Comment avez-vous commencé à vous intéresser à la musique?
J’ai toujours aimé la musique. J’adore écouter Oum Kaltoum, Mohamed El Hiyani.... Quand j’ai commencé à travailler pour 2M, j’ai rêvé de créer une émission musicale avec des caractéristiques répondant aux goûts de ma génération. Après avoir réussi à surmonter quelques obstacles, j’ai créé mon premier magazine musical, «Roubaiyat». Cette expérience était motivante, alors j’ai décidé de lancer une seconde émission qui est «Fassila».
Elle est inspirée d’une émission similaire internationale qui est diffusée par 70 chaînes à travers le monde et qui a suscité beaucoup d’intérêt. Les téléspectateurs pensent que c’est un programme français, mais la réalité c’est que son vrai créateur est Américain. Le Maroc est le premier pays dans le monde arabe et en Afrique à diffuser cette émission.
Roubaiyat a aussi suscité l’intérêt du public, mais on remarque que la diffusion de la chanson marocaine est faible par rapport à la chanson arabe?
Nous devons savoir que la chanson marocaine n’est pas présente dans le panorama artistique de notre pays. Nous dans «Roubaiyat» nous présentons toutes les chansons marocaines que nous avons entre les mains. La vérité c’est que le Maroc produit peu de chansons et c’est pour cela que nous diffusons peu ce type de chanson. «Roubaiyat» reflète malheureusement cette triste réalité de l’absence de la chanson marocaine. Nous travaillons pour améliorer le niveau de nos programmes. J’ai toujours respecté le goût des téléspectateurs et des gens de la musique. Je diffuse la chanson arabe parce que l’Egypte, la Tunisie, la Syrie... ont toujours des nouveautés et de nouvelles productions artistiques. J’aurai bien aimé consacrer une grande partie de l’émission à la chanson marocaine, mais à vrai dire, cette dernière est quasi absente.
Comment arrivez- vous à concilier les deux émissions et à réussir à bien les faire?
Pour moi, le travail est sacré. Notre récompense est l’appui du public. Même si nous travaillons dur, sous les lumières, maquillage, répétition à chaque moment, et beaucoup de concentration, nous sommes toujours satisfaits du résultat et heureux de constater que l’émission a du succès. Tant que je suis jeune, je n’hésiterai jamais á faire de mon mieux pour promouvoir la production artistique marocaine.
Pensez-vous que l’animateur est la clé de voûte de chaque programme?
L’animateur doit en premier lieu avoir de l’estime pour son travail et le faire avec amour et spontanéité.
J’ai toujours aimé la musique. J’adore écouter Oum Kaltoum, Mohamed El Hiyani.... Quand j’ai commencé à travailler pour 2M, j’ai rêvé de créer une émission musicale avec des caractéristiques répondant aux goûts de ma génération. Après avoir réussi à surmonter quelques obstacles, j’ai créé mon premier magazine musical, «Roubaiyat». Cette expérience était motivante, alors j’ai décidé de lancer une seconde émission qui est «Fassila».
Elle est inspirée d’une émission similaire internationale qui est diffusée par 70 chaînes à travers le monde et qui a suscité beaucoup d’intérêt. Les téléspectateurs pensent que c’est un programme français, mais la réalité c’est que son vrai créateur est Américain. Le Maroc est le premier pays dans le monde arabe et en Afrique à diffuser cette émission.
Roubaiyat a aussi suscité l’intérêt du public, mais on remarque que la diffusion de la chanson marocaine est faible par rapport à la chanson arabe?
Nous devons savoir que la chanson marocaine n’est pas présente dans le panorama artistique de notre pays. Nous dans «Roubaiyat» nous présentons toutes les chansons marocaines que nous avons entre les mains. La vérité c’est que le Maroc produit peu de chansons et c’est pour cela que nous diffusons peu ce type de chanson. «Roubaiyat» reflète malheureusement cette triste réalité de l’absence de la chanson marocaine. Nous travaillons pour améliorer le niveau de nos programmes. J’ai toujours respecté le goût des téléspectateurs et des gens de la musique. Je diffuse la chanson arabe parce que l’Egypte, la Tunisie, la Syrie... ont toujours des nouveautés et de nouvelles productions artistiques. J’aurai bien aimé consacrer une grande partie de l’émission à la chanson marocaine, mais à vrai dire, cette dernière est quasi absente.
Comment arrivez- vous à concilier les deux émissions et à réussir à bien les faire?
Pour moi, le travail est sacré. Notre récompense est l’appui du public. Même si nous travaillons dur, sous les lumières, maquillage, répétition à chaque moment, et beaucoup de concentration, nous sommes toujours satisfaits du résultat et heureux de constater que l’émission a du succès. Tant que je suis jeune, je n’hésiterai jamais á faire de mon mieux pour promouvoir la production artistique marocaine.
Pensez-vous que l’animateur est la clé de voûte de chaque programme?
L’animateur doit en premier lieu avoir de l’estime pour son travail et le faire avec amour et spontanéité.
