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Le sport est devenu un véritable phénomène social aux multiples impacts. Conscients de cet état de chose, les dirigeants qui se sont succédé à la tête des divers clubs de la cité balnéaire ont fourni de gros efforts pour hisser le sport mohammedien à un haut niveau. Aujourd'hui le contexte a quelque peu changé, les dirigeants actuels sont confrontés à un certain nombre de problèmes notamment financiers qui risquent de compromettre la bonne marche de nos clubs.
Le Chabab de Mohammedia, puisque c'est de lui qu'il s'agit, est une modeste formation qui réalise durant cette saison d'étonnantes performances, ceci quoique privé de son terrain suite aux inondations de la ville basse de Mohammedia et en dépit d'une situation matérielle difficile et du manque de soutien. L'attraction de ce championnat, dominé par le Hassania d'Agadir, reste le Chabab de Mohammedia un club modeste qui continue de surprendre agréablement.
L'amour pour le club, l'esprit sportif, la détermination, des dirigeants du staff technique, des joueurs et des fans de SCCM expliquent cette réussite du 1er club de la cité balnéaire.
Un bel exemple qui ne manquera pas de donner au sport que nous aimons toute sa dimension, toute sa noblesse.
Longue haleine
Pour M. Robert Muller coach du SCCM, l'équipe du Chabab a un passé élogieux qui oblige tout entraîneur à travailler durement devant n'importe quelle situation pour préserver une histoire, un patrimoine.
Nous avons entrepris, notamment après le transfert de certains joueurs, un travail de longue haleine même si on n'a pas été médiatisé. Ce travail a consisté à former un groupe solide, discipliné et homogène. La plupart des joueurs n'ont en aucun cas été affectés par le manque de soutien. Leur objectif est de démontrer qu'ils avaient les capacités de grands joueurs. Sans argent nous avons continué à relever le défi, ce qui nous a permis grâce à la solidarité du groupe, à la détermination des joueurs et à leur flair-play de réussir de bons résultats, ce qui nous a motivé pour rivaliser avec les grands clubs du Royaume.
Notre propre adversaire actuellement c'est quelque peu nous-mêmes, d'où la recessité de régler ce problème financier auquel est confronté le Chabab.
La ville de Mohammedia a des atouts considérables et d'énormes potentialités qui doivent en principe favoriser son développement sportif, culturel, social et économique.
Nous ne terminons pas sans rendre hommage au président du SCCM, au comité, au staff technique, aux joueurs et certains courageux supporters pour cette extraordinaire réussite du Chabab.
Le Chabab de Mohammedia, puisque c'est de lui qu'il s'agit, est une modeste formation qui réalise durant cette saison d'étonnantes performances, ceci quoique privé de son terrain suite aux inondations de la ville basse de Mohammedia et en dépit d'une situation matérielle difficile et du manque de soutien. L'attraction de ce championnat, dominé par le Hassania d'Agadir, reste le Chabab de Mohammedia un club modeste qui continue de surprendre agréablement.
L'amour pour le club, l'esprit sportif, la détermination, des dirigeants du staff technique, des joueurs et des fans de SCCM expliquent cette réussite du 1er club de la cité balnéaire.
Un bel exemple qui ne manquera pas de donner au sport que nous aimons toute sa dimension, toute sa noblesse.
Longue haleine
Pour M. Robert Muller coach du SCCM, l'équipe du Chabab a un passé élogieux qui oblige tout entraîneur à travailler durement devant n'importe quelle situation pour préserver une histoire, un patrimoine.
Nous avons entrepris, notamment après le transfert de certains joueurs, un travail de longue haleine même si on n'a pas été médiatisé. Ce travail a consisté à former un groupe solide, discipliné et homogène. La plupart des joueurs n'ont en aucun cas été affectés par le manque de soutien. Leur objectif est de démontrer qu'ils avaient les capacités de grands joueurs. Sans argent nous avons continué à relever le défi, ce qui nous a permis grâce à la solidarité du groupe, à la détermination des joueurs et à leur flair-play de réussir de bons résultats, ce qui nous a motivé pour rivaliser avec les grands clubs du Royaume.
Notre propre adversaire actuellement c'est quelque peu nous-mêmes, d'où la recessité de régler ce problème financier auquel est confronté le Chabab.
La ville de Mohammedia a des atouts considérables et d'énormes potentialités qui doivent en principe favoriser son développement sportif, culturel, social et économique.
Nous ne terminons pas sans rendre hommage au président du SCCM, au comité, au staff technique, aux joueurs et certains courageux supporters pour cette extraordinaire réussite du Chabab.
