Magazines d’information, documentaires, fictions, sport et musique sont bien sûr au menu, mais il est d’usage, les productions humoristiques feront fleurette en ce mois. Lalla Fatéma sera donc de la fête pour la troisième saison, Fahid y va également de sa série Andak a Miloud. Mais il y aura aussi des nouveautés : Tébaâ Annas, une émission satirique qui tourne en dérision certains comportements socials ; et Kanat Harira qui réunit une pléiade de comédiens marocains sous la baguette de Mohamed El Khiari.
Il reste à espérer qu’entre temps, nos humoristes auront eu le loisir de méditer sur ce que le terme subtilité veut dire, des fois ça sert pour mieux faire rire.
Des rendez-vous avec des magazines d’information sont également prévus. La proximité est le maître-mot en la matière. Quatre émissions qui font la fierté de la chaîne sont maintenues : Grand Angle, Fi Al Wajiha, Tahqiq et Moukhtafoun.
La culture sera sonore selon la nouvelle programmation, de la musique dans Noujoum mina Rif ; de la musique dans Rawaiî min Souss ; de la musique encore dans Bissat Arrih.
La musique sera encore à l’honneur dans une série de documentaires signée Abdelkader Mana sous le titre : La musique dans la vie.
Ramadan, c’est aussi et surtout le cinéma. Convivialité et proximité seront de mise là aussi. Films et téléfilms marocains sont programmés dont Addoubaba al bayda de Hassan Ghanja et Allal el Qalda de Mohamed Ismaël d’après un scénario de l’écrivain Bensalem Himmich .
Le théâtre verra le retour de Taieb Saddiki dans l’un de ses chefs-d’œuvre Al Harraz et les frères Dakhouche nous donneront à voir Rahbat Lafraja.
La diversité cinématographique sera de mise durant ce mois, des films de Palestine (Couvre-feu de Rachid Nashraoui); d’Iran (Le Tableau noir de Samira Makhmalaf) ; du Japon (Ring de Hideo Nakata) mais aussi du Botswana avec l’étonnant Les Dieux sont tombés sur la tête, un film des années 80 qui pourtant ne prend pas de rides.
Fictions syriennes et égyptiennes sont incontournables : Hikayate Zaouj Mouâssir et Al Amma Nour sont les deux séries programmées durant le Ramadan.
Il va sans dire que la programmation du grand cinéma américain sera maintenue (Tigre et Dragon) ; (Les Chemins de la dignité) ; (Capitaine Corelli) et d’autres.
Le cinéma de minuit sera sous le signe du fou rire. Eh, oui ! Charlot fera son cinéma : Le Dictateur , Les Feux de la Rampe, Les Temps modernes, Le Kid, enfin le grand Charlot.
La nouvelle programmation bousculera, bien sûr, la grille habituelle, des émissions vont momentanément prendre du repos, d’autres vont carrément disparaître. L’une des émissions appelées à nous dire bye bye est semble-t-il, Bande à part.
Ce qui permet de lever un coin sur le cachet du nouveau directeur et sa conception de la télévision : «Je ne veux pas de télévision offshore, avec des programmes destinés à quelques centaines de téléspectateurs. Notre télé doit s’adresser à la grande majorité de la population », dira-t-il en réponse à une question sur les critères du choix d’une émission.
C’était l’occasion pour lui de donner quelques précisions sur « la feuille de route » qu’il compte mettre en application. Encourager la production marocaine en mettant plus de moyens et en exigeant plus de qualité, maintenir une ligne de proximité en développant des productions de documentaires sur les différentes régions du Maroc.
Observer une politique de complémentarité avec la RTM mais aussi de concurrence sur les terrains qui s’y prêtent.
Rendez-vous donc dans quelques jours en plein Ramadan. Mais surtout pour l’après-Ramadan.
Il reste à espérer qu’entre temps, nos humoristes auront eu le loisir de méditer sur ce que le terme subtilité veut dire, des fois ça sert pour mieux faire rire.
Des rendez-vous avec des magazines d’information sont également prévus. La proximité est le maître-mot en la matière. Quatre émissions qui font la fierté de la chaîne sont maintenues : Grand Angle, Fi Al Wajiha, Tahqiq et Moukhtafoun.
La culture sera sonore selon la nouvelle programmation, de la musique dans Noujoum mina Rif ; de la musique dans Rawaiî min Souss ; de la musique encore dans Bissat Arrih.
La musique sera encore à l’honneur dans une série de documentaires signée Abdelkader Mana sous le titre : La musique dans la vie.
Ramadan, c’est aussi et surtout le cinéma. Convivialité et proximité seront de mise là aussi. Films et téléfilms marocains sont programmés dont Addoubaba al bayda de Hassan Ghanja et Allal el Qalda de Mohamed Ismaël d’après un scénario de l’écrivain Bensalem Himmich .
Le théâtre verra le retour de Taieb Saddiki dans l’un de ses chefs-d’œuvre Al Harraz et les frères Dakhouche nous donneront à voir Rahbat Lafraja.
La diversité cinématographique sera de mise durant ce mois, des films de Palestine (Couvre-feu de Rachid Nashraoui); d’Iran (Le Tableau noir de Samira Makhmalaf) ; du Japon (Ring de Hideo Nakata) mais aussi du Botswana avec l’étonnant Les Dieux sont tombés sur la tête, un film des années 80 qui pourtant ne prend pas de rides.
Fictions syriennes et égyptiennes sont incontournables : Hikayate Zaouj Mouâssir et Al Amma Nour sont les deux séries programmées durant le Ramadan.
Il va sans dire que la programmation du grand cinéma américain sera maintenue (Tigre et Dragon) ; (Les Chemins de la dignité) ; (Capitaine Corelli) et d’autres.
Le cinéma de minuit sera sous le signe du fou rire. Eh, oui ! Charlot fera son cinéma : Le Dictateur , Les Feux de la Rampe, Les Temps modernes, Le Kid, enfin le grand Charlot.
La nouvelle programmation bousculera, bien sûr, la grille habituelle, des émissions vont momentanément prendre du repos, d’autres vont carrément disparaître. L’une des émissions appelées à nous dire bye bye est semble-t-il, Bande à part.
Ce qui permet de lever un coin sur le cachet du nouveau directeur et sa conception de la télévision : «Je ne veux pas de télévision offshore, avec des programmes destinés à quelques centaines de téléspectateurs. Notre télé doit s’adresser à la grande majorité de la population », dira-t-il en réponse à une question sur les critères du choix d’une émission.
C’était l’occasion pour lui de donner quelques précisions sur « la feuille de route » qu’il compte mettre en application. Encourager la production marocaine en mettant plus de moyens et en exigeant plus de qualité, maintenir une ligne de proximité en développant des productions de documentaires sur les différentes régions du Maroc.
Observer une politique de complémentarité avec la RTM mais aussi de concurrence sur les terrains qui s’y prêtent.
Rendez-vous donc dans quelques jours en plein Ramadan. Mais surtout pour l’après-Ramadan.