Le secrétaire d’Etat marocain effectue depuis dimanche dernier un voyage d’études en Allemagne, en compagnie d’un représentant de la CGEM (Confédération générale des entreprises du Maroc), dans le cadre d’une mission maghrébine comprenant également des responsables algériens et tunisiens, représentant les secteurs publics et privés. En marge de ce voyage d’études, M. El Morabit a eu notamment des entretiens avec le directeur général des questions de politique environnementale au ministère allemand de l’Environnement, Hendrik Vygen.
L’Allemagne a proposé au Maroc, qui avait abrité la
COP-7 (7e Conférence des parties à la convention sur les changements climatiques), de se joindre au comité préparatoire de la Conférence internationale sur les énergies renouvelables, prévue en juin 2004 en Allemagne. L’initiative de cette conférence avait été annoncée par le chancelier Gerhard Schroeder, lors de la dernière conférence des parties, qui avait été réunie à Johannesbourg (Afrique du Sud). Fort de son expérience et de son action aux plans national et international en matière de lutte contre le réchauffement climatique, le Maroc a donné son accord à la partie allemande, a fait savoir M. El Morabit, dans une déclaration à MAP-Berlin.
La mission maghrébine a été reçue lundi et mardi derniers par les organisations professionnelles (Chambre de commerce et d’industrie, patronat), le président du groupe parlementaire germano-maghrébin, Guenter Gloser, et les dirigeants de certaines grandes firmes industrielles allemandes. Le représentant du patronat, comme ceux des grands groupes industriels et les politiques, ont été unanimes à souligner l’importance qu’ils attachaient tous à un regroupement économique des pays du Maghreb, qui servirait d’interlocuteur unique pour l’Union européenne, mais aussi pour les grandes firmes industrielles. Ces dernières disposeraient de plus d’arguments et d’atouts pour opérer des opérations de délocalisation dans la région du Maghreb. Sur le plan bilatéral, le Maroc est engagé avec l’Allemagne dans un projet d’envergure relatif à la réalisation d’une unité de traitement de déchets spéciaux ; projet dont les études de faisabilité sont en cours. Le projet sera financé par le secteur privé marocain et allemand. L’Allemagne, un pays leader en matière environnementale, apporte depuis plusieurs années son soutien au Maroc pour réduire la pollution industrielle et la mise à niveau de l’infrastructure industrielle, dans la perspective de l’échéance de 2010, selon M’Hamed El Morabit. Le groupe maghrébin s’est rendu hier matin à Francfort et Wiesbaden où il devrait rencontrer les responsables de la GTZ (Agence allemande pour la coopération technique) et de la KFW (Institut de crédit pour la reconstruction), qui interviennent dans la gestion et le suivi de la coopération technique et financière internationale.
L’Allemagne a proposé au Maroc, qui avait abrité la
COP-7 (7e Conférence des parties à la convention sur les changements climatiques), de se joindre au comité préparatoire de la Conférence internationale sur les énergies renouvelables, prévue en juin 2004 en Allemagne. L’initiative de cette conférence avait été annoncée par le chancelier Gerhard Schroeder, lors de la dernière conférence des parties, qui avait été réunie à Johannesbourg (Afrique du Sud). Fort de son expérience et de son action aux plans national et international en matière de lutte contre le réchauffement climatique, le Maroc a donné son accord à la partie allemande, a fait savoir M. El Morabit, dans une déclaration à MAP-Berlin.
La mission maghrébine a été reçue lundi et mardi derniers par les organisations professionnelles (Chambre de commerce et d’industrie, patronat), le président du groupe parlementaire germano-maghrébin, Guenter Gloser, et les dirigeants de certaines grandes firmes industrielles allemandes. Le représentant du patronat, comme ceux des grands groupes industriels et les politiques, ont été unanimes à souligner l’importance qu’ils attachaient tous à un regroupement économique des pays du Maghreb, qui servirait d’interlocuteur unique pour l’Union européenne, mais aussi pour les grandes firmes industrielles. Ces dernières disposeraient de plus d’arguments et d’atouts pour opérer des opérations de délocalisation dans la région du Maghreb. Sur le plan bilatéral, le Maroc est engagé avec l’Allemagne dans un projet d’envergure relatif à la réalisation d’une unité de traitement de déchets spéciaux ; projet dont les études de faisabilité sont en cours. Le projet sera financé par le secteur privé marocain et allemand. L’Allemagne, un pays leader en matière environnementale, apporte depuis plusieurs années son soutien au Maroc pour réduire la pollution industrielle et la mise à niveau de l’infrastructure industrielle, dans la perspective de l’échéance de 2010, selon M’Hamed El Morabit. Le groupe maghrébin s’est rendu hier matin à Francfort et Wiesbaden où il devrait rencontrer les responsables de la GTZ (Agence allemande pour la coopération technique) et de la KFW (Institut de crédit pour la reconstruction), qui interviennent dans la gestion et le suivi de la coopération technique et financière internationale.