Mais, c’est la démocratie. Je ne vais pas participer au comité qui sera élu. Je reste à l’écart. J’étais au banc de touche du Raja depuis l’âge de 3 ans à ce jour, soit 33 ans… »
Finalement, le président Aouzal puis le président Hanat donnèrent rendez vous aux adhérents pour vendredi prochain à 19h au siège du club pour l’acte II de l’AGE réservé à l’élection des autres membres du comité sur proposition d’une commission de cinq personnes comprenant MM Aouzal, Hanat, Amor, Rhallam et Souiri qui passeront en revue au préalable tous leurs C.V.
En plus des candidatures déjà déposées, la porte reste ouverte à d’autres candidatures jusqu’à mercredi prochain à 12h00 au siège du club à l’Oasis.
