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La famille de la Justice ne rêvait que d’une chose : renouer avec le passé, quand elle évoluait en 2e A. Pour les besoins de la cause, elle engagea un entraîneur aguerri au métier pour avoir usé ses souliers dans les stades. L’ex-international fussiste, Hadj Mohamed Kassou, en l’occurrence. Un technicien de métier, discret, qui travaille beaucoup et parle peu. Le Crédit Agricole est redevable à ce technicien qui l’a mis sur orbite et doté d’une assise lui ayant permis d’accéder par la suite chez les grands du… GNF1.
Le team de la Justice est soumis à un régime disciplinaire rigoureux et d’entraînement intense et savamment dosé. Kassou est fort par le soutien d’un bureau dirigeant dévoué, présidé par M. Fouiker. A ses côtés, des soldats dans l’ombre dont Aziz Kouhaïla, Mohamed Hajjaoui, Houssaïri et Zaghdani sans oublier bien entendu la mémoire vivante de l’équipe, le dynamique coordinateur Med Lahsini (alias Ben Othmane). Le collectif travaille en symbiose, de concert avec les œuvres sociales du ministère, dirigées par My M’hamed Idrissi.
L’équipe n’entrevoyait nullement une telle issue sublime au début de cette saison. Mais, au gré des matches, les victoires pleuvaient.
L’ASJ s’implanta hermétiquement à la tête du peloton dès la 2e journée, pour ne plus la lâcher, en dépit des intrigues et des coups bas de certains milieux hostiles. «Un président de club réputé par des précédents obscurs a tout fait pour nous saboter en complicité avec certains membres du bureau de la Rabita et en soudoyant nos adversaires. Ils nous ont privé de points mais notre foi a été plus forte que leur volonté de nous nuire», nous confia un dirigeant.
Baisser de rideau
A une journée du baisser de rideau, l’ASJ était talonné par Widad Témara, avec trois longueurs d’avance. Elle n’avait plus le choix, vaincre impérativement lors de la dernière journée qui s’est déroulée dimanche dernier. Autrement, elle risquerait de voir le labeur d’une saison partir en fumée vu que le verdict n’était pas toujours tombé concernant une réserve déposée contre elle et eu égard également au bon goal-average du Widad. Durant la semaine ayant précédé ce dernier match de la vérité, la tension était à son paroxysme. La mobilisation est générale. Finalement, l’ASJ cueillit le fruit de son abnégation. «Nous avons certes peiné pour réussir cet exploit. Le mérite revient à tout le monde, surtout, à MM. le ministre et le secrétaire général qui nous ont toujours soutenus», expliqua un autre dirigeant.
La moisson est éloquente. Elle a gagné 15 matches dont 8 à l’extérieur, partagé les points dans trois rencontres et perdu deux matches seulement dans des circonstances anormales, paraît-il. Par ailleurs, elle est arrivée au 5e tour de la Coupe, s’inclinant de peu face à Sidi Kacem. Autrement, elle aurait joué le tour suivant face au… WAC ! Un bilan très positif en somme pour cette équipe dont les points forts résident dans l’altruisme et l’amour du maillot chez l’ensemble de ses composantes. Autant d’atouts qui lui permettent d’envisager l’avenir avec beaucoup plus de sérénité et d’espoir pour ne faire qu’un bref passage à la 1re division amateurs la saison prochaine, et atterrir le plus rapidement dans la cour des grands, au GNF, l’année d’après. Un vœu pour lequel tout le monde s’est déjà attelé. Une ambition, somme toute, légitime pour peu que l’embarcation continue de bénéficier du soutien moral et financier. Chose dont personne ne doute, outre mesure.
Le team de la Justice est soumis à un régime disciplinaire rigoureux et d’entraînement intense et savamment dosé. Kassou est fort par le soutien d’un bureau dirigeant dévoué, présidé par M. Fouiker. A ses côtés, des soldats dans l’ombre dont Aziz Kouhaïla, Mohamed Hajjaoui, Houssaïri et Zaghdani sans oublier bien entendu la mémoire vivante de l’équipe, le dynamique coordinateur Med Lahsini (alias Ben Othmane). Le collectif travaille en symbiose, de concert avec les œuvres sociales du ministère, dirigées par My M’hamed Idrissi.
L’équipe n’entrevoyait nullement une telle issue sublime au début de cette saison. Mais, au gré des matches, les victoires pleuvaient.
L’ASJ s’implanta hermétiquement à la tête du peloton dès la 2e journée, pour ne plus la lâcher, en dépit des intrigues et des coups bas de certains milieux hostiles. «Un président de club réputé par des précédents obscurs a tout fait pour nous saboter en complicité avec certains membres du bureau de la Rabita et en soudoyant nos adversaires. Ils nous ont privé de points mais notre foi a été plus forte que leur volonté de nous nuire», nous confia un dirigeant.
Baisser de rideau
A une journée du baisser de rideau, l’ASJ était talonné par Widad Témara, avec trois longueurs d’avance. Elle n’avait plus le choix, vaincre impérativement lors de la dernière journée qui s’est déroulée dimanche dernier. Autrement, elle risquerait de voir le labeur d’une saison partir en fumée vu que le verdict n’était pas toujours tombé concernant une réserve déposée contre elle et eu égard également au bon goal-average du Widad. Durant la semaine ayant précédé ce dernier match de la vérité, la tension était à son paroxysme. La mobilisation est générale. Finalement, l’ASJ cueillit le fruit de son abnégation. «Nous avons certes peiné pour réussir cet exploit. Le mérite revient à tout le monde, surtout, à MM. le ministre et le secrétaire général qui nous ont toujours soutenus», expliqua un autre dirigeant.
La moisson est éloquente. Elle a gagné 15 matches dont 8 à l’extérieur, partagé les points dans trois rencontres et perdu deux matches seulement dans des circonstances anormales, paraît-il. Par ailleurs, elle est arrivée au 5e tour de la Coupe, s’inclinant de peu face à Sidi Kacem. Autrement, elle aurait joué le tour suivant face au… WAC ! Un bilan très positif en somme pour cette équipe dont les points forts résident dans l’altruisme et l’amour du maillot chez l’ensemble de ses composantes. Autant d’atouts qui lui permettent d’envisager l’avenir avec beaucoup plus de sérénité et d’espoir pour ne faire qu’un bref passage à la 1re division amateurs la saison prochaine, et atterrir le plus rapidement dans la cour des grands, au GNF, l’année d’après. Un vœu pour lequel tout le monde s’est déjà attelé. Une ambition, somme toute, légitime pour peu que l’embarcation continue de bénéficier du soutien moral et financier. Chose dont personne ne doute, outre mesure.
