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La nonagénaire disparue avait laissé un club aux titres multiples et aux courses innombrables.
C'est la première fois également que l'écurie Gazelle devra voir son président prendre part, non seulement à l'organisation mais également aux compétitions proprement dites.
En effet, Max Cohen Olivar, récemment investi à l'unanimité par tous les membres du club aura à être méticuleux dans la mise au point, sans pour autant se déconcentrer pour briguer, comme à l'accoutumée la plus haute marche du podium. Tous les clubs ont, d'ores et déjà répondu par l'affirmative à l'invitation de «l'écurie Gazelle» dont le nombre de pilotes et membres du club ne cessent de croître.
Ceux qui ont été présents au premier circuit de la saison automobile qui s'est déroulé à Tétouan se préparent activement au circuit de Settat. Dernières retouches, vérifications des endroits sensibles des bolides, appels aux techniciens compétents, les entraînements physiques des pilotes, formation des teams qui défendent les couleurs, tout est prétexte pour être au point le jour «J».
Tous ces préparatifs démontrent, si preuve il faut, la détermination de toute la famille de l'automobile à prendre une part active au retour au premier plan d'un sport qui ne cesse de souffrir.
L'écurie Gazelle, l'AS RACM, Le Grand Ismaïlia, le RUC, le Sporting Atlas club de Meknès, l'USM, le Grand Moghreb donnent libre-cours à leur enthousiasme pour réitérer les beaux duels qui ont tenu en haleine, il y a une quinzaine de jours, le public tétouanais de Martil.
L'écurie Gazelle, en collaboration avec la wilaya de Settat-Ourdigha qui tiennent à ce que le circuit connaisse un franc succès, offre une belle opportunité à tous les pilotes de faire valoir leurs qualités intrinsèques sur un circuit qui n'a rien de facile. Très technique, mais comportant des droits rapides, le circuit choisi va exiger des pilotes un contrôle vigilant et incessant de leurs chevaux d'acier.
Monstres d'acier
Ahmed Fadli le récent vainqueur dans son fief, va devoir défendre sa première place à Settat. Un duel qu'il devra livrer au président de l'écurie organisatrice, Olivar et à sa JD à 400 chevaux!! Et ce n'est pas de la rigolade. Lancé à toute vitesse, ces monstres d'acier peuvent facilement atteindre la vitesse ahurissantede… 200 km/heure! Outre ce duel palpitant entre le maître et le disciple, il y aura lieu de suivre également les vainqueurs qui ont inscrit leurs noms sur les tablettes du circuit de Tétouan en l'occurrence Abdelmalek Dellouh, Jacques Poulain, Nicolas Ferreira, Michel Benebgui, Jacky Delaorden, Tsouli, Mohamed Khalid Senhaji, Bekkali, Acil … Mais dans toutes ces catégories des M1, M2, M3, M4, on ne peut oublier la formule nationale; celle qui nous a donné, ainsi qu'aux spectateurs présents au circuit de Tétouan, de véritables sueurs froides.
La formule nationale où l'engagement des pilotes a, quand même, rassuré son concepteur Gilbert Guzzo, va mettre aux prises Youssef Alaoui qu'une erreur d'appréciation a contraint à abandonner, Robert Contarel vainqueur incontesté à la ville de la «Colombe blanche», Hassan Cherradi, excellent second, Gérard Deligarde, Igounec… des pilotes qui ont offert un spectacle qui valait largement le déplacement.
Les Ouahi, Abdane, Toubaji, Bennis et leurs collaborateurs ont déjà pris les devants en assurant à leur club, «l'écurie Gazelle» les conditions optimales pour honorer la mémoire de leur présidente disparue, Bernadette de Chalençon après une très longue vie (plus de 60 ans) passée au service d'un sport que, pilotes et dirigeants sont unanimes à vouloir sortir de l'impasse dans laquelle il se débat depuis des lustres.
C'est la première fois également que l'écurie Gazelle devra voir son président prendre part, non seulement à l'organisation mais également aux compétitions proprement dites.
En effet, Max Cohen Olivar, récemment investi à l'unanimité par tous les membres du club aura à être méticuleux dans la mise au point, sans pour autant se déconcentrer pour briguer, comme à l'accoutumée la plus haute marche du podium. Tous les clubs ont, d'ores et déjà répondu par l'affirmative à l'invitation de «l'écurie Gazelle» dont le nombre de pilotes et membres du club ne cessent de croître.
Ceux qui ont été présents au premier circuit de la saison automobile qui s'est déroulé à Tétouan se préparent activement au circuit de Settat. Dernières retouches, vérifications des endroits sensibles des bolides, appels aux techniciens compétents, les entraînements physiques des pilotes, formation des teams qui défendent les couleurs, tout est prétexte pour être au point le jour «J».
Tous ces préparatifs démontrent, si preuve il faut, la détermination de toute la famille de l'automobile à prendre une part active au retour au premier plan d'un sport qui ne cesse de souffrir.
L'écurie Gazelle, l'AS RACM, Le Grand Ismaïlia, le RUC, le Sporting Atlas club de Meknès, l'USM, le Grand Moghreb donnent libre-cours à leur enthousiasme pour réitérer les beaux duels qui ont tenu en haleine, il y a une quinzaine de jours, le public tétouanais de Martil.
L'écurie Gazelle, en collaboration avec la wilaya de Settat-Ourdigha qui tiennent à ce que le circuit connaisse un franc succès, offre une belle opportunité à tous les pilotes de faire valoir leurs qualités intrinsèques sur un circuit qui n'a rien de facile. Très technique, mais comportant des droits rapides, le circuit choisi va exiger des pilotes un contrôle vigilant et incessant de leurs chevaux d'acier.
Monstres d'acier
Ahmed Fadli le récent vainqueur dans son fief, va devoir défendre sa première place à Settat. Un duel qu'il devra livrer au président de l'écurie organisatrice, Olivar et à sa JD à 400 chevaux!! Et ce n'est pas de la rigolade. Lancé à toute vitesse, ces monstres d'acier peuvent facilement atteindre la vitesse ahurissantede… 200 km/heure! Outre ce duel palpitant entre le maître et le disciple, il y aura lieu de suivre également les vainqueurs qui ont inscrit leurs noms sur les tablettes du circuit de Tétouan en l'occurrence Abdelmalek Dellouh, Jacques Poulain, Nicolas Ferreira, Michel Benebgui, Jacky Delaorden, Tsouli, Mohamed Khalid Senhaji, Bekkali, Acil … Mais dans toutes ces catégories des M1, M2, M3, M4, on ne peut oublier la formule nationale; celle qui nous a donné, ainsi qu'aux spectateurs présents au circuit de Tétouan, de véritables sueurs froides.
La formule nationale où l'engagement des pilotes a, quand même, rassuré son concepteur Gilbert Guzzo, va mettre aux prises Youssef Alaoui qu'une erreur d'appréciation a contraint à abandonner, Robert Contarel vainqueur incontesté à la ville de la «Colombe blanche», Hassan Cherradi, excellent second, Gérard Deligarde, Igounec… des pilotes qui ont offert un spectacle qui valait largement le déplacement.
Les Ouahi, Abdane, Toubaji, Bennis et leurs collaborateurs ont déjà pris les devants en assurant à leur club, «l'écurie Gazelle» les conditions optimales pour honorer la mémoire de leur présidente disparue, Bernadette de Chalençon après une très longue vie (plus de 60 ans) passée au service d'un sport que, pilotes et dirigeants sont unanimes à vouloir sortir de l'impasse dans laquelle il se débat depuis des lustres.
