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Les quartiers des dix préfectures que compte la wilaya du Grand Casablanca, même les plus embourgeoisés, manquent de finesse et de gaieté.
Les constructions étant figées, il est très rare de tomber sur un immeuble ou une construction qui plaise. Les quartiers périphériques sont connus par la série de maisons, les unes collées aux autres comme des boîtes d'allumettes.
Si l'on y ajoute les rues et les lampadaires qui sont le plus souvent dans un état de délabrement avancé, il ne reste plus qu'à ne pas faire attention aux couleurs qui revêtent toute une couche poussiéreuse. Même le vert des feuilles des arbres tend vert le marron à cause du non-respect de la règle primordiale en urbanisme qu'est la sophistication de l'espace.
Or, aux premiers coups de vent, des nuages de poussière décollent de la terre pour se coller sur les façades, les fenêtres et tout le mobilier urbain.
Le deuxième point concerne la confection du mobilier urbain lui-même.
On constate que bancs des jardins publics, lampadaires et lanternes, feux de synchronisation et panneaux d'indications manquent de goût.
Lorsque les objets ne sont pas fabriqués à la hâte, ils sont bâclés, installés sans finition ni finesse, sans choix judicieux des couleurs, sans compatibilité avec l'entourage…Même sur photo, il n'y a aucun risque de se tromper sur la laideur qui est bien signée de chez nous.
Ce manque de goût est caractérisé aussi par les ronds-points dont aucun n'abrite l'emblème d'une manifestation à caractère internationale ayant été organisée à Casablanca (Conférence d'Al Qods, d'Anfa, Jeux Méditerranéens, Tournois Hassan II, Festival international de poésie… ).On ne reconnaît à Casablanca aucun événement ayant marqué son histoire d'une pierre blanche.
Aucun repère visuel ne donne l'occasion à l'enfant de poser une question à ses parents et au Casablancais de revivre le beau moment qu'a duré la manifestation représentée. Une seule sculpture, dans toute la ville, embellit la rue piétonnière, pour une métropole qui abrite l'une des plus prestigieuses Ecoles supérieures des Beaux-arts.
Les constructions étant figées, il est très rare de tomber sur un immeuble ou une construction qui plaise. Les quartiers périphériques sont connus par la série de maisons, les unes collées aux autres comme des boîtes d'allumettes.
Si l'on y ajoute les rues et les lampadaires qui sont le plus souvent dans un état de délabrement avancé, il ne reste plus qu'à ne pas faire attention aux couleurs qui revêtent toute une couche poussiéreuse. Même le vert des feuilles des arbres tend vert le marron à cause du non-respect de la règle primordiale en urbanisme qu'est la sophistication de l'espace.
Or, aux premiers coups de vent, des nuages de poussière décollent de la terre pour se coller sur les façades, les fenêtres et tout le mobilier urbain.
Le deuxième point concerne la confection du mobilier urbain lui-même.
On constate que bancs des jardins publics, lampadaires et lanternes, feux de synchronisation et panneaux d'indications manquent de goût.
Lorsque les objets ne sont pas fabriqués à la hâte, ils sont bâclés, installés sans finition ni finesse, sans choix judicieux des couleurs, sans compatibilité avec l'entourage…Même sur photo, il n'y a aucun risque de se tromper sur la laideur qui est bien signée de chez nous.
Ce manque de goût est caractérisé aussi par les ronds-points dont aucun n'abrite l'emblème d'une manifestation à caractère internationale ayant été organisée à Casablanca (Conférence d'Al Qods, d'Anfa, Jeux Méditerranéens, Tournois Hassan II, Festival international de poésie… ).On ne reconnaît à Casablanca aucun événement ayant marqué son histoire d'une pierre blanche.
Aucun repère visuel ne donne l'occasion à l'enfant de poser une question à ses parents et au Casablancais de revivre le beau moment qu'a duré la manifestation représentée. Une seule sculpture, dans toute la ville, embellit la rue piétonnière, pour une métropole qui abrite l'une des plus prestigieuses Ecoles supérieures des Beaux-arts.
