Le boycott à répétitives des travaux de la session ordinaire du mois d’août traduit selon les propres termes d’un élu qui a préféré gardé l’anonymat l’irresponsabilité de certains élus qui se désintéressent complètement des affaires communales à l’approche de l’expiration de leurs mandats. Cette hypothèse semble être objective puisque à deux reprises la CUC n’a pas pu réunir le nombre suffisant d’élus pour tenir sa session ordinaire.
Cette version est contredite par d’autres élus qui pensent que le sèchement des travaux de la session d’août par certains élus est dû à la programmation de cette session à la période des vacances. Ce même groupe avance également que l’approche des échéances électorales de 12 septembre en est également pour quelque chose.
Seulement, on rappelle pour ceux qui ont un peu la mémoire courte que la CUC avait vécu des scénarios similaires auparavant et le dernier date seulement du mois de juillet dernier. Cette vérité décrédibilise la thèse de ceux qui prétextent des vacances ou encore la préparation des élections.
Quoi qu’elle soit, la session de mercredi 27 août aura bel et bien lieu sans se soucier du nombre de présents et ce conformément aux articles 15 et 19 du Dahir de 30 septembre 1976 qui régit le règlement interne de la CUC.
La session prévoit l’examen d’importants dossiers relatifs au développement économique et social de la capitale économique. Au menu, figurent l’approbation du projet annexe relatif à la gestion déléguée accordée à LYDEC, ainsi que l’approbation du programme contractuel de la Régie autonome du transport urbain de Casablanca (RATC) et la gestion déléguée de la régie.
D’autres dossiers sont également inscrits à l’ordre du jour tels le réexamen des arrêtés régissant les taxes sur les abats des nouveaux abattoirs, les loyers des magasins du gros des légumes et fruits, ainsi que l’examen de l’amendement de l’arrêté n°2/90 visant le relèvement de la taxe imposée sur les abats en provenances des autres communes de 0,03 DH le kilo, actuellement fixée à 1,50 DH.
La session devrait également approuver la décision de la subvention de 10.000.000 DHs destinée à l’acquisition de logement au profit du personnel de la communauté urbaine. Tous ces dossiers sont en mesure de susciter des débats houleux notamment l’approbation du programme contractuel de la RATC et sa gestion déléguée. Cette dernière qualifiée de gouffre financier et qui se trouve au bord de la faillite emploie des dizaines d’employés.
Sa privatisation risque de soulever un tollé sachant que tout repreneur risque de conditionner la reprise avec l’allégement de la masse salariale. D’ici là, il faut espérer que la présence soit en mesure des points inscrits à l’ordre du jour.
Cette version est contredite par d’autres élus qui pensent que le sèchement des travaux de la session d’août par certains élus est dû à la programmation de cette session à la période des vacances. Ce même groupe avance également que l’approche des échéances électorales de 12 septembre en est également pour quelque chose.
Seulement, on rappelle pour ceux qui ont un peu la mémoire courte que la CUC avait vécu des scénarios similaires auparavant et le dernier date seulement du mois de juillet dernier. Cette vérité décrédibilise la thèse de ceux qui prétextent des vacances ou encore la préparation des élections.
Quoi qu’elle soit, la session de mercredi 27 août aura bel et bien lieu sans se soucier du nombre de présents et ce conformément aux articles 15 et 19 du Dahir de 30 septembre 1976 qui régit le règlement interne de la CUC.
La session prévoit l’examen d’importants dossiers relatifs au développement économique et social de la capitale économique. Au menu, figurent l’approbation du projet annexe relatif à la gestion déléguée accordée à LYDEC, ainsi que l’approbation du programme contractuel de la Régie autonome du transport urbain de Casablanca (RATC) et la gestion déléguée de la régie.
D’autres dossiers sont également inscrits à l’ordre du jour tels le réexamen des arrêtés régissant les taxes sur les abats des nouveaux abattoirs, les loyers des magasins du gros des légumes et fruits, ainsi que l’examen de l’amendement de l’arrêté n°2/90 visant le relèvement de la taxe imposée sur les abats en provenances des autres communes de 0,03 DH le kilo, actuellement fixée à 1,50 DH.
La session devrait également approuver la décision de la subvention de 10.000.000 DHs destinée à l’acquisition de logement au profit du personnel de la communauté urbaine. Tous ces dossiers sont en mesure de susciter des débats houleux notamment l’approbation du programme contractuel de la RATC et sa gestion déléguée. Cette dernière qualifiée de gouffre financier et qui se trouve au bord de la faillite emploie des dizaines d’employés.
Sa privatisation risque de soulever un tollé sachant que tout repreneur risque de conditionner la reprise avec l’allégement de la masse salariale. D’ici là, il faut espérer que la présence soit en mesure des points inscrits à l’ordre du jour.