Aux côtés de l'acteur Roger Moore, ambassadeur de l'Unicef, il lance la Journée internationale de la radio et de la télévision en faveur des enfants. En décembre 1992, 150 diffuseurs répartis sur 80 pays répondent pour la première fois à cet appel de l'Unicef et de la Natas (National Academy of Television Arts & Science). Dans l'intervalle, l'écho de cette manifestation dépasse les attentes les plus folles des organisateurs.
Tout le monde s'accorde à dire que les médias ont bien un rôle essentiel à jouer pour aider les enfants à faire connaître leur vision du monde. La Journée internationale de la radio et de la télévision en faveur des enfants est donc l'occasion offerte aux jeunes de raconter leurs propres histoires en tant que reporters, producteurs, rédacteurs, invités et directeurs de programmes de radio et de télévision. C'est la plus vaste campagne mondiale lancée en faveur des enfants dans les médias. Au cours de cette journée, des jeunes du monde entier s'approprient les ondes afin de traiter des questions qui leur tiennent à cœur. Ces futurs journalistes expriment aussi leurs rêves ou leurs inquiétudes. Ainsi, les enfants ont la faculté de poser des questions inattendues, d'apporter un souffle d'air frais à des structures anciennes. Au cours des années, les diffuseurs ont su puiser dans ce potentiel en permettant aux enfants de participer à la réalisation et à la présentation de reportages, de journaux télévisés, de programmes radio ou de documentaires. Nombre de producteurs de radio et de télévision ont tiré des avantages considérables de ce partenariat.
L'enfant commence à regarder la télévision avant même de pouvoir marcher ou parler. Un bébé sera attiré par la télévision, mais regarder l'écran et entendre les sons ne signifient pas comprendre. La compréhension s'acquiert graduellement, à mesure qu'évoluent les habitudes d'écoute et la capacité d'absorption des jeunes téléspectateurs. Dès l'âge de sept ans, les enfants sont conscients qu'à la télévision il y a «du réel» et «de l'imaginaire», mais ils ne les distinguent pas toujours. Même s'ils distinguent les bulletins de nouvelles au réel et les dessins animés à l'imaginaire, par exemple, les enfants ignorent souvent que les «personnes» qu'ils voient à la télévision sont en fait des personnages incarnés par des comédiens.
L'enfant ne peut comprendre la télévision que dans la mesure des connaissances qu'il possède. L'influence des films regardés par l'enfant dépend du degré de passivité avec laquelle il les observe. Il est courant de dire que certains spectacles offerts par la télévision sont plus faciles à recevoir que la lecture d'un livre. L'enfant, dans ces cas, suit passivement les images qui lui sont offertes. Mais il peut aussi voir des films ou émissions qui, au contraire, lui donnent à réfléchir et lui permettent de développer son sens critique. Contrairement aux premiers, leur influence est positive pour le développement de l'enfant. Au Maroc, la télévision peut jouer un rôle positif dans l'apprentissage. Les émissions pour enfants cultivent le goût de l'histoire chez les enfants et enseignent des notions de base telles que les chiffres et l'alphabet.
D'autres stimulent l'intérêt des enfants pour les livres et l'écriture ou offrent une initiation aux sciences. Lorsqu'une émission suscite un intérêt particulier ou provoque des questions chez l'enfant, les parents peuvent s'en servir comme tremplin pour amener l'enfant à explorer le sujet, dans des livres, des revues ou ailleurs.
Au fil des ans, cette vaste campagne mondiale lancée dans les médias en faveur des enfants a donné naissance à certaines des émissions les plus créatives jamais réalisées pour la jeunesse. Nombre de producteurs de radio et de télévision ont tiré des avantages considérables de ce partenariat. Au Canada par exemple, TV Ontario a consacré un dimanche entier aux enfants et a réalisé ce jour-là son record d'audience pour un dimanche en 10 ans – ce qui prouve bien que les enfants ne sont pas les seuls à marquer des points lorsque les radios et télévisions se branchent sur la Fréquence môme.
Tout le monde s'accorde à dire que les médias ont bien un rôle essentiel à jouer pour aider les enfants à faire connaître leur vision du monde. La Journée internationale de la radio et de la télévision en faveur des enfants est donc l'occasion offerte aux jeunes de raconter leurs propres histoires en tant que reporters, producteurs, rédacteurs, invités et directeurs de programmes de radio et de télévision. C'est la plus vaste campagne mondiale lancée en faveur des enfants dans les médias. Au cours de cette journée, des jeunes du monde entier s'approprient les ondes afin de traiter des questions qui leur tiennent à cœur. Ces futurs journalistes expriment aussi leurs rêves ou leurs inquiétudes. Ainsi, les enfants ont la faculté de poser des questions inattendues, d'apporter un souffle d'air frais à des structures anciennes. Au cours des années, les diffuseurs ont su puiser dans ce potentiel en permettant aux enfants de participer à la réalisation et à la présentation de reportages, de journaux télévisés, de programmes radio ou de documentaires. Nombre de producteurs de radio et de télévision ont tiré des avantages considérables de ce partenariat.
L'enfant commence à regarder la télévision avant même de pouvoir marcher ou parler. Un bébé sera attiré par la télévision, mais regarder l'écran et entendre les sons ne signifient pas comprendre. La compréhension s'acquiert graduellement, à mesure qu'évoluent les habitudes d'écoute et la capacité d'absorption des jeunes téléspectateurs. Dès l'âge de sept ans, les enfants sont conscients qu'à la télévision il y a «du réel» et «de l'imaginaire», mais ils ne les distinguent pas toujours. Même s'ils distinguent les bulletins de nouvelles au réel et les dessins animés à l'imaginaire, par exemple, les enfants ignorent souvent que les «personnes» qu'ils voient à la télévision sont en fait des personnages incarnés par des comédiens.
L'enfant ne peut comprendre la télévision que dans la mesure des connaissances qu'il possède. L'influence des films regardés par l'enfant dépend du degré de passivité avec laquelle il les observe. Il est courant de dire que certains spectacles offerts par la télévision sont plus faciles à recevoir que la lecture d'un livre. L'enfant, dans ces cas, suit passivement les images qui lui sont offertes. Mais il peut aussi voir des films ou émissions qui, au contraire, lui donnent à réfléchir et lui permettent de développer son sens critique. Contrairement aux premiers, leur influence est positive pour le développement de l'enfant. Au Maroc, la télévision peut jouer un rôle positif dans l'apprentissage. Les émissions pour enfants cultivent le goût de l'histoire chez les enfants et enseignent des notions de base telles que les chiffres et l'alphabet.
D'autres stimulent l'intérêt des enfants pour les livres et l'écriture ou offrent une initiation aux sciences. Lorsqu'une émission suscite un intérêt particulier ou provoque des questions chez l'enfant, les parents peuvent s'en servir comme tremplin pour amener l'enfant à explorer le sujet, dans des livres, des revues ou ailleurs.
Ce que les producteurs de radio et de télévision peuvent faire
La Journée internationale de la radio et de la télévision en faveur des enfants a été créée pour donner aux jeunes l'occasion de raconter leurs propres histoires en tant que reporters, producteurs, rédacteurs, invités et directeurs de programmes de radio et de télévision. C'est la plus vaste campagne mondiale lancée en faveur des enfants dans les médias. Après des débuts modestes en 1992, elle regroupe à présent plus de 2 000 stations de radio et de télévision et couvre la quasi-totalité de la planète.Au fil des ans, cette vaste campagne mondiale lancée dans les médias en faveur des enfants a donné naissance à certaines des émissions les plus créatives jamais réalisées pour la jeunesse. Nombre de producteurs de radio et de télévision ont tiré des avantages considérables de ce partenariat. Au Canada par exemple, TV Ontario a consacré un dimanche entier aux enfants et a réalisé ce jour-là son record d'audience pour un dimanche en 10 ans – ce qui prouve bien que les enfants ne sont pas les seuls à marquer des points lorsque les radios et télévisions se branchent sur la Fréquence môme.
