Ballotté entre promesses de toutes sorte et amères déceptions, ce public vient de recevoir le dernier coup de grâce fatal.
En effet l'annonce de l'organisation du derby casablancais sur la pelouse du Complexe Mohammed V est l'ultime épisode du mélodrame enduré par toute une population avide d'événements majeurs, à même de faire oublier la morosité ambiante.
Hélas les «éléments» semblent s'être lignés contre la réalisation des rêves légitimes. Ce furent d'abord, les rumeurs d'une probable finale de la Coupe du Trône MAS-RCA en guise d'inauguration du Complexe sportif de Fès.
Évaporées ces premières illusions, les espoirs se tournèrent vers la Champions League arabe arrachée de haute lutte à d'autres candidats par une poignée de dirigeants massaouis pour l'offrir au vaillant public fassi.
Une aubaine qui aurait eu enfin pour retombée «miraculeuse» l'ouverture du nouveau complexe de la route de Sefrou.
Un complexe qui n'en finit pas de moisir dans l'immense salle d'attente des projets inachevés de la capitale spirituelle.
Tout semblait baigner dans l'huile depuis l'assentiment de l'Union arabe de football.
L'affaire parue même définitivement ficelée lorsque Fès abrita la cérémonie du tirage au sort des matches du Tournoi arabe finale. Tout doute était en fait levé lorsque l'Union de football, MAS de Fès et FRMF apposèrent leurs paraphes sur le contrat d'organisation du Tournoi.
Or deux semaines plus tard un coup de foudre de forte intensité «sur l'échelle de Richter» foudroya les dernières illusions du public fassi avec le forfait de Fès en faveur de Jeddah … pour cause d'impraticabilité de nos installations sportives suite aux intempéries.
Pourtant le gazon du complexe de Fès, de l'avis de techniciens avisé, est jouable. Seul manquait un bon roulage d'appoint… Mais voilà que l'imbroglio se corse avec l'ouverture au jeu du Complexe Mohammed V pour le derby WAC-RCA du 19 janvier. Or justement ce complexe devait accueillir le premier match de la Coupe arabe le 18, la veille, qui ! Malheureuse coïncidence qui finit de désarçonner l'opinion des observateurs fassis et bien d'autres…
Comprenne qui pourra! Et le comité du MAS dans tout cela?
Là aussi les interrogations délirantes fusent de toutes parts…
Les dirigeants fassis ont-ils déployé les efforts nécessaires auprès d'instances nationales du sport, de l'autorité centrale et des corps élus de Fès pour garantir les conditions d'accueil de cet événement de honorer ainsi ses engagements vis-à-vis de l'Union arabe de football!? Il est désolant de constater qu'en matière d'infrastructures et en particulier des terrains de jeu, l'enthousiasme n'est pas souvent de mise.
Il n'y qu'à avoir, pour s'en convaincre, l'état des aires de jeu du Centre de «formation» du club massaoui! Quasiment tous les entraîneurs de l'équipe première qui s'y sont succédé ont passé leur temps à déplorer l'état du champ de jeu. Là où on demande aux joueurs du grand MAS de «parfaire» leur jeu pour décrocher titres nationaux, arabes et africains. Un dédain inqualifiable plane à longueur de réunions marathoniennes sur l'opportunité de débaucher un Aziz Amri en guise de «procédés de bon voisinage» avec d'incrédules codémistes…! Ou encore de remettre sur le gril le même Amri au profit d'un «Gaouri» mieux compris que le gars du terroir. Y-a-t-il finalement gouvernail dans le navire fassi? L'éloignement du président du théâtre des événements explique-t-il tout? Le fiasco de la Coupe arabe donne partie de l'explication… A la prochaine Coupe arabe en 2004. Au complexe de Fès?
En effet l'annonce de l'organisation du derby casablancais sur la pelouse du Complexe Mohammed V est l'ultime épisode du mélodrame enduré par toute une population avide d'événements majeurs, à même de faire oublier la morosité ambiante.
Hélas les «éléments» semblent s'être lignés contre la réalisation des rêves légitimes. Ce furent d'abord, les rumeurs d'une probable finale de la Coupe du Trône MAS-RCA en guise d'inauguration du Complexe sportif de Fès.
Évaporées ces premières illusions, les espoirs se tournèrent vers la Champions League arabe arrachée de haute lutte à d'autres candidats par une poignée de dirigeants massaouis pour l'offrir au vaillant public fassi.
Une aubaine qui aurait eu enfin pour retombée «miraculeuse» l'ouverture du nouveau complexe de la route de Sefrou.
Un complexe qui n'en finit pas de moisir dans l'immense salle d'attente des projets inachevés de la capitale spirituelle.
Tout semblait baigner dans l'huile depuis l'assentiment de l'Union arabe de football.
L'affaire parue même définitivement ficelée lorsque Fès abrita la cérémonie du tirage au sort des matches du Tournoi arabe finale. Tout doute était en fait levé lorsque l'Union de football, MAS de Fès et FRMF apposèrent leurs paraphes sur le contrat d'organisation du Tournoi.
Or deux semaines plus tard un coup de foudre de forte intensité «sur l'échelle de Richter» foudroya les dernières illusions du public fassi avec le forfait de Fès en faveur de Jeddah … pour cause d'impraticabilité de nos installations sportives suite aux intempéries.
Pourtant le gazon du complexe de Fès, de l'avis de techniciens avisé, est jouable. Seul manquait un bon roulage d'appoint… Mais voilà que l'imbroglio se corse avec l'ouverture au jeu du Complexe Mohammed V pour le derby WAC-RCA du 19 janvier. Or justement ce complexe devait accueillir le premier match de la Coupe arabe le 18, la veille, qui ! Malheureuse coïncidence qui finit de désarçonner l'opinion des observateurs fassis et bien d'autres…
Comprenne qui pourra! Et le comité du MAS dans tout cela?
Là aussi les interrogations délirantes fusent de toutes parts…
Les dirigeants fassis ont-ils déployé les efforts nécessaires auprès d'instances nationales du sport, de l'autorité centrale et des corps élus de Fès pour garantir les conditions d'accueil de cet événement de honorer ainsi ses engagements vis-à-vis de l'Union arabe de football!? Il est désolant de constater qu'en matière d'infrastructures et en particulier des terrains de jeu, l'enthousiasme n'est pas souvent de mise.
Il n'y qu'à avoir, pour s'en convaincre, l'état des aires de jeu du Centre de «formation» du club massaoui! Quasiment tous les entraîneurs de l'équipe première qui s'y sont succédé ont passé leur temps à déplorer l'état du champ de jeu. Là où on demande aux joueurs du grand MAS de «parfaire» leur jeu pour décrocher titres nationaux, arabes et africains. Un dédain inqualifiable plane à longueur de réunions marathoniennes sur l'opportunité de débaucher un Aziz Amri en guise de «procédés de bon voisinage» avec d'incrédules codémistes…! Ou encore de remettre sur le gril le même Amri au profit d'un «Gaouri» mieux compris que le gars du terroir. Y-a-t-il finalement gouvernail dans le navire fassi? L'éloignement du président du théâtre des événements explique-t-il tout? Le fiasco de la Coupe arabe donne partie de l'explication… A la prochaine Coupe arabe en 2004. Au complexe de Fès?
