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Aujourd'hui la femme est présente dans tous les domaines d'activité et réalise des performances notables, ce qui constitue un motif de fierté, a poursuivi le Premier ministre formulant l'espoir de voir la femme, déjà présente au Parlement et au gouvernement, investir d'autres postes de responsabilité tels la gestion des villes.
C'est un travail d'ensemble qu'on doit mener dans la perspective d'ancrer davantage la confiance placée dans le pays et optimiser la croissance et le développement économique du Royaume, a précisé pour sa part Abderrazak Mossadeq, ministre délégué auprès du Premier ministre chargé des Affaires économiques et générales et de la mise à niveau de l'économie. Encourager la femme à investir le domaine de l'entrepreunariat c'est promouvoir le développement de la société, devait renchérir Mme MacCafferty, parlementaire britannique, soulignant au passage le rôle de la femme «en tant que gardienne de la tradition et de la morale» et «éducatrice». L'ambassadeur, chef de la délégation de l'UE à Rabat, Sean Doyle, s'est quant à lui déclaré satisfait de la place croissante qu'occupe la femme dans le monde des affaires et de l'entreprise rappelant au passage le soutien apporté par l'UE à ce secteur. Il faut promouvoir davantage l'esprit d'initiative au féminin, dira la présidente des femmes chefs d'entreprises mondiales, Mme Leyla Khaiat, soulignant la pertinence du thème choisi pour cette rencontre, thème «qui renvoie à des aspirations nationales» et qui se «trouve au centre des préoccupations de l'heure». Le président de la CGEM, Hassan Chami, a rappelé que la femme qui a toujours exercé des activités économiques chez elle (artisanat et agriculture) a investi de plus en plus le monde de l'entreprise.
Par ailleurs, une convention a été signée entre l'AFEM (Association des femmes entrepreneurs du Maroc) et la Fondation de soutien à la création d'entreprises de la Banque Populaire, pour soutenir et encourager l'accès de la femme au monde des affaires.
Aussi faut-il rappeler que l'encouragement de l'initiative privée féminine ne peut être que bénéfique et complémentaire, plutôt que concurrent, au vu des secteurs investis en priorité.
C'est un travail d'ensemble qu'on doit mener dans la perspective d'ancrer davantage la confiance placée dans le pays et optimiser la croissance et le développement économique du Royaume, a précisé pour sa part Abderrazak Mossadeq, ministre délégué auprès du Premier ministre chargé des Affaires économiques et générales et de la mise à niveau de l'économie. Encourager la femme à investir le domaine de l'entrepreunariat c'est promouvoir le développement de la société, devait renchérir Mme MacCafferty, parlementaire britannique, soulignant au passage le rôle de la femme «en tant que gardienne de la tradition et de la morale» et «éducatrice». L'ambassadeur, chef de la délégation de l'UE à Rabat, Sean Doyle, s'est quant à lui déclaré satisfait de la place croissante qu'occupe la femme dans le monde des affaires et de l'entreprise rappelant au passage le soutien apporté par l'UE à ce secteur. Il faut promouvoir davantage l'esprit d'initiative au féminin, dira la présidente des femmes chefs d'entreprises mondiales, Mme Leyla Khaiat, soulignant la pertinence du thème choisi pour cette rencontre, thème «qui renvoie à des aspirations nationales» et qui se «trouve au centre des préoccupations de l'heure». Le président de la CGEM, Hassan Chami, a rappelé que la femme qui a toujours exercé des activités économiques chez elle (artisanat et agriculture) a investi de plus en plus le monde de l'entreprise.
Par ailleurs, une convention a été signée entre l'AFEM (Association des femmes entrepreneurs du Maroc) et la Fondation de soutien à la création d'entreprises de la Banque Populaire, pour soutenir et encourager l'accès de la femme au monde des affaires.
Aussi faut-il rappeler que l'encouragement de l'initiative privée féminine ne peut être que bénéfique et complémentaire, plutôt que concurrent, au vu des secteurs investis en priorité.
