Cette ville qu’il considère, selon la MAP, comme l’une «des trois villes émotionnelles ayant une âme particulière dans le monde».
Après cinquante-cinq ans de carrière passés à parcourir le monde, des Etats-Unis au Japon en passant par le Canada ou encore le Maroc, le chantre du romantisme et le plus international des chanteurs français, également auteur, compositeur et comédien, mérite de se reposer et il a fait le bon choix. Charles Aznavour, ce fils d’immigrés arméniens, est arrivé en haut de l’affiche à force de persévérance et de travail acharné.
Il aura mis un peu plus de vingt ans à gravir une à une les marches qui l’ont mené vers le succès. En effet, il est entré dans le monde des arts par la petite porte. A neuf ans, il arpente déjà les auditions et se fait embaucher au «Théâtre du petit monde». On lui confie alors des rôles d’enfant pendant les années 30. Ensuite, Aznavour s’essaye à tout, a la figuration, aux petits rôles …. Parallèlement, il entame sa carrière de chanteur. C’est vers la fin des années cinquante qu’Aznavour connaît enfin le succès lors de son passage à l’Olympia où il se produit pour la première fois en tête d’affiche.
Après ce triomphe, il décide d’entamer une tournée à l’étranger. Partout où il passe, il ne rencontre que succès. Sa carrière cinématographique prend son envol au cours de la même période. Il tourne successivement «Les dragueurs» de Jean-Pierre Mokyet et «La tête contre les murs» de Georges Franju. Pour ce dernier film, il reçoit le prix d’interprétation masculine du cinéma français.
Depuis, Aznavour est un homme heureux. Son esprit est cartésien et son agenda surchargé ne lui laissent guère le loisir d’éprouver le moindre moment de répit ou de regret. Marrakech accueille aujourd’hui un Aznavour qui a fait le tour du monde, a vécu intensément et a connu beaucoup de succès. Charles Aznavour s’est imposé, en effet, comme un maître de la chanson française et un artiste complet puisque, outre la musique, il est un comédien confirmé, et pratique l’écriture et la peinture avec talent.
Après cinquante-cinq ans de carrière passés à parcourir le monde, des Etats-Unis au Japon en passant par le Canada ou encore le Maroc, le chantre du romantisme et le plus international des chanteurs français, également auteur, compositeur et comédien, mérite de se reposer et il a fait le bon choix. Charles Aznavour, ce fils d’immigrés arméniens, est arrivé en haut de l’affiche à force de persévérance et de travail acharné.
Il aura mis un peu plus de vingt ans à gravir une à une les marches qui l’ont mené vers le succès. En effet, il est entré dans le monde des arts par la petite porte. A neuf ans, il arpente déjà les auditions et se fait embaucher au «Théâtre du petit monde». On lui confie alors des rôles d’enfant pendant les années 30. Ensuite, Aznavour s’essaye à tout, a la figuration, aux petits rôles …. Parallèlement, il entame sa carrière de chanteur. C’est vers la fin des années cinquante qu’Aznavour connaît enfin le succès lors de son passage à l’Olympia où il se produit pour la première fois en tête d’affiche.
Après ce triomphe, il décide d’entamer une tournée à l’étranger. Partout où il passe, il ne rencontre que succès. Sa carrière cinématographique prend son envol au cours de la même période. Il tourne successivement «Les dragueurs» de Jean-Pierre Mokyet et «La tête contre les murs» de Georges Franju. Pour ce dernier film, il reçoit le prix d’interprétation masculine du cinéma français.
Depuis, Aznavour est un homme heureux. Son esprit est cartésien et son agenda surchargé ne lui laissent guère le loisir d’éprouver le moindre moment de répit ou de regret. Marrakech accueille aujourd’hui un Aznavour qui a fait le tour du monde, a vécu intensément et a connu beaucoup de succès. Charles Aznavour s’est imposé, en effet, comme un maître de la chanson française et un artiste complet puisque, outre la musique, il est un comédien confirmé, et pratique l’écriture et la peinture avec talent.
