En périmètre de grande hydraulique (P.G.H), les céréales couvrent 17400 hectares (en moyenne) et viennent en seconde position après l’arboriculture fruitière avec environ 30% de la superficie totale des cultures (moyenne sur cinq ans).
Elles se concentrent au garet et au haut service des Triffas et subissent des variations inter-annuelles pouvant atteindre 30%.
En zone de petite et moyenne hydraulique (P.M.H), la céréaliculture occupe annuellement une superficie variant de 2500 à 4000 hectares, ce qui représente près de 25% de la superficie cultivée.
En bour, les céréales constituent les principales cultures pratiquées et leur superficie subit des variations inter-annuelles importantes en fonction des conditions pluviométriques de chaque début de campagne.
La superficie semée annuellement varie de 40.000 à 90.000 hectares.
Incidences socio-économique de la céréaliculture
La production céréalière moyenne du périmètre de la Moulouya est estimée à 1.031860 quintaux dont 47% de blé tendre, 14% de blé dur et 37% d’orge.
Cette production connaît des variations inter-annuelles considérables notamment en fonction des productions en zones bour conditionnées par le régime pluviométrique (300.000 quintaux en 1999- 2000 contre 1530.0000 quintaux en 2001-2002.
Les principales incidences économiques de ces variations de productions peuvent être évaluées par les fluctuations de la valeur brute (116 millions de dirhams en 1999-2000 contre 420 millions de dirhames en 2001-2002) et de l’emploi de la main -d’œuvre (respectivement 0,5 million et 2,1 millions journées de travail). La moyenne des réalisations au cours des cinq dernières campagnes fait ressortir dans la zone de grande hydraulique la production été de 474000 quintaux, soit un rendement à l’hectare: 30,1 quintaux.
Dans la zone de petite et moyenne hydraulique, la production a atteint 96760 quintaux, soit un rendement à l’hectare : 31,1 quintaux.
Dans la zone bour, la production était de 461100 quintaux, soit une production à l’hectare 9,9 quintaux.
Les principales contraintes qui entravent l’intensification des céréales sont l’insuffisance et irrégularité des précipitations, la restrictions des tours d’eau et non ciblage des irrigations d’appoint par pénurie d’eau au niveau du barrage et la non généralisation des pratiques culturales intensives (emploi de semences certifiées, traitements phytosanitaires, festilisation de couverture…)
Les objectifs fixés à moyen terme par l’O.R.M.V.A.M dans le cadre de la stratégie de mise en valeur agricole et du programme de sécurisation de la production céréalière portent essentiellement sur le semis en périmètre de grande hydraulique d’une superficie de 15000 hectares de blés et d’orge et l’amélioration des rendements pour atteindre 45 quintaux à l’hectare (en moyenne) à l’horizon 2006-2007.
Pour atteindre ces objectifs, l’O.R.M.V.A.M poursuit un programme d’actions portant sur le transfert de technologie aux agriculteurs.
Elles se concentrent au garet et au haut service des Triffas et subissent des variations inter-annuelles pouvant atteindre 30%.
En zone de petite et moyenne hydraulique (P.M.H), la céréaliculture occupe annuellement une superficie variant de 2500 à 4000 hectares, ce qui représente près de 25% de la superficie cultivée.
En bour, les céréales constituent les principales cultures pratiquées et leur superficie subit des variations inter-annuelles importantes en fonction des conditions pluviométriques de chaque début de campagne.
La superficie semée annuellement varie de 40.000 à 90.000 hectares.
Incidences socio-économique de la céréaliculture
La production céréalière moyenne du périmètre de la Moulouya est estimée à 1.031860 quintaux dont 47% de blé tendre, 14% de blé dur et 37% d’orge.
Cette production connaît des variations inter-annuelles considérables notamment en fonction des productions en zones bour conditionnées par le régime pluviométrique (300.000 quintaux en 1999- 2000 contre 1530.0000 quintaux en 2001-2002.
Les principales incidences économiques de ces variations de productions peuvent être évaluées par les fluctuations de la valeur brute (116 millions de dirhams en 1999-2000 contre 420 millions de dirhames en 2001-2002) et de l’emploi de la main -d’œuvre (respectivement 0,5 million et 2,1 millions journées de travail). La moyenne des réalisations au cours des cinq dernières campagnes fait ressortir dans la zone de grande hydraulique la production été de 474000 quintaux, soit un rendement à l’hectare: 30,1 quintaux.
Dans la zone de petite et moyenne hydraulique, la production a atteint 96760 quintaux, soit un rendement à l’hectare : 31,1 quintaux.
Dans la zone bour, la production était de 461100 quintaux, soit une production à l’hectare 9,9 quintaux.
Les principales contraintes qui entravent l’intensification des céréales sont l’insuffisance et irrégularité des précipitations, la restrictions des tours d’eau et non ciblage des irrigations d’appoint par pénurie d’eau au niveau du barrage et la non généralisation des pratiques culturales intensives (emploi de semences certifiées, traitements phytosanitaires, festilisation de couverture…)
Les objectifs fixés à moyen terme par l’O.R.M.V.A.M dans le cadre de la stratégie de mise en valeur agricole et du programme de sécurisation de la production céréalière portent essentiellement sur le semis en périmètre de grande hydraulique d’une superficie de 15000 hectares de blés et d’orge et l’amélioration des rendements pour atteindre 45 quintaux à l’hectare (en moyenne) à l’horizon 2006-2007.
Pour atteindre ces objectifs, l’O.R.M.V.A.M poursuit un programme d’actions portant sur le transfert de technologie aux agriculteurs.