Les WC existant ne répondent pas aux besoins de la population casablancaise qui s'élève à environ 5 millions de personnes.
Le manque d’un réseau de toilettes publiques pousse la population à faire leurs besoins dans la rue, à pisser contre les murs des immeubles ou les arbres. Ce comportement incivique entraîne la dégradation de l’environnement de la ville et porte atteinte à l’hygiène publique. Les passants doivent de plus en plus faire attention de ne pas marcher sur les matières fécales et supporter des odeurs infectes de l’urine.
Ce qui est grave dans cette affaire, c’est la vulgarisation de l’acte dans la rue qui ne choque plus personne. L’acte traduit aussi que les gens n’ont aucun respect pour l’environnement, pour leurs semblables et pour eux-mêmes. Aucun responsable communale ne peut s'enorgueillir aujourd’hui de l’état des toilettes publiques de la métropole dont seulement une ou deux sont en service. C’est peu, très peu, pour les cinq millions de la capitale économique. Pire encore, aucun projet de WC n’est à l’ordre du jour du conseil de la ville pour pallier ce manque flagrant.
Cette situation inquiète les Casablancais qui craignent que les mauvaises habitudes se développent davantage. Les gens comprennent mal comment le conseil de la ville a exclue dans son agenda des investissements prévus en 2004 à la réalisation d’urinoirs dans différents points de la métropole. Pourtant, Casablanca essaie de cultiver une image de ville moderne et développée.
Tant que les responsables ne se décident pas à prendre au sérieux ce problème nous aurons toujours devant les yeux des transcriptions qui appellent les citoyens à ne pas uriner sur les murs et nous aurons également des images qui portent atteinte à la pudeur.
En plus du manque des WC, ceux-ci sont également mal répartis sur le territoire. Les cinq ou six vécés existants sont implantés en intégralité à la commune de Sidi Belyout.
Et ce n’est pas un hasard s’ils sont uniquement là puisque ils ont été construits durant la première moitié du siècle dernier.
Les conseils qui se sont succédés à la gestion de la ville n’ont jamais eu l’idée de construire de nouvelles toilettes publiques. Il ne faut pas s’étonner de constater que les autorités ne traquent pas ces indélicats qui urinent dans la rue.
Le manque d’un réseau de toilettes publiques pousse la population à faire leurs besoins dans la rue, à pisser contre les murs des immeubles ou les arbres. Ce comportement incivique entraîne la dégradation de l’environnement de la ville et porte atteinte à l’hygiène publique. Les passants doivent de plus en plus faire attention de ne pas marcher sur les matières fécales et supporter des odeurs infectes de l’urine.
Ce qui est grave dans cette affaire, c’est la vulgarisation de l’acte dans la rue qui ne choque plus personne. L’acte traduit aussi que les gens n’ont aucun respect pour l’environnement, pour leurs semblables et pour eux-mêmes. Aucun responsable communale ne peut s'enorgueillir aujourd’hui de l’état des toilettes publiques de la métropole dont seulement une ou deux sont en service. C’est peu, très peu, pour les cinq millions de la capitale économique. Pire encore, aucun projet de WC n’est à l’ordre du jour du conseil de la ville pour pallier ce manque flagrant.
Cette situation inquiète les Casablancais qui craignent que les mauvaises habitudes se développent davantage. Les gens comprennent mal comment le conseil de la ville a exclue dans son agenda des investissements prévus en 2004 à la réalisation d’urinoirs dans différents points de la métropole. Pourtant, Casablanca essaie de cultiver une image de ville moderne et développée.
Tant que les responsables ne se décident pas à prendre au sérieux ce problème nous aurons toujours devant les yeux des transcriptions qui appellent les citoyens à ne pas uriner sur les murs et nous aurons également des images qui portent atteinte à la pudeur.
En plus du manque des WC, ceux-ci sont également mal répartis sur le territoire. Les cinq ou six vécés existants sont implantés en intégralité à la commune de Sidi Belyout.
Et ce n’est pas un hasard s’ils sont uniquement là puisque ils ont été construits durant la première moitié du siècle dernier.
Les conseils qui se sont succédés à la gestion de la ville n’ont jamais eu l’idée de construire de nouvelles toilettes publiques. Il ne faut pas s’étonner de constater que les autorités ne traquent pas ces indélicats qui urinent dans la rue.
