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La crise a débuté au lendemain du match aller de la finale de la Champion's League. Le résultat nul (0-0) de cette première phase a déçu tout un public qui s'attendait à une meilleure prestation. S'en suivit un épisode douloureux pour le comité, éclaboussé par l'affaire du sponsor Coca-Cola.
Le Raja a payé le tribut d'une bourde incompréhensible. Au cours de cette réunion, le comité a fait son méa-culpa. Certains adhérents n'avaient pas caché leur souhait de voir quelques têtes s'en aller.
La défaite au Caire et l'affaire Kacimi ont fait déborder le vase, déjà trop plein. Même l'entraîneur était visé, ce qui s'est ressenti sur tout le groupe.
Il fallait une véritable chaîne de solidarité pour faire face à une telle épreuve. La grogne s'est amplifiée après les divers reports de la réunion souhaitée par des adhérents.
La sérénité n'était plus de mise au sein du club. La plupart des intervenant réclamaient un audit et surtout la création d'une commission technique chargée de veiller aux recrutements.
Certains sont allés jusqu'à avouer que ces recrutements tous azimuts n'avaient aucun sens dans la mesure où ces nouveaux donnaient de moins en moins satisfaction. Bref, il apparaissait que tous les griefs à l'encontre du comité étaient valables pour crier au scandale. Il a fallu beaucoup de patience et de tact au président Abdeslam Hanat pour atténuer cette tension. Il a répondu à toutes les sollicitations et un terrain d'entente a été trouvé pour solutionner certains problèmes inhérents à la gestion du club. Aujourd'hui, le Raja est dans une position délicate au classement de l'actuel championnat. Après la rencontre d'hier contre l'OCK, les Verts n'auront plus que deux matchs retards et là le groupe devra se surpasser pour gagner quelques places en haut du tableau. Comme on le disait, seuls les résultats sur le terrain peuvent apporter une certaine accalmie et une quiétude.Le Raja ne méritait nullement autant de vagues.
Le Raja a payé le tribut d'une bourde incompréhensible. Au cours de cette réunion, le comité a fait son méa-culpa. Certains adhérents n'avaient pas caché leur souhait de voir quelques têtes s'en aller.
La défaite au Caire et l'affaire Kacimi ont fait déborder le vase, déjà trop plein. Même l'entraîneur était visé, ce qui s'est ressenti sur tout le groupe.
Il fallait une véritable chaîne de solidarité pour faire face à une telle épreuve. La grogne s'est amplifiée après les divers reports de la réunion souhaitée par des adhérents.
La sérénité n'était plus de mise au sein du club. La plupart des intervenant réclamaient un audit et surtout la création d'une commission technique chargée de veiller aux recrutements.
Certains sont allés jusqu'à avouer que ces recrutements tous azimuts n'avaient aucun sens dans la mesure où ces nouveaux donnaient de moins en moins satisfaction. Bref, il apparaissait que tous les griefs à l'encontre du comité étaient valables pour crier au scandale. Il a fallu beaucoup de patience et de tact au président Abdeslam Hanat pour atténuer cette tension. Il a répondu à toutes les sollicitations et un terrain d'entente a été trouvé pour solutionner certains problèmes inhérents à la gestion du club. Aujourd'hui, le Raja est dans une position délicate au classement de l'actuel championnat. Après la rencontre d'hier contre l'OCK, les Verts n'auront plus que deux matchs retards et là le groupe devra se surpasser pour gagner quelques places en haut du tableau. Comme on le disait, seuls les résultats sur le terrain peuvent apporter une certaine accalmie et une quiétude.Le Raja ne méritait nullement autant de vagues.
