Le Hassania d'Agadir, puisque c'est de lui qu'il s'agit, n'a absolument, pas joué sur les nerfs des Casablancais, il faut le signaler. Bien au contraire il est venu et il a gagné dans les règles de l'art en jouant un match plein.
Et tout le match durant, le capitaine du Wydad ne s'est pas rendu compte qu'il se donne en spectacle en passant de la prise de bec avec l'arbitre Kezzaz, (qui s'est montré très patient avec lui) jusqu'aux gesticulations incongrues, en passant par sa désinvolture lorsque le directeur du jeu lui fit remarquer que sa tenue doit être enfouie dans son short. Et pour terminer il s'est rendu coupable d'un geste que téléspectateurs et public présent n'ont pas manqué de réprouver lorsqu'il s'est essuyé les crampons sur l'arrière-train d'un joueur gadiri qui lui tournait le dos. Trop ! C'en était trop ! Kezzaz, l'arbitre de la rencontre l'ayant déjà averti, justement, pour jeu dangereux et contestations ininterrompues, lui signifia de quitter le terrain. A sa sortie Abrami fut copieusement sifflé par un public furax d'abord par une défaite qui était devenue très nette (c'était la fin de la rencontre) et, surtout, par l'attitude inadmissible d'un capitaine d'équipe au comportement inexplicable.
Abrami savait-il qu'en portant le brassard du WAC, il était tenu, voire contraint de l'honorer. Il devait garder présent à l'esprit qu'il devait jouer le conciliateur, le tampon qui absorbe contestations et colère, l'exemple. Il devait garder présent à l'esprit que son brassard ne lui donnait aucunement le droit de faire le pitre dans un match-choc ou de s'en prendre à l'adversaire ou d'être un mauvais perdant. Le capitaine d'équipe est choisi pour son niveau d'instruction, sa grande capacité à communiquer ou son talent. Abrami avait-il, un ou tous ses atouts ? Si oui c'est grave ! Si non il ne méritait pas, mais alors pas du tout, le brassard qu'ont porté avant lui des joueurs inoubliables. Relis l'histoire de ton club, Lahcen ! Tu sauras quels joueurs prestigieux ont eu l'honneur de porter ce brassard.
Et tout le match durant, le capitaine du Wydad ne s'est pas rendu compte qu'il se donne en spectacle en passant de la prise de bec avec l'arbitre Kezzaz, (qui s'est montré très patient avec lui) jusqu'aux gesticulations incongrues, en passant par sa désinvolture lorsque le directeur du jeu lui fit remarquer que sa tenue doit être enfouie dans son short. Et pour terminer il s'est rendu coupable d'un geste que téléspectateurs et public présent n'ont pas manqué de réprouver lorsqu'il s'est essuyé les crampons sur l'arrière-train d'un joueur gadiri qui lui tournait le dos. Trop ! C'en était trop ! Kezzaz, l'arbitre de la rencontre l'ayant déjà averti, justement, pour jeu dangereux et contestations ininterrompues, lui signifia de quitter le terrain. A sa sortie Abrami fut copieusement sifflé par un public furax d'abord par une défaite qui était devenue très nette (c'était la fin de la rencontre) et, surtout, par l'attitude inadmissible d'un capitaine d'équipe au comportement inexplicable.
Abrami savait-il qu'en portant le brassard du WAC, il était tenu, voire contraint de l'honorer. Il devait garder présent à l'esprit qu'il devait jouer le conciliateur, le tampon qui absorbe contestations et colère, l'exemple. Il devait garder présent à l'esprit que son brassard ne lui donnait aucunement le droit de faire le pitre dans un match-choc ou de s'en prendre à l'adversaire ou d'être un mauvais perdant. Le capitaine d'équipe est choisi pour son niveau d'instruction, sa grande capacité à communiquer ou son talent. Abrami avait-il, un ou tous ses atouts ? Si oui c'est grave ! Si non il ne méritait pas, mais alors pas du tout, le brassard qu'ont porté avant lui des joueurs inoubliables. Relis l'histoire de ton club, Lahcen ! Tu sauras quels joueurs prestigieux ont eu l'honneur de porter ce brassard.
