Et depuis les années 70, pourrait-on lire dans le rapport, le revenu national de chaque citoyen a marqué une montée en flèche, et est passé de 550 à 1190 dollars, plus que le double. Aussi la moyenne d’âge a-t-elle augmenté de 55 à 68 ans en 2001. En cette même période, la moyenne de naissance pour chaque femme a enregistré une baisse conséquente, soit 2,8% contre 6,3%.
Idem pour le nombre de décès chez les nouveaux-nés, qui a chuté de 115 à 39 décès pour chaque 1000 naissances. Le progrès enregistré au niveau de la scolarisation est aussi évoqué dans ce rapport. Le taux de scolarisation primaire étant passé de 47% à 78% en l’an 2000.
Relance économique
La réorganisation des dettes extérieures qu’a entreprise le Maroc suite à la crise de 1983, a donné des fruits. Puisqu’entre 1985 et 1991, le taux de croissance de l’économie nationale a atteint 4,5%. Les exportations ayant enregistré, durant la même période, une croissance sidérale de 9%. Aussi les investissements étrangères ont-elles passé d’un million de dollars à en 1986 à 317 millions de dollars en 1991.
Des défis majeurs que relèvent la Maroc la hausse du niveau de la précarité et de l’ analphabétisme, note le rapport, nonobstant la consécration de 6% du PIB national dans l’enseignement. Cependant, le rapport fait état de diminution remarquable du taux d’analphabétisme et celui de la pauvreté, conséquence logique des efforts déployés par l’Etat marocain. Quoique le taux de 50%, relève le rapport, demeure le plus élevé par rapport à celui enregistré dans l’ensemble des pays du Moyen-Orient et dans les pays à faible revenu.
La couverture sociale, un défi à relever
La couverture sociale laisse aussi à désirer. Elle n’englobe que 15% de la population. La frange la plus lésée étant la population des régions reculées et recluses.
Par ailleurs, le rapport fait allusion à l’éventuelle pénurie des ressources halieutiques d’ici 2020, vu l’exploitation irrationnelle de ces ressources dans les cultures qui s’appuient sur l’irrigation et eu égard également au aux taux d’utilisation actuels de cette denrée rare.
La conjoncture économique en 2001 et 2002 aidant, le taux du chômage a été revu en baisse grâce à la création d’opportunités d’emploi notamment dans le milieu urbain, arrive-t-on à lire dans le rapport de la Banque Mondiale. Dans son rapport sur le Maroc, la Banque Mondiale réitère sa volonté d’accompagner le pays dans ses programmes sociaux et économiques l’amélioration du taux de scolarité primaire, de la couverture sociale, et à une relance économique à travers notamment l’accès aux nouvelles technologies. Aussi ces subventions seront-elles destinées à améliorer le rendement des administrations et des services et à encourager davantage, par la création d’institutions, de la décentralisation.
Idem pour le nombre de décès chez les nouveaux-nés, qui a chuté de 115 à 39 décès pour chaque 1000 naissances. Le progrès enregistré au niveau de la scolarisation est aussi évoqué dans ce rapport. Le taux de scolarisation primaire étant passé de 47% à 78% en l’an 2000.
Relance économique
La réorganisation des dettes extérieures qu’a entreprise le Maroc suite à la crise de 1983, a donné des fruits. Puisqu’entre 1985 et 1991, le taux de croissance de l’économie nationale a atteint 4,5%. Les exportations ayant enregistré, durant la même période, une croissance sidérale de 9%. Aussi les investissements étrangères ont-elles passé d’un million de dollars à en 1986 à 317 millions de dollars en 1991.
Des défis majeurs que relèvent la Maroc la hausse du niveau de la précarité et de l’ analphabétisme, note le rapport, nonobstant la consécration de 6% du PIB national dans l’enseignement. Cependant, le rapport fait état de diminution remarquable du taux d’analphabétisme et celui de la pauvreté, conséquence logique des efforts déployés par l’Etat marocain. Quoique le taux de 50%, relève le rapport, demeure le plus élevé par rapport à celui enregistré dans l’ensemble des pays du Moyen-Orient et dans les pays à faible revenu.
La couverture sociale, un défi à relever
La couverture sociale laisse aussi à désirer. Elle n’englobe que 15% de la population. La frange la plus lésée étant la population des régions reculées et recluses.
Par ailleurs, le rapport fait allusion à l’éventuelle pénurie des ressources halieutiques d’ici 2020, vu l’exploitation irrationnelle de ces ressources dans les cultures qui s’appuient sur l’irrigation et eu égard également au aux taux d’utilisation actuels de cette denrée rare.
La conjoncture économique en 2001 et 2002 aidant, le taux du chômage a été revu en baisse grâce à la création d’opportunités d’emploi notamment dans le milieu urbain, arrive-t-on à lire dans le rapport de la Banque Mondiale. Dans son rapport sur le Maroc, la Banque Mondiale réitère sa volonté d’accompagner le pays dans ses programmes sociaux et économiques l’amélioration du taux de scolarité primaire, de la couverture sociale, et à une relance économique à travers notamment l’accès aux nouvelles technologies. Aussi ces subventions seront-elles destinées à améliorer le rendement des administrations et des services et à encourager davantage, par la création d’institutions, de la décentralisation.
