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Entre-temps, des télévisions arabes ont diffusé jeudi un enregistrement sonore, dans lequel une voix attribuée à Saddam Hussein a accusé le président américain George W. Bush et le Premier ministre britannique Tony Blair d’avoir menti pour justifier la guerre.
MM. Bush et Blair ont réaffirmé que le régime de Saddam Hussein constituait bien un danger grave et promis que l’Histoire leur donnerait raison. «Nous ne serons pas mis en tort» sur l’existence d’armes de destruction massive, a déclaré M. Bush en insistant sur le fait que «les renseignements» recueillis par Washington «étaient bons», et que Saddam Hussein constituait «une menace contre la paix et la sécurité».
«Je pense que nous découvrirons la vérité et la vérité c’est qu’il (Saddam Hussein) développait un programme d’armes de destruction massive», a ajouté M. Bush qui recevait jeudi le Premier ministre britannique à la Maison Blanche.
M. Blair a, lui, affirmé qu’il pensait «au plus profond de lui» que la coalition avait eu raison de lancer la guerre contre Saddam Hussein, une «menace très claire», reconnue selon lui «par la communauté internationale tout entière». Tony Blair a maintenu ses accusations sur les tentatives prêtées à l’Irak d’achat d’uranium en Afrique.
A Washington, le directeur de la CIA George Tenet aurait dit devant une commission sénatoriale que quelqu’un à la Maison Blanche avait insisté pour que les informations erronées sur l’uranium irakien figurent dans le discours sur l’état de l’Union du président Bush en janvier dernier, selon un sénateur américain. Il s’agirait, selon la chaîne MSNBC, d’un haut responsable du Conseil national de sécurité (NSC), Robert Joseph. Le gouvernement italien a démenti une fois de plus avoir transmis à ses alliés les faux documents sur des achats d’uranium par l’Irak au Niger.
MM. Bush et Blair ont réaffirmé que le régime de Saddam Hussein constituait bien un danger grave et promis que l’Histoire leur donnerait raison. «Nous ne serons pas mis en tort» sur l’existence d’armes de destruction massive, a déclaré M. Bush en insistant sur le fait que «les renseignements» recueillis par Washington «étaient bons», et que Saddam Hussein constituait «une menace contre la paix et la sécurité».
«Je pense que nous découvrirons la vérité et la vérité c’est qu’il (Saddam Hussein) développait un programme d’armes de destruction massive», a ajouté M. Bush qui recevait jeudi le Premier ministre britannique à la Maison Blanche.
M. Blair a, lui, affirmé qu’il pensait «au plus profond de lui» que la coalition avait eu raison de lancer la guerre contre Saddam Hussein, une «menace très claire», reconnue selon lui «par la communauté internationale tout entière». Tony Blair a maintenu ses accusations sur les tentatives prêtées à l’Irak d’achat d’uranium en Afrique.
A Washington, le directeur de la CIA George Tenet aurait dit devant une commission sénatoriale que quelqu’un à la Maison Blanche avait insisté pour que les informations erronées sur l’uranium irakien figurent dans le discours sur l’état de l’Union du président Bush en janvier dernier, selon un sénateur américain. Il s’agirait, selon la chaîne MSNBC, d’un haut responsable du Conseil national de sécurité (NSC), Robert Joseph. Le gouvernement italien a démenti une fois de plus avoir transmis à ses alliés les faux documents sur des achats d’uranium par l’Irak au Niger.
