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Aucune date n'a toutefois été avancée pour cette future visite du chef du Kremlin.
Cependant, selon un rapport cité par des diplomates, lundi à Vienne, l'AIEA a indiqué que l'Iran avait manqué à ses engagements pris dans le cadre du TNP mais elle a montré une coopération accrue avec les inspecteurs des Nations unies. En effet, l'engagement des Iraniens pour faire avancer les choses sans plus de blocages constitue aujourd'hui un bon point pour eux.
Concernant ces récentes re-marques de l'AIEA, Téhéran s'est empressée de les décrire de manquements mineurs, comme l'a reconnu le représentant de l'Iran auprès de l'AIEA, Ali Akbar Salehi.
Ceci dit, le rapport explique qu'«actuellement, il n'existe pas de preuve que des matériaux nucléaires non déclarés (par l'Iran) aient
un rapport avec un programme nucléaire militaire». La phase des pourparlers avec beaucoup de pays intéressés par la région ne tardera donc pas à démarrer en Iran, compte tenu de ses derniers engagements. La visite de Vladimir Poutine en est d'ailleurs la preuve, même si Washington continue de critiquer tout rapprochement avec Téhéran.
Mais l'Iran entretient de fortes re-lations avec la Russie, puisqu'il construit une centrale nucléaire avec l'aide de ce pays pour produire de l'électricité, quoique accusé récemment par plusieurs pays occidentaux, dont les Etats-Unis, de mettre secrètement au point un programme nucléaire militaire. Il est même question de la signature d'un accord entre les deux pays pour le rapatriement vers Moscou de combustible nucléaire usagé iranien.
Cependant, selon un rapport cité par des diplomates, lundi à Vienne, l'AIEA a indiqué que l'Iran avait manqué à ses engagements pris dans le cadre du TNP mais elle a montré une coopération accrue avec les inspecteurs des Nations unies. En effet, l'engagement des Iraniens pour faire avancer les choses sans plus de blocages constitue aujourd'hui un bon point pour eux.
Concernant ces récentes re-marques de l'AIEA, Téhéran s'est empressée de les décrire de manquements mineurs, comme l'a reconnu le représentant de l'Iran auprès de l'AIEA, Ali Akbar Salehi.
Ceci dit, le rapport explique qu'«actuellement, il n'existe pas de preuve que des matériaux nucléaires non déclarés (par l'Iran) aient
un rapport avec un programme nucléaire militaire». La phase des pourparlers avec beaucoup de pays intéressés par la région ne tardera donc pas à démarrer en Iran, compte tenu de ses derniers engagements. La visite de Vladimir Poutine en est d'ailleurs la preuve, même si Washington continue de critiquer tout rapprochement avec Téhéran.
Mais l'Iran entretient de fortes re-lations avec la Russie, puisqu'il construit une centrale nucléaire avec l'aide de ce pays pour produire de l'électricité, quoique accusé récemment par plusieurs pays occidentaux, dont les Etats-Unis, de mettre secrètement au point un programme nucléaire militaire. Il est même question de la signature d'un accord entre les deux pays pour le rapatriement vers Moscou de combustible nucléaire usagé iranien.
