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«Les ressources humaines hautement qualifiées et les équipements techniques à la pointe de la technologie de l'Hôpial des Spécialités(HSR) le place au sommet de la pyramide sanitaire dans notre pays» affirme Mme Cherki, le médecin directeur.
Le HSR est un établissement hospitalo-universitaire. Outre les soins qu'il dispense, il joue un rôle primordial dans la formation et la recherche.
Le bilan d'activités de l'hôpital pour l'exercice 2001 montre que plusieurs projets ont été concrétisés. On peut citer entre autres la mise en fonction du service des urgences et du bloc opératoire des urgences, la rénovation de la pharmacie et la mise en place d'un système d'information spécifique au service des urgences. La création d'un comité de médicaments et de pharmacovigilance et l'élaboration du plan de secours hospitaliers méritent d'être soulignés également .
«Autant de réalisations qui constituent une avancée structurelle indéniable».
Seul hic toutefois, et que le médecin directeur tient à relever: les prestations de l'HSR sont de troisième niveau.
Or il se trouve que parfois nos services sont submergés par des patients qui nécessitent des prestations de premier ou de deuxième niveau. les cas de ces patients peuvent être traités dans un centre de santé ou dans un hôpital provincial. Il faut bien sûr voir tout le monde et du coup les cas les moins urgents «concurrencent» les cas urgents. Cet état de fait se traduit également par des rendez-vous de plus en plus éloignés”. Mais au délà de cette «contrainte», force est de reconnaître que les chiffes contenus dans le dernier rapport d'activité, sont à tous points de vue trés significatifs.
Pour l'année 2001, le chiffre global des consultations a dépassé 53880, (contre seulement 35540 en 2000). 19376 des consultations ont été faites dans le pavillon des consultations et 34509 dans les urgences.
A raison de 60 dh par consultation, la recette potentielle globale de consultations avoisine 2 233 100 dh.
Il faut noter que les consultations effectuées au niveau du service des urgences et qui représentent 66% du nombres global des consultations ne sont pas facturées systématiquement à cause de la problématique du triage concernant les cas urgents et les «fausses urgences».
Les consultations réalisées au niveau du service des urgences ont connu une nette augmentation : 34.509 en 2001 contre 17.437 en 2000.
Cela s'explique par «l'ouverture du nouveau service des urgences, l'équipement des différentes unités de soins, le redéploiement du personnel et la mise en place d'un nouveau service d'information …»
Selon les responsables de l'Hôpital des Spécialités un grand effort a été fourni au niveau des urgences «pour répondre aux attentes des patients en matière d'accueil et de qualité des soins». Pour ce qui est des admissions ( hospitalisations), l'hôpital recrute ses patients principalement à partir des urgences, du pavillon de consultation, du centre de diagnostic de la wilaya de Rabat-Salé et occasionnellement certains malades qui sont adressés par des spécialistes sont admis directement dans les services hospitaliers. L'effectif des patients hospitalisés durant 2001 a dépassé 7250, contre 6604 en 2000 soit une augmentation de l'ordre de 10%. Il faut préciser à cet égard que cette augmentation n'est pas la même dans tous les services.
Plus de 30% pour la neurologie, plus de 10% pour la neurochirurgie et plus de 3% pour l'ORL.
Les interventions chirurgicale ont également enregistré une augmentation par rapport à l'exercice précédent. En 2001, pas moins de 846 opérations chirurgicales ont été effectuées contre seulement 6397 en 2000.
Soit une augmentation de 32,3%.
Ce sont les opérations ORL qui ont enregistré la plus grande augmentation, 3734 (dont 4635 en bloc opératoire urgent) en 2001 contre 2475 en 2000 soit un écart de plus de 50%…
Les autres opérations concernant les autres spécialités ont augmenté à leur tour (Plus de 20% pour l'ophtalmologie, plus de 23% pour la neurochirurgie).
Le service de radiologie de l'hôpital des spécialités est des plus performants des établissements du CHU de Rabat-Salé.
Il dispose de trois unités : radiologie conventionnelle, radiologie interventionnelle et scanner.
La qualité des prestations fournies est telle que ce service recrute ses patients non seulement des urgences et des autres services de l'hôpital, mais des autres hôpitaux du CHU Ibn Sina, des hôpitaux de la santé publiques et des cabinets privés.
En 2001, 30102 malades ont bénéficié d'examens radiologiques par les différentes unités du service de radiologie, soit 4204 examens de plus par rapport à l'exercice 2000, ce qui correspond à une augmentation de 16%.
L'hôpital des spécialités de Rabat dispose en outre de deux types de laboratoires : un laboratoire d'analyses médicales et un laboratoire d'anatomo-pathologie. Le laboratoire d'analyses médicales comprend trois unités: Bactériologie, biochimie et hématologie.
Le laboratoire de biochimie a réalisé en 2001, 55363 examens contre 44578 en 2000, soit une progression de plus de 24%. Le laboratoire de bactériologie a pu réaliser 20117971 examens contre 7690 en 2000, soit une augmentation de 3,6%.
Les performances du laboratoire d'hématologie ont augmenté également de 13% : 19.381 examens effectués en 2001, contre seulement 17.173 en 2000. De même les performances d'anatomo-pathologie ont augmenté de 11%…
Au total, les laboratoires de l'hôpital, toutes spécialités confondues ont réalisé 85831 examens, ce qui équivaut à quelques 4.227.109 DH de recette.
Autres activités spécifiques à l'HSR et non des moindres : les explorations fonctionnelles (ophtalmologiques, ORL et Neurophysiologiques).
A ce propos le Dr. Cherki, le médecin directeur, tient à préciser non sans fierté que «l'Hôpital des Spécialités de Rabat est le seul hôpital a effectuer des explorations neurophysiologiques au Maroc».
Tout comme les autres activités de l'HSR, les explorations ophtalmologiques ont augmenté de 80%., 4403 ont été effectuées en 2001contre 2446 explorations en 2000.
Dans le même ordre d'idées, les explorations ORL sont passées de 2078 interventions en 2000 à plus de 2712 en 2001. Soit une évolution de 30,5%.
Toutefois, une seule baisse a été enregistrée en 2001par rapport à 2000. Elle concerne les explorations neurophysiologiques. Cette baisse est imputable à la diminution du nombre des examens demandés par les examens prescripteurs.
Le HSR est un établissement hospitalo-universitaire. Outre les soins qu'il dispense, il joue un rôle primordial dans la formation et la recherche.
Le bilan d'activités de l'hôpital pour l'exercice 2001 montre que plusieurs projets ont été concrétisés. On peut citer entre autres la mise en fonction du service des urgences et du bloc opératoire des urgences, la rénovation de la pharmacie et la mise en place d'un système d'information spécifique au service des urgences. La création d'un comité de médicaments et de pharmacovigilance et l'élaboration du plan de secours hospitaliers méritent d'être soulignés également .
«Autant de réalisations qui constituent une avancée structurelle indéniable».
Seul hic toutefois, et que le médecin directeur tient à relever: les prestations de l'HSR sont de troisième niveau.
Or il se trouve que parfois nos services sont submergés par des patients qui nécessitent des prestations de premier ou de deuxième niveau. les cas de ces patients peuvent être traités dans un centre de santé ou dans un hôpital provincial. Il faut bien sûr voir tout le monde et du coup les cas les moins urgents «concurrencent» les cas urgents. Cet état de fait se traduit également par des rendez-vous de plus en plus éloignés”. Mais au délà de cette «contrainte», force est de reconnaître que les chiffes contenus dans le dernier rapport d'activité, sont à tous points de vue trés significatifs.
Pour l'année 2001, le chiffre global des consultations a dépassé 53880, (contre seulement 35540 en 2000). 19376 des consultations ont été faites dans le pavillon des consultations et 34509 dans les urgences.
A raison de 60 dh par consultation, la recette potentielle globale de consultations avoisine 2 233 100 dh.
Il faut noter que les consultations effectuées au niveau du service des urgences et qui représentent 66% du nombres global des consultations ne sont pas facturées systématiquement à cause de la problématique du triage concernant les cas urgents et les «fausses urgences».
Les consultations réalisées au niveau du service des urgences ont connu une nette augmentation : 34.509 en 2001 contre 17.437 en 2000.
Cela s'explique par «l'ouverture du nouveau service des urgences, l'équipement des différentes unités de soins, le redéploiement du personnel et la mise en place d'un nouveau service d'information …»
Selon les responsables de l'Hôpital des Spécialités un grand effort a été fourni au niveau des urgences «pour répondre aux attentes des patients en matière d'accueil et de qualité des soins». Pour ce qui est des admissions ( hospitalisations), l'hôpital recrute ses patients principalement à partir des urgences, du pavillon de consultation, du centre de diagnostic de la wilaya de Rabat-Salé et occasionnellement certains malades qui sont adressés par des spécialistes sont admis directement dans les services hospitaliers. L'effectif des patients hospitalisés durant 2001 a dépassé 7250, contre 6604 en 2000 soit une augmentation de l'ordre de 10%. Il faut préciser à cet égard que cette augmentation n'est pas la même dans tous les services.
Plus de 30% pour la neurologie, plus de 10% pour la neurochirurgie et plus de 3% pour l'ORL.
Les interventions chirurgicale ont également enregistré une augmentation par rapport à l'exercice précédent. En 2001, pas moins de 846 opérations chirurgicales ont été effectuées contre seulement 6397 en 2000.
Soit une augmentation de 32,3%.
Ce sont les opérations ORL qui ont enregistré la plus grande augmentation, 3734 (dont 4635 en bloc opératoire urgent) en 2001 contre 2475 en 2000 soit un écart de plus de 50%…
Les autres opérations concernant les autres spécialités ont augmenté à leur tour (Plus de 20% pour l'ophtalmologie, plus de 23% pour la neurochirurgie).
Le service de radiologie de l'hôpital des spécialités est des plus performants des établissements du CHU de Rabat-Salé.
Il dispose de trois unités : radiologie conventionnelle, radiologie interventionnelle et scanner.
La qualité des prestations fournies est telle que ce service recrute ses patients non seulement des urgences et des autres services de l'hôpital, mais des autres hôpitaux du CHU Ibn Sina, des hôpitaux de la santé publiques et des cabinets privés.
En 2001, 30102 malades ont bénéficié d'examens radiologiques par les différentes unités du service de radiologie, soit 4204 examens de plus par rapport à l'exercice 2000, ce qui correspond à une augmentation de 16%.
L'hôpital des spécialités de Rabat dispose en outre de deux types de laboratoires : un laboratoire d'analyses médicales et un laboratoire d'anatomo-pathologie. Le laboratoire d'analyses médicales comprend trois unités: Bactériologie, biochimie et hématologie.
Le laboratoire de biochimie a réalisé en 2001, 55363 examens contre 44578 en 2000, soit une progression de plus de 24%. Le laboratoire de bactériologie a pu réaliser 20117971 examens contre 7690 en 2000, soit une augmentation de 3,6%.
Les performances du laboratoire d'hématologie ont augmenté également de 13% : 19.381 examens effectués en 2001, contre seulement 17.173 en 2000. De même les performances d'anatomo-pathologie ont augmenté de 11%…
Au total, les laboratoires de l'hôpital, toutes spécialités confondues ont réalisé 85831 examens, ce qui équivaut à quelques 4.227.109 DH de recette.
Autres activités spécifiques à l'HSR et non des moindres : les explorations fonctionnelles (ophtalmologiques, ORL et Neurophysiologiques).
A ce propos le Dr. Cherki, le médecin directeur, tient à préciser non sans fierté que «l'Hôpital des Spécialités de Rabat est le seul hôpital a effectuer des explorations neurophysiologiques au Maroc».
Tout comme les autres activités de l'HSR, les explorations ophtalmologiques ont augmenté de 80%., 4403 ont été effectuées en 2001contre 2446 explorations en 2000.
Dans le même ordre d'idées, les explorations ORL sont passées de 2078 interventions en 2000 à plus de 2712 en 2001. Soit une évolution de 30,5%.
Toutefois, une seule baisse a été enregistrée en 2001par rapport à 2000. Elle concerne les explorations neurophysiologiques. Cette baisse est imputable à la diminution du nombre des examens demandés par les examens prescripteurs.
