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• Nous voulons tout d'abord connaître les secrets de votre absence après le championnat arabe des échecs à Casablanca. Qu'avez-vous fait alors ?
- Certes, après le championnat arabe et plus précisément au mois d'octobre, j'ai été le seul marocain à avoir participé au championnat du monde. Cette manifestation mondiale s'est déroulée en quatre groupes de six joueurs. La chance ne m'a pas souri puisque j'étais placé dans un groupe très difficile et j'ai été classé troisième, ce qui ne m'a pas permis de participer à la phase finale, car seuls les deux premiers de chaque groupe s'y qualifient et pour plus de précision, les deux qualifiés de mon groupe ont joué la finale remportée par le joueur indien Anand, vainqueur de la précédente édition de 2001. Enfin, 24 joueurs ont joué la première phase. Après, j'ai participé du 26 au 30 décembre au Tournoi international open de Nice et, sur les 250 participants, j'ai été classé premier, ce qui m'a permis de remporter ce tournoi et, en même temps, d'améliorer mon élo qui est passé à 2615 et sur 7 points, j'ai grignoté 6. Dès lors, je suis passé au 77e rang mondial. J'ai par là atteint mon objectif qui est de devenir le premier joueur arabo-africain parmi les cent premiers. Un défi réussi que j'aurais bien aimé qu'il soit communiqué par la presse nationale en son temps. Hélàs, rien n'a été fait. Le deuxième joueur arabe derrière moi et le Qatari M'dihki avec son élo de 2570. Vient après lui, l'Algérien professionnel en Espagne Aïmane Rizuk avec son élo de 2515.
• Quel est votre objectif ?
- En premier lieu, je vais participer cette année à des circ uits fermés et sur invitations pour cela, je vais retourner à Montpelliers car les entraînements là-bas me conviennen en plus deux grands joueurs français se trouvent dans cette équipe . Je vise une place parmi les cinquante premiers joueurs mondiaux mais pour atteindre cet objectif, je vais discuter avec les responsables de mon parrain, la Fondation Wafa-bank qui m'ont beaucoup encouragé et je leur dédie ce titre.
• Quelle est donc votre impression sur les échecs nationaux ?
- En premier lieu, je ne sais pas pourquoi le Maroc n'a pas participé aux derniers Olympiades et c'était la première fois. Sincèrement, la politique de la Fédération ne me paraît pas claire car il vaut mieux perdre de l'argent dans cette grande manifestation que dans le championnat arabe. Au niveau de l'équipe nationale, nous avons des jeunes ambitieux et plein de volonté pourvu qu'on les encourage.
- Certes, après le championnat arabe et plus précisément au mois d'octobre, j'ai été le seul marocain à avoir participé au championnat du monde. Cette manifestation mondiale s'est déroulée en quatre groupes de six joueurs. La chance ne m'a pas souri puisque j'étais placé dans un groupe très difficile et j'ai été classé troisième, ce qui ne m'a pas permis de participer à la phase finale, car seuls les deux premiers de chaque groupe s'y qualifient et pour plus de précision, les deux qualifiés de mon groupe ont joué la finale remportée par le joueur indien Anand, vainqueur de la précédente édition de 2001. Enfin, 24 joueurs ont joué la première phase. Après, j'ai participé du 26 au 30 décembre au Tournoi international open de Nice et, sur les 250 participants, j'ai été classé premier, ce qui m'a permis de remporter ce tournoi et, en même temps, d'améliorer mon élo qui est passé à 2615 et sur 7 points, j'ai grignoté 6. Dès lors, je suis passé au 77e rang mondial. J'ai par là atteint mon objectif qui est de devenir le premier joueur arabo-africain parmi les cent premiers. Un défi réussi que j'aurais bien aimé qu'il soit communiqué par la presse nationale en son temps. Hélàs, rien n'a été fait. Le deuxième joueur arabe derrière moi et le Qatari M'dihki avec son élo de 2570. Vient après lui, l'Algérien professionnel en Espagne Aïmane Rizuk avec son élo de 2515.
• Quel est votre objectif ?
- En premier lieu, je vais participer cette année à des circ uits fermés et sur invitations pour cela, je vais retourner à Montpelliers car les entraînements là-bas me conviennen en plus deux grands joueurs français se trouvent dans cette équipe . Je vise une place parmi les cinquante premiers joueurs mondiaux mais pour atteindre cet objectif, je vais discuter avec les responsables de mon parrain, la Fondation Wafa-bank qui m'ont beaucoup encouragé et je leur dédie ce titre.
• Quelle est donc votre impression sur les échecs nationaux ?
- En premier lieu, je ne sais pas pourquoi le Maroc n'a pas participé aux derniers Olympiades et c'était la première fois. Sincèrement, la politique de la Fédération ne me paraît pas claire car il vaut mieux perdre de l'argent dans cette grande manifestation que dans le championnat arabe. Au niveau de l'équipe nationale, nous avons des jeunes ambitieux et plein de volonté pourvu qu'on les encourage.
