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Nicole Petignat qui devient ainsi la première femme arbitre, avait déjà dirigé une trentaine de rencontres du championnat suisse masculin ces deux dernières années, mais aussi lors de la finale de la Coupe du monde féminine en 1999. «Il faut rester ambitieux. Dans mon cas, je n'aurais pas été capable de poursuivre à ce niveau si je n'avais pas été ambitieuse», a-t-elle confié sur le site web de l'UEFA.
Agée de 35 ans, Nicole Petignat reconnaît qu'arbitrer un match masculin sera difficile. «Il y a bien plus d'enjeu que lors des compétitions féminines et vous vous rendez compte, par exemple, qu'il y a beaucoup plus de simulation dans la surface de réparation. Les joueuses en font beaucoup moins».
Evoquant sa préparation, elle avoue étudier à l'avance les équipes qu'elle va arbitrer, leurs résultats. «Sur le plan physique, je m'entraîne pour améliorer ma vitesse et fait beaucoup de travail d'endurance, parce que la force et le dynamisme sont essentiels pendant 90 minutes, vu l'intensité des matches».
Agée de 35 ans, Nicole Petignat reconnaît qu'arbitrer un match masculin sera difficile. «Il y a bien plus d'enjeu que lors des compétitions féminines et vous vous rendez compte, par exemple, qu'il y a beaucoup plus de simulation dans la surface de réparation. Les joueuses en font beaucoup moins».
Evoquant sa préparation, elle avoue étudier à l'avance les équipes qu'elle va arbitrer, leurs résultats. «Sur le plan physique, je m'entraîne pour améliorer ma vitesse et fait beaucoup de travail d'endurance, parce que la force et le dynamisme sont essentiels pendant 90 minutes, vu l'intensité des matches».
