Saïd Chraïbi que l’on découvre de festival en festival, à travers des concerts de grande qualité, et que l’on apprécie de C.D. en C.D. a bel et bien marqué son temps en offrant au monde arabe les vertus de la virtuosité dans le luth, maître et seigneur de la musique orientale. Incontestablement, Saïd Chraïbi est, de toute évidence, la relève espérée de Bachir Mounir, le fameux maître de luth d’origine irakienne. Car, plectre d’or, puis meilleur luthiste du monde (Festival de Suède en 2000) et premier Ziryab des virtuoses (2002), sans oublier les nombreuses consécrations et récompenses à travers le monde (Orient-Occident), Saïd Chraïbi a marqué, par sa présence et sa fusion avec le groupe Mariano Diaz (Espagne), la clôture du festival Jazz aux Oudayas poussant son concert tard dans la nuit à la demande unanime d’un public enthousiasmé, ne voulant point mettre fin au Festival.
C’est dire, que Saïd Chraïbi fait partie de ces géants au charisme envoûtant et combien fascinant ! A vrai dire, cette édition nous a apporté moult surprises et maintes curiosités au niveau du choix des artistes -musiciens. Ainsi, le duo espagnol Mariano Diaz (piano-guitare), nous a charmé par une musique exotique variée, ayant transporté l’assistance dans une atmosphère américano-latine avec une touche de l’Andalousie.
Quant à la participation de l’Italie, celle-ci s’est confirmée par la prestation, combien talentueuse du grand trompetiste Paolo Fresu, accompagné harmonieusement par le superbe pianiste Antonello Salis et le bassiste Furio Di Castri.
Ce groupe de choc a marqué la quatrième soirée du Festival par un show de haute gamme, suivi d’une rencontre originale avec le jeune luthiste Driss Maloumi qui a créé un dialogue sympathique entre le luth et le piano de Antonello Salis, un moment agréable que le public a bien apprécié par des applaudissements chaleureux.
Certes, le Festival Jazz aux Oudayas s’est bien ancré, cette fois-ci dans les cœurs d’un public ouvert à tous les styles des musiques du monde.
C’est dire, que Saïd Chraïbi fait partie de ces géants au charisme envoûtant et combien fascinant ! A vrai dire, cette édition nous a apporté moult surprises et maintes curiosités au niveau du choix des artistes -musiciens. Ainsi, le duo espagnol Mariano Diaz (piano-guitare), nous a charmé par une musique exotique variée, ayant transporté l’assistance dans une atmosphère américano-latine avec une touche de l’Andalousie.
Quant à la participation de l’Italie, celle-ci s’est confirmée par la prestation, combien talentueuse du grand trompetiste Paolo Fresu, accompagné harmonieusement par le superbe pianiste Antonello Salis et le bassiste Furio Di Castri.
Ce groupe de choc a marqué la quatrième soirée du Festival par un show de haute gamme, suivi d’une rencontre originale avec le jeune luthiste Driss Maloumi qui a créé un dialogue sympathique entre le luth et le piano de Antonello Salis, un moment agréable que le public a bien apprécié par des applaudissements chaleureux.
Certes, le Festival Jazz aux Oudayas s’est bien ancré, cette fois-ci dans les cœurs d’un public ouvert à tous les styles des musiques du monde.
