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Les bénéficiaires affluent de cinq préfectures de la métropole : Anfa, Al Fida-Derb Soltane, Ben M’Sik-Mediouna, Moulay Rchid-Sidi Othmane et Al Mechouar. Cette année, on a pensé à accueillir dans la colonie de vacances Lalla Meryem 1200 enfants pour chaque période. Les communes ont pris en charge l’opération d’inscription des enfants relevant de leur territoire. Ils assurent également leur transport puisque ces petits estivants arrivent vers 8 heures du matin et retournent chez eux à 18 heures. Le Conseil de la Région du Grand Casablanca s’occupe, pour sa part, de la nourriture à raison de 15 dirhams par enfant et 20 dirhams pour les cadres. Ces derniers sont chargés d’encadrer pédagogiquement ces jeunes encore dans la fleur de l’âge. Heureux, ceux-ci jouent et donnent libre cour à leur imagination. Zouhir Hamza, 11 ans, vient de Derb Al Manjra.
Depuis vendredi dernier, il s’est habitué à rencontrer ses amis dans cette plage. Il n’arrive pas à cacher son extrême joie et regrette déjà que les journées passées à la plage s’envolent très vite. « Cette colonie de vacances est très propre. Toutes les activités me plaisent. Nous n’avons pas l’occasion de nous éclater et de nous amuser dans nos quartiers. J’aurais aimé que les 10 jours ne finissent pas ou bien qu’ils soient un mois », s’exclame-t-il avec amusement.
Son vœu est fort partagé par bon nombre de ses amis. Ils auraient souhaité que ces merveilleuses vacances se prolongent durant tout l’été. Mais, il faudrait céder la place, non sans regret, à d’autres personnes pour que le maximum d’enfants démunis puissent bénéficier de cette opération qui mérite d’être fortement saluée. Grâce à cette initiative, on permet, en fait, à des milliers d’enfants de s’épanouir dans un cadre pédagogique agréable. Ainsi, ils pourront reprendre leurs études au début de l’année scolaire avec une grande béatitude.
Une relation solide se noue entre ces petits estivants même s’ils ne se connaissaient pas au départ. C’est la colonie de vacances Lalla Meryem qui les a réunis. Certains sont décidés de devenir de fidèles amis même après la fin de la colonie de vacances. « Ici, j’ai trouvé bon nombre d’enfants de mon âge qui ont les mêmes goûts et les mêmes idées que moi. Hatim, Younes et moi comptons nous rencontrer même après la fin des 10 jours prévus dans cette plage. Je suis très content car c’est pour la première fois que j’ai pu trouver de bons copains. Quand je rentre chez moi le soir dans rue Laayoune, je me sents à l’aise », dit Mouaâd avec un sourire qui en dit long.
Filles et garçons se montrent dynamiques et optimistes. Enthousiastes, ils se livrent à des activités plaisantes. Certains rêvent de devenir un jour des athlètes de grande valeur. Aussi, se lancent-t-il à une concurrence acharnée. Certains d’entre eux affirment que grâce à la volonté tout est possible. Il faut juste de la persévérance pour atteindre le but qu’ils ont laborieusement visé.
Les éducateurs essaient, autant que faire se peut, de les encourager à aiguiser leurs dons et capacités. « Peut-être qu’un jour, je remporterais un championnat international et je deviendrais célèbre et riche. Si mes rêves se concrétiseraient, j’aiderais tous les enfants de mon quartier qui n’ont pas les moyens », dit Hamid, les yeux rêveurs.
Naïma encadre 400 enfants d’Anfa et d’Al Mechouar. Elle s’est portée volontaire pour soutenir les familles démunies. « Je suis professeur et j’ai un enfant handicapé. Et c’est avec cette expérience que je viens ici aider ces enfants. Mais je rencontre des problèmes avec quelques encadrants qui n’ont aucune expérience », dit-elle, l’air désolé. La colonie de vacances Lalla Meryem offre aux enfants de la métropole une occasion de détente et d’épanouissement quoiqu’il faille faire encore d’efforts pour renforcer les infrastructures existantes (salles de bains, douches…) et pour encadrer un nombre suffisant de personnel le long de l’année.
Depuis vendredi dernier, il s’est habitué à rencontrer ses amis dans cette plage. Il n’arrive pas à cacher son extrême joie et regrette déjà que les journées passées à la plage s’envolent très vite. « Cette colonie de vacances est très propre. Toutes les activités me plaisent. Nous n’avons pas l’occasion de nous éclater et de nous amuser dans nos quartiers. J’aurais aimé que les 10 jours ne finissent pas ou bien qu’ils soient un mois », s’exclame-t-il avec amusement.
Son vœu est fort partagé par bon nombre de ses amis. Ils auraient souhaité que ces merveilleuses vacances se prolongent durant tout l’été. Mais, il faudrait céder la place, non sans regret, à d’autres personnes pour que le maximum d’enfants démunis puissent bénéficier de cette opération qui mérite d’être fortement saluée. Grâce à cette initiative, on permet, en fait, à des milliers d’enfants de s’épanouir dans un cadre pédagogique agréable. Ainsi, ils pourront reprendre leurs études au début de l’année scolaire avec une grande béatitude.
Une relation solide se noue entre ces petits estivants même s’ils ne se connaissaient pas au départ. C’est la colonie de vacances Lalla Meryem qui les a réunis. Certains sont décidés de devenir de fidèles amis même après la fin de la colonie de vacances. « Ici, j’ai trouvé bon nombre d’enfants de mon âge qui ont les mêmes goûts et les mêmes idées que moi. Hatim, Younes et moi comptons nous rencontrer même après la fin des 10 jours prévus dans cette plage. Je suis très content car c’est pour la première fois que j’ai pu trouver de bons copains. Quand je rentre chez moi le soir dans rue Laayoune, je me sents à l’aise », dit Mouaâd avec un sourire qui en dit long.
Filles et garçons se montrent dynamiques et optimistes. Enthousiastes, ils se livrent à des activités plaisantes. Certains rêvent de devenir un jour des athlètes de grande valeur. Aussi, se lancent-t-il à une concurrence acharnée. Certains d’entre eux affirment que grâce à la volonté tout est possible. Il faut juste de la persévérance pour atteindre le but qu’ils ont laborieusement visé.
Les éducateurs essaient, autant que faire se peut, de les encourager à aiguiser leurs dons et capacités. « Peut-être qu’un jour, je remporterais un championnat international et je deviendrais célèbre et riche. Si mes rêves se concrétiseraient, j’aiderais tous les enfants de mon quartier qui n’ont pas les moyens », dit Hamid, les yeux rêveurs.
Naïma encadre 400 enfants d’Anfa et d’Al Mechouar. Elle s’est portée volontaire pour soutenir les familles démunies. « Je suis professeur et j’ai un enfant handicapé. Et c’est avec cette expérience que je viens ici aider ces enfants. Mais je rencontre des problèmes avec quelques encadrants qui n’ont aucune expérience », dit-elle, l’air désolé. La colonie de vacances Lalla Meryem offre aux enfants de la métropole une occasion de détente et d’épanouissement quoiqu’il faille faire encore d’efforts pour renforcer les infrastructures existantes (salles de bains, douches…) et pour encadrer un nombre suffisant de personnel le long de l’année.
